Vous êtes simplement prêt(e) à accepter les conséquences néfastes de ce comportement. D'autre part, les problèmes d'alcool provoquent souvent un sentiment de honte dû aux effets de la boisson sur l'environnement direct. Par exemple, vous avez fait des choses que vous n'auriez pas faites si vous aviez été sobre.
C'est cette réaction compensatoire, menant à une baisse du taux de GABA et à une augmentation du taux de glutamate, qui provoque le sentiment d'anxiété, d'inconfort et de stress qui se produit le lendemain.
Et pourquoi est-ce qu'on endosse cette « culpabilité malsaine » ? Plusieurs raisons possibles. 1/ Des personnes qui nous manipulent en nous culpabilisant, ou en se victimisant pour qu'on se culpabilise par effet de balancier. 2/ Un besoin de se rassurer contre l'impuissance.
La culpabilité : une émotion qui peut nous ronger
La culpabilité, c'est cet intense sentiment d'erreur passée et irrémédiable, qui se définit par rapport à quelqu'un d'autre. En effet, pour se sentir coupable : il faut nécessairement qu'il y ait quelqu'un d'impliqué.
Le foie est lié à la colère ou la culpabilité.
La culpabilité est à la fois un symptôme et une cause de dépression. Elle peut être intense au point d'affecter la personne dans son énergie physique et psychologique, dans sa capacité de ressentir de la joie de vivre, de poursuivre ses activités.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
Considérée comme particulièrement toxique sur le plan psychique, la culpabilité chronique participe en effet à une détérioration progressive de l'humeur, à une fragilisation narcissique et à l'épuisement des ressources nerveuses.
Comment naît le sentiment de culpabilité ? Il y a d'abord une culpabilité "originaire", issue de la détresse du tout-petit, trop immature, physiquement et psychiquement, pour réaliser ses envies, se mouvoir, attraper un objet convoité…
Analyser les mots durs que nous nous adressons avec détachement, comme si nous étions une autre personne. Appelée “auto-distanciation”, cette technique utilisée dans les thérapies cognitivo-comportementales consiste à remplacer le “je” par le “tu” ou le “il/elle” quand vous vous critiquez durement.
S'accepter
Se punir pour une erreur signifie dans la plupart des cas que nous aurions pu mieux gérer une situation donnée. Il est inutile de faire semblant de rien et d'essayer de se convaincre que nous n'avons pas tort. Mais accepter notre vulnérabilité et apprendre à aimer nos faiblesses sont beaucoup plus efficaces.
Tandis qu'il peine à digérer l'alcool, l'organisme souffre de déshydratation, ce qui va notamment avoir comme effet de provoquer des migraines le lendemain.
Il est coutume de considérer l'alcool comme un anxiolytique naturel. En effet, l'alcool désinhibe, il euphorise, il lève des craintes, des peurs et la personne anxieuse se sent soulagée par sa consommation alcoolique.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
La séduction : le manipulateur commence toujours par séduire sa victime pour mieux la manipuler ensuite. Au départ, il fait tout pour plaire à sa proie pour que celle-ci baisse la garde et se sente en parfaite confiance. Plus on se sent à l'aise avec une personne, moins on s'en méfie.
La fuite en avant peut également conduire à agir par anticipation. Autrement dit, à "prendre les devants" pour éviter la situation angoissante. Exemple classique : systématiquement rompre la première, par peur d'être abandonnée par son conjoint.
Il ne se remet jamais en question, mais peut très bien jouer la comédie. Il est vide intérieurement, évoluant uniquement dans l'intellect et le calcul. Il instrumentalise l'autre qui n'est pour lui qu'un objet à exploiter, puis à jeter. Quand il a épuisé sa proie, il en choisit une autre.
On a pu voir que les narcissiques sont des personnes obsédées par la publication quasiment constant de leurs réussites, objectifs atteints, vertus apparentes et compétences élevées. Cependant, ce type de personnalité caractérisé par une vision élevé de soi-même n'admet jamais ses propres erreurs.
Si vous constatez que quelqu'un cherche à vous culpabiliser, demandez-lui très simplement et très directement, les yeux dans les yeux : «Est-ce une accusation? Vous voulez m'accuser de ne pas bien faire ce que je fais ? » Si la personne répond «oui», demandez-lui alors d'en apporter la preuve.
La culpabilité alimentaire ne cache pas seulement un sentiment, mais reflète un ensemble d'impressions, d'états et d'émotions. Ne sachant trop comment l'exprimer, on y voit souvent une occasion de se cacher et de se réfugier, parfois par déni, parfois pour se donner bonne conscience.
Cette énergie peut être interne, sous forme de colère ou de rage. Cela nous motive pour trouver la paix intérieure et surmonter la souffrance. Cependant, lorsque nous sommes abattu, ignoré, méprisé ou attaqué pour avoir essayé de satisfaire nos besoins, le phénomène d'auto-punition peut apparaître.
Le stress émotionnel, comme celui provoqué par les émotions bloquées, n'est pas seulement lié aux troubles mentaux, mais aussi à des problèmes physiques comme les maladies cardiaques, les troubles intestinaux, les maux de tête, l'insomnie et les troubles auto-immunes.
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.