Souffrir d'analgésie congénitale c'est ne pas ressentir de douleur lorsque l'on se fait mal. A première vue, cette maladie génétique présente des avantages. Mais être insensible à la douleur c'est aussi se faire mal sans le savoir.
L'insensibilité congénitale à la douleur (ICD), décrite pour la première fois par George Van Ness Dearborn en 1932, est une maladie rare et très grave, le plus souvent de cause génétique et de transmission autosomique récessive.
L'insensibilité congénitale à la douleur (ICD), est une affection rare de transmission autosomique récessive, caractérisée par une absence congénitale de la perception de la douleur.
L'asymbolie à la douleur (dite aussi analgognosie ou apractognosie algique) est un trouble neurologique qui se caractérise par le fait que les patients qui en sont atteints ne ressentent plus la douleur comme pénible.
Désormais, c'est prouvé, une étude affirme que les hommes seraient plus sensibles à la douleur que les femmes. Explications.
1. Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) On termine avec la douleur la plus intense et insupportable selon le McGill Pain Questionnaire : le syndrome douloureux régional complexe (SDRC).
Elle se nomme Paraponera Clavata ou encore fourmi balle de fusil. Cette fourmi est venimeuse et lorsqu'elle vous pique, son venin se propage dans tous vos membres. Cela provoque une douleur tellement atroce, que celle-ci parvient même à contracter vos membres touchés pendant plusieurs heures !
la multiplicité de la nature et du type de douleurs : douleur aiguë, douleur chronique, douleur nociceptive, neuropathique, nociplastique.
Rééducation sensitive: un nouveau traitement physique
L'hypoesthésie diminue grâce à la rééducation de l'hyposensibilité basée sur la neuroplasticité du système somesthésique: par un bourgeonnement des territoires adjacents, des voies ascendantes ou des cortex somesthésiques.
La cause la plus commune reste tout simplement l'âge avancé. Avec le temps, les capteurs, de type mécano-récepteurs, perdent en sensibilité, et deviennent moins nombreux. De plus, la peau elle-même se détend sur l'ensemble du corps, ce qui accentue la perte de sensibilité de nos capteurs.
Quels en sont les symptômes ? La perte de sensibilité chez les seniors peut se manifester de différentes manières. Les symptômes les plus courants sont des picotements, des engourdissements ou des sensations de brûlure dans les membres, les doigts ou les orteils.
Souffrir d'analgésie congénitale c'est ne pas ressentir de douleur lorsque l'on se fait mal. A première vue, cette maladie génétique présente des avantages. Mais être insensible à la douleur c'est aussi se faire mal sans le savoir.
Le seuil de douleur : 120 dB(A)
Le seuil de 120 dB(A) marque le début de la douleur. Nos oreilles nous font mal. C'est un message d'alerte… qui arrive bien tard ! En effet, les seuils de danger pour l'audition et de détection de la douleur sont séparés de 40 dB(A) environ.
insensible adj. Qui n'éprouve pas les sensations, les impressions physiques habituelles, normales.
L'anxiété peut aggraver considérablement la douleur.
Ne pas connaître la cause d'une douleur rend les gens anxieux. Une fois leur affection diagnostiquée, la douleur leur semble souvent moins intense. L'inquiétude quant à la gravité de leur état intensifie souvent leur douleur.
La douleur aiguë joue un rôle d'alarme qui va permettre à l'organisme de réagir et de se protéger face à un stimulus mécanique, chimique ou thermique : elle est liée à des stimulations intenses qui déclenchent immédiatement un mécanisme de transmission d'informations depuis les terminaisons nerveuses – les récepteurs ...
A l'origine de la douleur, il y a un stimulus : le froid, la chaleur (une brûlure par exemple), une pression mécanique, des agents chimiques, une réaction inflammatoire… Ce stimulus va activer les terminaisons nerveuses de neurones spécialisés dans la perception de la douleur.
Les douleurs psychogènes
Elles sont liées à des troubles psychiques qui provoquent une sensation douloureuse en l'absence de toute lésion d'un organe. Elles sont difficiles à mettre en évidence et nécessitent l'avis d'un psychiatre.
Échelle Numérique (EN) De 0 à 10 ou 0 à 100. Le patient nécessite une prise en charge de la douleur si EN ≥ 4/10 (échelle de 0 à 10 en cm) ou EN ≥ 40/100 (échelle de 0 à 100 en mm). Douleur absente = 0 ; douleur faible = 1 ; douleur modérée = 2 ; douleur intense = 3 ; douleur extrêmement intense = 4.
Lorsque votre douleur thoracique s'accompagne de symptômes complémentaires (douleurs diffuses, nausées, vertiges, sensation de battements cardiaques irréguliers etc..), il existe un risque que celle-ci cache une cause grave.
La migraine, la sciatique, l'appendicite, la fracture osseuse ou encore l'attaque cardiaque: autant de pathologique provoquant des douleurs insupportables.
Colique néphrétique
Aucune position ne soulage, ce qui fait dire en faculté de médecine : « colique néphrétique, patient frénétique ».
Elle se nomme “Paraponera Clavata ou encore fourmi balle de fusil”. Elle est venimeuse et lorsqu'elle vous pique, son venin se propage dans tous vos membres. Ce qui va provoquer une douleur tellement atroce qu'elle parvient même à contracter pendant plusieurs heures vos membres touchés.