Les études montrent que les causes sont généralement graves, que ce soient de la violence, de la négligence ou des problèmes de toxicomanie. Même si les membres de la famille ne sont pas d'accord sur ce qui s'est passé ou sur l'état de la relation, au moins une personne perçoit la relation comme négative.
Oui, il est possible de ne pas aimer son père et/ou sa mère. Ou plus exactement, il suffit parfois d'un événement, d'une blessure symbolique de trop, pour que, par désespoir, l'amour que l'on éprouve pour un parent, se transforme en haine.
Conflits en famille : les reproches et les non-dits
Cela peut être vécu comme une contestation, ou une négation du ressenti. Dans ce contexte, des reproches peuvent jaillir envers les frères et sœurs ou les parents par exemple. Les exprimer est souvent une nécessité, de l'ordre de la libération.
Pour supporter son conjoint plus facilement, il faut refaire quotidiennement le choix conscient de partager sa vie avec lui. Régulièrement, rappelez-vous pourquoi vous avez choisi de vivre avec cette personne. Remémorez-vous ses qualités, vos moments de complicité, et tout ce qu'il vous apporte au quotidien.
Les liens familiaux sont les plus solides que nous ayons dans notre vie. C'est pourquoi, lorsqu'il nous faut les rompre, nous pouvons en garder de profondes cicatrices. Après tout, votre famille est censée être toujours présente pour vous. Ce sont ceux qui ne doivent vous vouloir que du bien.
C'est quoi une "famille toxique" ? Une famille peut être toxique lorsqu'il existe des comportements qui provoquent des problèmes émotionnels chez un ou plusieurs membres du système ou lorsque les rôles familiaux sont différents de ceux qu'ils devraient être.
Le stress quotidien et répété, la fatigue, les pressions que l'on se met ou que l'on subit poussent certaines familles vers un épuisement physique et psychologique. Aucun membre de la famille n'est épargné. Parents comme enfants subissent ce stress nocif.
L'une des conséquences négatives des conflits familiaux est l'émergence d'une sorte de méfiance envers soi-même par la peur constante de l'avenir. L'enfant a peur de ce qui se passera demain parce qu'il projette ses sentiments sur les problèmes qu'il voit à la maison.
Le burn out parental touche surtout les mamans mais les papas peuvent également en souffrir. Si un papa qui s'est beaucoup investi auprès de ses enfants à un moment, se jette tout à coup dans le travail et délaisse la vie familiale, cela peut être un signe de burn out parental.
Par exemple, si la personne ne vous cherche pas pendant 2-3 jours, c'est peut-être parce qu'elle ne veut pas être pressante, collante, parce qu'elle aime respecter les espaces des autres et les leurs, pour susciter un intérêt ou simplement parce qu'elle n'ont pas de bonnes relations avec le téléphone portable.
Ou des mères dévorantes, qui vivent au travers de leur enfant tout ce qu'elles-mêmes n'ont pas vécu… et le condamnent à refouler ses propres désirs pour combler les leurs. Amour absent, insuffisant ou, au contraire, envahissant, étouffant, l'amour déséquilibré d'une mère peut plomber une vie entière.
"Être une bonne mère, c'est être une mère suffisamment bonne”, disait Donald Winnicott, éminent pédiatre et psychanalyste anglais (1896-1971). Une mère sachant répondre aux besoins et désirs de son enfant, sans les ignorer... ni les devancer. Il faut le clamer haut et fort, la mère parfaite n'existe pas.
Une maman compréhensive sait qu'elle ne peut vivre votre vie à votre place. Elle sait que vous allez sortir avec des personnes qui ne vous correspondent pas. Elle sait que parfois, la vie sera dure. Mais à chaque fois que vous commettez une erreur, elle sera là pour essuyer vos larmes.
Beaucoup de mamans nous rapportent que les relations familiales difficiles ont commencé en même temps que leur famille! En effet, il semble qu'un des problèmes vécus le plus souvent soit le conflit générationnel et les différentes valeurs qui ont évolué avec le temps.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Si vous êtes adolescent, le moyen légal de renier votre famille est de vous faire émanciper. Cela signifie que vous serez légalement considéré comme un adulte, que vous aurez le droit de prendre vos propres décisions et que vos parents ne seront plus vos responsables légaux.
« Si nécessaire, un tribunal peut prendre une ordonnance restrictive afin que la famille soit tenue de garder ses distances », souligne Alix Thellier, avocate au barreau de Paris. Un adulte peut également demander une ordonnance restrictive quand lui ou ses enfants sont victimes de violences physiques.
L'enfant identifié comme mouton noir ou bouc émissaire vivra de grands défis devant une réalité familiale qu'il peut difficilement révéler au grand jour, tout en étant dans l'impossibilité d'accepter intérieurement ce qui s'y passe. Il ou elle quittera probablement le nid familial assez tôt.
La toxicité de la mère comme origine de cette décision. Quand un adulte décide de couper les ponts avec sa mère, c'est souvent qu'il y a un manque de solidité dans les fondations de la relation mère-enfant. Cette faiblesse est parfois due au comportement toxique de la mère vis-à-vis de son enfant.
Vous avez le sentiment que votre vie d'adulte aurait pu être nettement plus épanouissante si vous aviez eu des parents différents. Vous êtes particulièrement peiné. e lorsque vos parents critiquent vos choix, votre mode de vie. Leurs propos ont tendance à vous blesser profondément et de façon assez récurrente.