Le repos peut avoir un impact bénéfique en cas de migraine. Pour certaines personnes, un sommeil de deux ou trois heures seulement peuvent les aider à se débarrasser d'une migraine. Pour nombre d'entre nous, s'allonger reste encore l'unique solution puisque les mouvements peuvent empirer la douleur.
en urgence (appelez le 15 ou le 112) si votre mal de tête est intense, soudain ou inhabituel, ou si vous présentez d'autres symptômes comme de la fièvre, une tension derrière la nuque, des vomissements, des troubles oculaires ou de la locution, un affaiblissement général, une sensation de malaise ou des convulsions.
La céphalée hypnique est une céphalée qui survient au cours du sommeil. La douleur ressentie par les patients est décrite comme une pression parfois battante au rythme du cœur. Elle peut se produire une seule fois ou plusieurs fois dans la nuit, mais toujours pendant le sommeil.
Durant le sommeil profond, il y a un certain degré de rétention de gaz carbonique, puisque la respiration ralentit. Le CO2 est un vasodilatateur puissant des artères cérébrales. Il est donc possible que la vasodilatation survenant naturellement durant certains stades du sommeil induise des migraines.
Lorsqu'un mal de tête est déclenché par un trouble de la vision, la douleur est localisée autour des yeux ou au niveau du front. Ce type de douleur doit vous encourager à aller consulter un ophtalmologue. Fréquemment, ce trouble de la vision à l'origine de maux de tête n'est autre que de l'hypermétropie.
La posture de la pince assise a toujours été connue pour ses bienfaits sur le cerveau. Cette posture réduit la fatigue et l'anxiété et soulage les maux de tête. En position assise, les jambes tendues, les pieds joints ; posez vos mais bien à plat sur le sol, à côté des fesses, les doigts dirigés en arrière.
La migraine ophtalmique est une céphalée (mal de tête) récurrente qui survient après ou en même temps que des troubles visuels et qui touche plus souvent la femme. Les causes de la migraine ophtalmique sont nombreuses : stress, manque de sommeil, tabagisme,...etc.
Ces maux de tête sont souvent provoqués par un état de stress ou de fatigue, justement, et ils peuvent survenir dès le matin. D'autres facteurs peuvent également entrer en compte comme les blocages musculaires, la consommation d'alcool ou des problèmes de vision.
On appelle névralgie d'Arnold une douleur d'origine nerveuse, provoquée par la compression du nerf d'Arnold (ou nerf grand occipital). Chargé d'innerver les muscles profonds du cou, ce nerf joue deux grands rôles : un rôle moteur (mobilité du cou) et un rôle sensitif (il nous permet de sentir notre cuir chevelu).
Les mots utilisés pour décrire la céphalée vasculaire de Horton frappent l'imaginaire. Ce mal de tête, qui peut durer jusqu'à trois heures, est si douloureux qu'on le surnomme tristement « la migraine du suicide » en raison des personnes qui se sont enlevé la vie, incapables de vivre avec cette souffrance.
Le manque de sommeil altère les fonctions psychologiques
Pendant le sommeil, le cerveau procède à l'évacuation des toxines du tissu cérébral. Lorsque ces toxines ne sont pas correctement éliminées, les fonctions psychologiques comme la coordination et la concentration sont mises à mal.
Pour soulager une céphalée de tension, commencez par prendre un traitement antalgique, c'est-à-dire qui calme la douleur. Ils sont vendus sans ordonnance. Vous pouvez utiliser du paracétamol, ou éventuellement de l'aspirine ou de l'ibuprofène (sauf contre-indication).
Trop de sommeil : des conséquences graves pour la santé
les risques de coronaropathie ou d'AVC augmentent ; le diabète et l'obésité sont plus fréquents ; des maux de tête peuvent apparaître ; les troubles psychologiques sont également plus présents (dépression, stress, etc.).
Les maux de tête (ou céphalées) constituent le symptôme le plus fréquent, quel que soit le type de tumeur cérébrale. Ils se manifestent souvent le matin, parfois accompagnés de nausées et/ou de vomissements. Ils sont dus à la masse de la tumeur qui comprime la région où elle est localisée.
L'idéal est donc de garder le haut du bras le long du corps et de plier les coudes si on le souhaite, conseille Charlène Chéron. Si on dort sur le côté on ne doit pas mettre tout le bras sous l'oreiller car ça crée une élévation de la première côte, ça favorise les tensions ainsi que les fourmillements.
Lorsqu'on a la tête en bas, le visage rougit, les veines temporales et jugulaires se gonflent avec l'afflux de sang. Rien d'inquiétant si la position est tenue quelques minutes. En revanche, la maintenir plusieurs heures peut produire un glaucome, la rupture d'un vaisseau sanguin et l'oedème cérébral.
«Lors d'une nuit de sommeil, notre organisme produit moins de cortisol, une hormone naturellement anti-inflammatoire.» Ces douleurs positionnelles de repos sont encore plus vives avec les pathologies d'origine inflammatoire, telle l'arthrite, où les œdèmes articulaires sont omniprésents.
D'où vient ce désordre psychique favorisant l'anxiété ? Cela peut être héréditaire ou environnemental, mais on cite également l'anxiété post-traumatique (accident, attentat, décès d'un proche, choc psychologique).
Une tension de 15,9 pourrait être une indication.
Une tension saine doit être inférieure à 14,5/9 et supérieure à 10/7. On parle d'hypotension lorsque elle est inférieure à 10/7. L'hypertension, quant à elle, survient lorsque la pression artérielle est supérieure à 14,5/9.
Quand on a un petit accident qui peut précéder un accident vasculaire, c'est très rapide. En moins de 5 minutes, l'ensemble du bras peut être complètement anesthésié. Alors que pour une migraine, tout évolue doucement. C'est caractéristique de la migraine.