La plupart du temps, la perte de poids survient parce que les personnes absorbent moins de calories que nécessaire. Elles peuvent absorber moins de calories parce que leur appétit a diminué ou parce qu'elles sont atteintes d'un trouble qui empêche leur tube digestif d'absorber des nutriments (appelé malabsorption ).
Le corps médical considère qu'un amaigrissement est pathologique quand on perd 5% de son poids en moins de 6 mois ou 10% de son poids en moins d'un an, soit 5,5 kilos pour une femme de 55 kilos par exemple.
Les maladies gastro-intestinales telles que la maladie cœliaque, la maladie de Crohn, la colopathie fonctionnelle et la colite ulcéreuse peuvent entraîner une perte de poids.
En cas de dénutrition, le médecin demande des examens biologiques réalisés par prise de sang : dosage de l'albuminémie qui permet d'évaluer la sévérité de la dénutrition, analyse du fonctionnement du foie, des reins…
Une personne peut donc manger sans grossir, une des causes étant le stress. Les facteurs qui engendrent le stress sont assez nombreux. Trop de travail peut par exemple causer un certain stress et donc stopper la prise de poids. Cela peut aussi être dû à un entourage nocif, ou à un stress quotidien (métro-boulot-dodo…).
Poulet, dinde ou pintade, de manière générale, la volaille pourra vous être utile. Elle contient des protéines mais aussi d'autres nutriments, comme des vitamines B9 et B12. Les produits laitiers : le lait entier, le fromage, les yaourts pourront vous aider à prendre du poids.
La perte de poids difficile n'est pas la seule conséquence d'un métabolisme bloqué. Cette condition entraîne aussi des douleurs articulaires, un affaiblissement du système digestif, l'augmentation de la fréquence cardiaque et une sensation de fatigue générale.
Pour beaucoup de personnes, le stress peut faire grossir. Mais on ne pense que très rarement au fait que chez d'autres, le stress peut faire maigrir. D'ailleurs, pour la même personne, parfois vous pouvez gagner du poids, parfois en perdre, cela dépend de la situation…
La fatigue et la diminution de l'activité physique
Or, le manque d'exercices réduit le métabolisme et les dépenses énergétiques. La sédentarité favorise la prise de poids.
Un rythme raisonnable de perte de poids est de l'ordre de 500 g par semaine, soit 2 kilos par mois. Si c'est un peu plus rapide au début, et que cela s'atténue ensuite, c'est bien.
Les déterminants génétiques sont souvent plus forts que l'approche diététique. Les maigres sont souvent moqués parce que « malingres », chétifs, « la peau sur les os », ne mangeant pas assez. Or, la plupart du temps, les maigres ne font pas exprès d'être maigres. Leur courbe de poids est génétiquement programmée.
On considère généralement qu'une personne a un poids normal si son IMC se situe entre 18,5 et 25. Pour un adulte mesurant 1,70 m, cela donne une fourchette de poids qui se situe entre 54 et 72 kg.
Perdre 5 kilos en un mois peut sembler attrayant, mais c'est rarement réaliste ou sain. En règle générale, les experts recommandent de viser une perte de poids d'environ 0,5 à 1 kilo par semaine. Cela équivaut à environ 2 à 4 kilos par mois, ce qui est considéré comme une perte de poids saine et durable.
Une méta-analyse réalisée en 2017 a d'ailleurs révélé qu'une personne en manque de sommeil consomme 400 calories de plus qu'une personne ayant dormi suffisamment [4].
Toutes les anémies sont sources de fatigue. Le plus souvent, il s'agit le plus souvent d'une anémie par carence en fer.
Il n'est pas rare que la dépression entraîne une diminution de l'appétit et, par le fait même, une perte de poids. Effectivement, la dépression s'accompagne d'une perte de plaisir généralisée qui peut s'étendre jusqu'à l'alimentation des individus.
Le stress, notamment dans le cadre d'une dépression, peut entraîner une perte de poids importante en raison de deux facteurs majeurs : un appétit diminué ou altéré et un métabolisme accéléré.
troubles psychologiques : irritabilité, impulsivité, dépendance affective, difficulté à se concentrer, baisse des performances intellectuelles, incapacité à faire des projets, désintéressement du quotidien, vision négative de l'avenir, peur irrationnelle et sans fondement...
symptômes physiques : douleurs (coliques, maux de tête, douleurs musculaires, articulaires, etc.), troubles du sommeil, de l'appétit et de la digestion, sensations d'essoufflement ou d'oppression, sueurs inhabituelles...
Si votre température corporelle a tendance à être basse, que vous ne parvenez pas à vous réchauffer ou que vos extrémités sont fréquemment froides, il s'agit de signaux d'un métabolisme lent. Des cheveux secs ou cassants peuvent aussi vous alerter.
Les aliments qui ralentissent le métabolisme
Certaines erreurs sont à éviter car elles vont ralentir le métabolisme et favoriser la prise de poids. Les mauvaises graisses, souvent d'origines animales, et le sucre sont lourds pour la digestion et néfastes pour le métabolisme.
Bouger plus. Pour stimuler naturellement son métabolisme, rien de tel que de pratiquer régulièrement une activité sportive d'intensité soutenue. Et pour cause, le sport, et plus précisément les exercices de musculation, augmente la quantité de muscle.