Ce type de fonctionnement psychologique où l'on fait toujours passer l'autre avant soi est très répandu. Les psychologues le qualifient parfois d'assujettissement. Certaines victimes en sont parfaitement conscientes et d'autres beaucoup moins.
Quand on s'occupe plus des autres que de nous même, ce déséquilibre va inévitablement générer la situation inverse de ce que l'on veut. Parce que lorsque tu te délaisses et que tu ne fais pas suffisamment attention à tes propres besoins, c'est autant d'amour, d'énergie et de temps que tu ne peux plus offrir aux autres.
C'est comme le respect, si tu ne te respecte pas alors peu de gens le feront. Il faut s'aimer suffisamment pour se faire passer en premier, apprendre à reconnaître ses besoins pour y répondre et arrêter de faire passer les autres avant soi.
Arrêtez de penser que les autres jugent tous vos faits et gestes. Agissez en respectant vos valeurs, pour faire le bien autour de vous et en respectant les autres et vous n'aurez plus besoin de réfléchir à ce que pensent les autres.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Mais, pourquoi est-il si difficile d'être nous-mêmes ? La réponse est simple : nous avons peur. Cela peut sembler ironique, mais nous avons peur de nous découvrir et de voir réellement qui nous sommes.
On peut admettre que l'homme, d'un point de vue biologique, peut vivre sans penser. Comme l'animal, l'homme a des besoins physiologiques qu'il doit satisfaire s'il veut se maintenir en vie. Pour vivre, l'homme doit s'alimenter, se vêtir, se loger ou trouver un abri. Cela ne le distingue pas de l'animal.
altruiste. Dévouement, se consacrer à autrui de façon désintéressée, sans rien attendre en retour. Aider les autres.
Si vous avez tendance à toujours vouloir faire plaisir aux autres, cela provient peut-être d'un manque de confiance en vous.
Une autre raison très fréquente qui explique pourquoi nous sommes envieux des autres, est parce que nous n'avons pas une bonne opinion de nous-mêmes. Ainsi lorsque nous découvrons quelque chose de positif vis-à-vis de quelqu'un, cela nous rappelle nos propres lacunes.
La timidité, ne pas se faire confiance : Même si vous savez ce que vous voulez et ce qui vous passionne, cela peut parfois être difficile à exprimer aux autres si vous êtes de nature introvertie ou si vous manquez actuellement de confiance en vous.
« Vouloir être aimé de tout le monde peut également se lire comme une manifestation d'altruisme. Que l'opinion des autres nous importe démontre que nous nous intéressons à eux, que nous sommes à l'écoute de leur ressenti. » Katia Denard souligne que ce besoin d'amour témoigne d'un manque.
Un moyen efficace de retrouver son indépendance et d'être en phase avec ses aspirations et ses envies. Aussi paradoxale que ce soit, la solitude est un moyen de mieux vivre avec les autres. En effet, pour lier des amitiés ou des relations de qualités avec les autres, il faut être en lien avec soi-même.
Nous ne nous sentons pas digne d'être aimé comme on le mérite, et d'une certaine manière nous repoussons et rejetons inconsciemment l'autre. Ce comportement est une forme d'auto-sabotage inconscient comme pour confirmer que nous ne sommes pas dignes d'amour, même si consciemment nous le recherchons éperdument.
Derrière le complexe d'infériorité d'origine psychologique ("Je suis nul") se cachent des problèmes d'estime de soi, avec surestimation des autres (vus comme plus beaux, plus intelligents, plus courageux...).
Les anxiolytiques, tels que les benzodiazépines, peuvent offrir un soulagement temporaire des signes en attendant que le traitement antidépresseur soit efficace.
Souvent, c'est une stratégie pour éviter d'être face à des angoisses mais le mal-être ne disparaît pas pour autant. En effet, ces pensées sont habituellement accompagnées de sentiments et d'émotions désagréables comme la tristesse, la dévalorisation, la culpabilité ou la colère.
Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.