Une des causes principales de cette impression d'être exclu provient d'un manque affectif pendant l'enfance. La croyance va ensuite se renforcer à travers des pensées et des paroles telles que « je suis de trop », « je ne me sens pas à ma place », « on ne veut pas de moi car je suis différent »,…
C'est parler honnêtement et écouter attentivement pour éviter les malentendus et le retour dans le cercle vicieux de l'apitoiement et du rejet. Être en relation demande un investissement de soi et du travail. Il y a peu de place pour la passivité. Il faut aussi apprendre à exister sans le regard de l'autre.
Le sentiment d'exclusion nait généralement du fait d'avoir été mis de côté, rejeté par un groupe de personnes que vous appréciez et que vous aimeriez voir vous apprécier en retour. Il est possible de se sentir exclu après avoir été rejeté par un groupe de collègues ou d'amis.
Plusieurs raisons peuvent présider à ce comportement, mais en général on rejette car on a peur de souffrir d'un éventuel échec de cette relation. Cela est souvent lié à la peur d'être abandonné, ou à un fort sentiment de déception dans une relation qui a beaucoup comptée. En général les deux sont liées.
La réponse est que notre cerveau est structuré pour répondre de cette façon. Lorsque nous sommes rejetés, abandonnés ou subissons une perte, les mêmes zones du cerveau impliquées dans la douleur physique sont activées, à savoir l'insula antérieure et le cortex cingulaire antérieur.
A chaque blessure correspond un masque : Ainsi, le rejet adopte le masque du fuyant : il peut fuir les relations, il peut fuir dans l'imaginaire, les conduites à risques. Il peut même se fuir lui-même.
Le rejet peut correspondre à une opposition, un mépris, une exclusion, une mise à l'écart, un refus, un déni, un dédain, un licenciement, une rupture amicale ou amoureuse... "Il s'agit souvent d'une blessure refoulée et donc inconsciente qui se réactive dans le présent, en écho avec le passé.
On a peur de l'engagement
La flippette est universelle. Certaines femmes se retrouvent même souvent avec des hommes qui ont peur de s'engager. La preuve qu'elles peuvent ressentir la même chose puisqu'elles ne sont souvent prêtes qu'à partir du moment où l'homme est prêt à s'engager.
La blessure d'abandon est un ressenti vécu dans l'enfance, qui est apparu suite à l'absence - physique ou mentale - d'un parent ou d'un proche, à une impression d'insécurité, ou à un attachement qui n'a pas pu se faire convenablement.
Dans leur approche basée sur l'idée que la pauvreté et l'exclusion sociale sont principalement le résultat de facteurs structuraux, ces auteurs considèrent l'exclusion comme un concept désignant deux principales formes d'exclusion : l'exclusion économique et structurelle et l'exclusion sociale et culturelle.
Les formes d'ostracisme que suscite l'exclusion plongent au contraire leurs victimes dans une sorte de stupeur ou « neutralité émotionnelle ». Or cette neutralité n'est pas inconnue en psychologie. Elle caractérise l'état dit de « déconstruction cognitive », qui précède le suicide.
L'exclusion sociale se définit par la marginalisation d'une partie des individus d'une société en raison de différents facteurs et critères sociaux les différenciant du reste de la population. Les personnes handicapées, sans-abri ou âgées peuvent par exemple être concernées.
Avoir une faible estime de soi implique des croyances telles que « je suis inférieur », « je ne suis pas intéressant » ou « je suis incompétent ». Ces croyances accompagnent souvent l'anxiété sociale et le rejet sociale. Par conséquent, une personne souffrant d'anxiété sociale craint les contextes sociaux.
Parfois encore, il n'y a pas de rejet réel, ou d'intention de rejeter, mais simplement de l'indifférence ou de la distraction : mais les personnes hypersensibles ne le supportent pas. Car il y a aussi cela : la question de notre vulnérabilité à la non-reconnaissance et la non-acceptation par les autres.
Certaines personnes ont du mal à aimer et à être aimées parce qu'elles estiment qu'elles ne sont pas aimables ou qu'elles ne sont pas dignes d'être aimées. Cette croyance peut être le résultat d'un rejet, d'une négligence de l'enfance ou d'autres expériences qui vous donne l'impression de ne pas être digne d'être aimé.
Tout simplement parce que la perfection n'existe pas. Et si elle existait, ce serait bien trop lisse. Bien souvent, les personnes qui n'arrivent pas à tomber amoureuses ont un niveau d'exigence trop élevé et attendent l'impossible.
Car si personne ne tombe amoureux de vous en ce moment, c'est que l'autre ne perçoit pas l'essence de votre personnalité : celle qui résonne, sonne juste et fort.
Éliminez les choses qui vous rappellent la personne qui vous exclut X Source de recherche . Si vous avez été exclus en permanence dans un certain domaine (par exemple à l'école ou au travail) ou par le même groupe de personnes, faites ce que vous pouvez pour éviter les souvenirs douloureux de votre exclusion.
Le sujet borderline se consumme en essayant d'établir des relations exclusives où le risque d'abandon n'est pas envisageable, mais une fois l'intimité atteinte, la relation désirée, surgit l'angoisse de pouvoir être dévoré par l'autre.
Rejet, abandon, trahison, humiliation, injustice… Selon Lise Bourbeau*, telles sont les 5 blessures qui affectent et dirigent nos états émotionnels et nous empêchent d'être pleinement « nous-mêmes ».
Ces masques, au nombre de cinq, « correspondent aux cinq grandes blessures de base vécues par l'humain« , qui, par ordre chronologique, sont: le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison, l'injustice.
Essaye de ne pas lui accorder trop de temps. Lorsqu'une personne te rejette, c'est qu'elle n'est pas intéressée et tu dois l'accepter. Cela peut faire très mal, mais tu dois garder en tête que c'est lui qui est perdant, pas toi.