Le mal des transports est dû à un trouble entre la perception visuelle et le système vestibulaire contenu dans l'oreille interne, qui joue un rôle primordial dans le sens de l'équilibre car il perçoit le mouvement et l'orientation par rapport à la verticale.
Pourquoi est-t-on malade en voiture ou dans un autre moyen de transport ? Le mal des transports est dû à une réponse inadaptée du cerveau, liée à une opposition entre les informations fournies par les yeux et celles données par le vestibule (organe de l'équilibre situé dans l'oreille interne).
Privilégiez une nourriture solide plutôt que liquide. Renoncez à l'alcool, au tabac et au café, avant et pendant le voyage. Maintenez la tête droite, sans faire de mouvements brusques pendant le voyage. En voiture, installez-vous à l'avant à côté du conducteur, ou à l'arrière au milieu, et regardez loin devant vous.
Veillez à être bien calé, en réduisant au minimum les mouvements de la tête et du corps ; Si le besoin s'en fait sentir, installez-vous en position semi-couchée et fermer les yeux ; Demandez au conducteur de conduire avec le moins d'accélérations ou de décélérations possibles.
En réalité, cela fonctionne simplement parce que le cerveau va alors se concentrer sur autre chose qu'une page statique — et déjouer alors ce mal des transports, ou cinétose en jargon médical. « Vous pouvez observer les choses qui défilent. Vous regardez le paysage, et le mouvement va finir par équilibre notre système.
Évitez les activités comme lire ou écrire. Passez plutôt le temps en regardant le paysage par la fenêtre. En cas de vomissement, hydratez-vous bien. La température de l'habitacle ne doit pas être trop élevée ni trop basse.
En théorie, aucune sanction n'existe si vous dormez dans votre voiture, à condition de respecter certaines règles. C'est le cas, notamment, du fait de ne pas rester derrière le volant si vous êtes ivre. Dans ce cas vous pourriez recevoir une amende pour conduite en état d'ébriété, même si vous faites une sieste.
Vous devriez vous sentir à l'aise en étant simplement assis dans la voiture, que cette dernière soit en mouvement ou non. Portez des vêtements et des chaussures confortables. Entrainez-vous à vous assoir dans la voiture et à vous détendre avant même de commencer à conduire. Envisagez d'écouter de la musique relaxante.
Comparable au mal de mer ou, plus généralement, au mal des transports, le mal de l'air se manifeste par des nausées accompagnées de pâleur, de sueurs, de vertiges, de maux de tête et de vomissements.
Certaines huiles essentielles ont des propriétés antispasmodiques et apaisantes qui peuvent aider à soulager le mal des transports. Les synergies d'huiles essentielles de menthe poivrée, de citron, de gingembre et de basilic tropical se sont avérées efficaces pour soulager les nausées.
Scientifiquement parlant, il n'y a aucune explication à ce phénomène mais il semble bien qu'un petit bout de sparadrap posé sur le nombril de la personne sujette au mal des transports soit la solution miracle pour ceux qui avaient déjà tout essayé vainement.
La scopolamine (Scopoderm®)
La scopolamine agit sur l'oreille interne, pour éviter la transmission d'informations perturbantes au cerveau. Ce médicament se présente sous forme de patchs qui ne doivent pas être utilisés chez l'enfant de moins de 15 ans.
Le médecin spécialisé dans les problèmes de l »équilibre est l'ORL. En cas de trouble de l'équilibre ou plus spécifiquement de cinétose, une consultation ORL est indiquée.
Trouble psychologique
Le mal être se manifeste le plus souvent par du stress, de l'angoisse, de la peur face aux difficultés. Ces troubles sont accompagnés d'un sentiment permanent d'être en situation d'échec. Cela accentue le manque d'estime de soi, ou la perte de confiance en soi.
Le mal des transports (également appelé cinétose ou naupathie) peut accompagner un déplacement en mer (mal de mer), en avion (mal de l'air), en train ou en voiture. Ce problème est fréquent et habituellement bénin. Certaines mesures permettent de prévenir souvent sa survenue.
Relaxez-vous et respirez calmement. Évitez les odeurs désagréables ; mangez des aliments inodores et ouvrez la fenêtre si des odeurs vous indisposent. Évitez de vous coucher sur le dos après avoir mangé. Restez assis 30 à 60 minutes après la prise d'aliments, car s'allonger aggrave les nausées.
Pour les cas les plus sévères, le traitement le plus efficace est la rééducation vestibulaire. Il s'agit de rééduquer l'oreille interne à travers des exercices de simulation. Si les premières séances peuvent être pénibles, c'est le seul traitement qui peut apporter une guérison complète du mal des transports.
Quels sont les symptômes du syndrome du mal de débarquement (MdDS) ? Les patients ont la sensation d'être sur un bateau, avec un mécanisme de tangage. Un phénomène de migraine est aussi associé.
Tout le monde peut souffrir du mal des transports, mais les enfants sont davantage touchés. Le mal des transports apparaît généralement à partir de l'âge de 2 ans.
Plusieurs éléments peuvent expliquer la peur de conduire : Le manque de confiance en soi qui entraîne une peur de faire une erreur de conduite ou une peur de créer un accident de la route. Si on a peur même en étant passager, cela peut provenir d'un manque de confiance envers les autres.
Cela peut être dû à un stress post-traumatique suite à un accident violent, un manque de confiance en soi, une peur terrifiante de conduire après un permis récent… Quoi qu'il en soit, il s'agit bien d'une phobie de la conduite, car les sujets concernés reconnaissent l'incohérence et la démesure de leur crainte.
Vous pouvez alterner la position fœtale – idéale mais pas toujours pratique vu le manque de place – et les jambes en l'air, dos plat. Le mieux reste toutefois de rester assis, droit, avec un oreiller de voyage qui épouse la forme du cou.
En France, il est possible de dormir dans sa voiture ou dans un véhicule aménagé, tel qu'un van ou un camping-car, sur des spots. Il convient toutefois de se renseigner sur les lois en vigueur en matière de stationnement sauvage, qui peuvent varier d'une région à l'autre.