L'envie fréquente d'uriner est parfois liée à une maladie touchant cette partie de l'appareil urinaire : un rétrécissement de l' urètre : dû à une infection, une tumeur bénigne ou maligne… ; un calcul bloqué dans l' urètre .
On parle de ce symptôme quand le débit urinaire est égal ou supérieur à 3 litres par jour. Et cela peut être dû soit à la prise de médicaments diurétiques (qui donnent envie d'uriner), soit à un diabète non équilibré. Mais si le problème est l'envie fréquente d'uriner, on parlera alors de pollakiurie.
une cystite interstitielle, une affection chronique de la vessie ; certaines maladies neurologiques, comme un accident vasculaire cérébral, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques ; l'hyperactivité vésicale, qui peut s'accompagner de fuites urinaires, également appelées incontinence.
D'après leur étude, publiée en 2017, une consommation excessive de sel pendant la journée pourrait conduire à une envie d'uriner la nuit. En effet, le sel retient les liquides. Cette rétention d'eau, associée d'ailleurs aussi à l'hypertension artérielle, serait à l'origine des visites nocturnes aux toilettes.
Faire pipi entre quatre et dix fois par jour peut également être considéré comme "normal", si cette fréquence n'interfère pas avec la qualité de vie de la personne. Il est habituel qu'à partir de 50 ans une personne urine 1 fois la nuit, pour un volume de 250 ml à chaque fois, soit moins de 2 l au total sur 24 h.
Les infections des voies urinaires sont la cause la plus courante de la fréquence urinaire chez les femmes et les enfants. Un diabète sucré non contrôlé est la cause la plus fréquente de la polyurie. L'hyperplasie bénigne de la prostate est une cause fréquente chez les hommes de plus de 50 ans.
Si vous urinez très souvent, dressez un bilan de vos mictions sur 3 jours (horaires, volume d'urines émis, etc.) Vous pouvez ensuite prendre des mesures adaptées à votre cas (ex. : boire moins d'eau le soir). Si les symptômes de pollakiurie perdurent, consultez votre médecin traitant.
Une fréquence qui peut toutefois varier d'une personne à l'autre entre 4 à 10 fois par jour, les experts précisant que la règle n'est pas immuable : "Certaines personnes peuvent avoir besoin d'y aller plus ou moins régulièrement en fonction de divers facteurs.
Tout le monde émet autant d'urine que ce que l'on boit. C'est la stabilité de la composition du corps. On a une quantité d'urine qui est exactement dépendante du fait d'avoir une quantité d'eau fixe dans l'organisme. Il est impossible d'uriner plus que ce que l'on boit."
envies fréquentes d'uriner ou pollakiurie ; brûlures en urinant ; difficultés à uriner ; douleurs du bas du ventre ou du dos.
Le but de la miction est la vidange complète de la vessie. La miction normale est complète, volontaire et indolore, exclusivement diurne, dure moins d'une minute, permet l'élimination d'environ 350 mL d'urine, est espacée de 3–4 heures de la miction précédente.
Vous êtes probablement concerné par l'incontinence d'effort. Liée à une faiblesse des muscles du périnée, celle-ci concerne en majorité les femmes. Elle survient particulièrement lors de la grossesse, après un accouchement ou à la ménopause.
Dans la plupart des cas, l'incontinence n'est pas la conséquence d'une maladie, et votre problème peut être traité de manière relativement simple. Donc, lorsque vous vous apercevez que vous n'arrivez pas à retenir l'urine, il est plus que conseillé de consulter votre médecin.
La fréquence rapprochée des mictions et la faible quantité d'urine émise à chaque fois sont les principaux symptômes d'une pollakiurie. Dans certains cas, ce trouble urinaire peut contraindre une personne à devoir uriner toutes les 15 minutes, seulement quelques gouttes.
Vous souffrez probablement d'un syndrome d'hyper activité vésicale. Vous devriez essayer un traitement par anticholinergique qui diminuerait vos besoins urgents et ensuite aller consulter un urologue pour effectuer des investigations plus approfondies par un bilan uro dynamique.
Le café Le café est l'un des diurétiques les plus connus et qui est consommé au quotidien.
En présence de ces symptômes (soif intense, perte de poids, urines fréquentes, fatigue…), une consultation chez le médecin s'impose rapidement.
Un stress circonstanciel
Ce qui ajoute un stress supplémentaire. Cette réaction est un symptôme « normal » de stress. Avec l'anxiété, vos muscles se raidissent, notamment dans la région abdominale. La vessie se trouve comprimée et le besoin d'uriner se fait sentir, même si la vessie est presque vide.
La kinésithérapie : guidé par le thérapeute, cette méthode permet de travailler le renforcement et le verrouillage des muscles du périnée pendant l'effort par exemple. Le biofeedback est une technique de rééducation visant à redonner la conscience à la personne de son schéma corporel.
Quels sont les symptômes d'une vessie hyperactive ? Une vessie hyperactive, irritable ou sensible est causée par l'hyperactivité du détrusor. Cela signifie que votre vessie tente d'évacuer l'urine même quand elle n'est pas pleine. Le symptôme le plus évident est la grande fréquence des mictions pendant la journée.
La nycturie peut être un symptôme du vieillissement physiologique de l'individu. Avec l'âge, la sécrétion de l'hormone antidiurétique (ADH), qui vise notamment à réguler la production d'urine, peut être perturbée, entraînant des mictions répétées la nuit.
Il est préférable de répartir votre consommation d'eau tout au long de la journée pour éviter les envies soudaines. Évitez les aliments et les boissons qui irritent la vessie. Évitez ou limitez les boissons comme l'alcool, les jus d'agrumes, le café, le thé, le lait et les boissons gazeuses.
Plusieurs causes peuvent être la source de ces réveils : L'hygiène de vie et l'alimentation ne sont pas à négliger : un apport trop important en sodium ou trop de boissons consommées le soir et c'est le réveil assuré. Les traitements médicamenteux, les diurétiques par exemple.
L'envie fréquente d'uriner est parfois liée à une maladie touchant cette partie de l'appareil urinaire : un rétrécissement de l' urètre : dû à une infection, une tumeur bénigne ou maligne… ; un calcul bloqué dans l' urètre .