Il est normal, par exemple, d'être plus en colère après une mauvaise nuit de sommeil. Cependant, une irritabilité extrême ou prolongée peut indiquer des problèmes physiques et psychologiques sous-jacents, tels qu'une infection, du diabète, de l'anxiété ou une dépression.
Être irritable de manière chronique
Une grande irritabilité qui plus est chronique peut être le symptôme de problèmes plus graves, comme la dépression, l'anxiété, la toxicomanie ou un déséquilibre thyroïdien.
En général, s'énerver fait partie de la nature humaine. Mais, dans certains cas, une colère permanente peut être le signe d'un problème plus profond: la dépression. Une étude de 2014 montre que la colère – aussi bien manifeste que réprimée – est un indice de trouble de la santé mentale.
Le besoin de contrôle : l'émotion peut se ressentir lorsque nous perdons le contrôle d'une situation ou lorsque nous avons l'impression que quelque chose nous échappe. La colère peut nous donner une sensation de pouvoir et de contrôle sur une situation.
Toutes les émotions ont un sens, elles sont là pour nous éclairer et nous permettre de nous adapter ou chercher des solutions. La colère est un cri d'alarme qui signale, le plus souvent, un sentiment d'injustice ou le fait de ne pas se sentir entendu.
Le foie est en relation avec colère le Coeur est en relation avec la joie, La Rate est en relation avec l'excès de pensée, Le Poumon est en relation avec la tristesse, Le Rein est en relation avec la peur. En médecine occidentale on confirme le lien entre douleur et émotions notamment à travers la fasciathérapie.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
La colère quant à elle induit une sensation forte localisée au niveau des bras et la peur plutôt dans la poitrine. Les chercheurs espèrent que leurs résultats pourront aider les médecins à mieux diagnostiquer et traiter certains troubles du comportement qui touchent aux émotions.
Si l'éthylisme chronique et les états d'agitation et d'agressivité qu'il entraine sont la principale raison de prescrire du Tiapridal®, il en existe d'autres. Ce neuroleptique peut en effet également traiter certains troubles du comportement chez l'enfant.
Ce trouble fait partie de ce que l'on appelle les troubles du contrôle des impulsions. Selon les recherches, 80 % des personnes atteintes de ce trouble présentent souvent un autre problème de santé mentale, les plus courants étant l'anxiété, l'autisme ou le trouble bipolaire.
Mieux prendre conscience de ses émotions
Le simple fait de prendre conscience de sa colère, lorsqu'elle est présente, est fondamental. La méditation, l'écriture, ou la thérapie peuvent aider à mettre des mots sur les émotions et à prendre conscience de ce que l'on ressent.
Les chips et les bonbons, certes, réconfortent l'âme, mais n'aident qu'à court terme. Cela est dû aux sucres simples, qui font monter et descendre rapidement le taux de sucre dans le sang. Des exercices de relaxation, du sport ou une micro-sieste peuvent également contribuer à calmer les nerfs.
Les carences en magnésium, un sommeil de mauvaise qualité, l'excès de sucre sont autant de facteurs qui peuvent décupler l'anxiété alors adoptez un mode de vie sain.
Causes de l'agressivité
L'agressivité peut également être causée par des problèmes de santé mentale sous-jacents tels que la dépression, l'anxiété, le trouble bipolaire et d'autres problèmes de santé mentale. La toxicomanie peut également entraîner un comportement agressif.
Les problèmes liés à la colère
Souvent, les personnes en prise avec des problèmes de colère se sentent coupables ou déçues par leur comportement. Elles peuvent aussi avoir une faible estime de soi et souffrir d'anxiété ou de dépression. éventail de problèmes de santé.
Dans une large mesure, cela est dû à une mauvaise maîtrise de soi et à une faible tolérance à la frustration. Cependant, ce ne sont pas les seules causes. Sous la colère se cache aussi très souvent une couche de tristesse que nous ne savons pas affronter, et encore d'autres sentiments ou émotions refoulés.
Colère. Les personnes atteintes de trouble de la personnalité borderline ont des difficultés à contrôler leur colère, elles s'irritent souvent de façon injustifiée et excessive. Elles peuvent exprimer leur colère par des sarcasmes cinglants, de l'amertume ou des diatribes virulentes.
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
Qu'on on se met en colère, les hormones s'activent
- Le cortisol est aussi l'une des hormones du stress et intervient quelques minutes après l'arrivée de l'adrénaline. Utile pour la transformation des graisses en sucre, elle oriente cette énergie vers les muscles des jambes dans l'éventualité d'une fuite en courant !
La colère émerge des interactions de plusieurs régions cérébrales : elle influe sur le niveau général d'excitation du système nerveux et les processus corporels automatiques, sur le contenu des sentiments, et chez l'homme, peut être amplifiée ou inhibée par le souvenir de situations analogues passées.
Le critère principal du TEI consiste en l'occurrence d'épisodes où la personne ne peut résister à ses impulsions agressives et qui mènent à des actes de violence dirigés vers autrui ou vers des objets.
Dans la colère, il est important de se rappeler que la vérité d'une personne est rarement la vérité d'une autre. Par conséquent, l'habitude de séparer vos points de vue de ceux de l'interlocuteur est utile dans la communication.