Il s'agit d'un signe assez fréquent qui peut correspondre à des états très divers, allant de la « dystonie neurovégétative » qui relève de l'anxiété ou de l'extrasystole bénigne à des arythmies cardiaques plus graves qu'il faudra traiter.
Stress. Tensions physiques et mentales. Carence en potassium ou en magnésium. Forte consommation d'alcool, de nicotine ou de café
La faute au surmenage ou au manque de sommeil. Par ailleurs, la consommation de certains excitants tels que le café, la nicotine, l'alcool, les boissons énergisantes, mais aussi la déshydratation et certains médicaments comme les antidépresseurs peuvent favoriser l'apparition de troubles du rythme cardiaque.
Dans la plupart des cas, les palpitations cardiaques sont inoffensives et ne sont pas le signe d'un problème grave ; elles peuvent simplement faire suite à un effort physique, une émotion ou une bouffée d'angoisse. Elles peuvent toutefois traduire l'existence d'un trouble du rythme cardiaque.
Pour le vérifier des cardiologues, proposent un test qui prend moins de deux minutes et qui ne nécessite pas d'autre matériel qu'un escalier. Comment faire ? Lancez un chronomètre et tentez de monter quatre étages : si vous mettez moins d'une minute, cela signifie que votre cœur est en bonne santé.
On parle de tachycardie au-delà de 100 battements par minute. Le stress, l'anxiété, une consommation excessive d'excitants comme le café ou encore un accès de fièvre peuvent expliquer cette accélération du rythme cardiaque. Si le phénomène se produit trop souvent, il faut en parler à son médecin.
Pour l'infarctus du myocarde, le principal signe qui doit alerter est une douleur thoracique en barre, qui serre comme un étau et pèse sur la poitrine. C'est une douleur très forte, qui ne passe pas, avec une irradiation dans le bras gauche, la mâchoire, l'épaule ou le poignet.
Une réduction de l'oxygénation du sang et/ou des tissus accélère le cœur (tachycardie) et peut donner des palpitations : insuffisance respiratoire, maladie hématologique. L'hyperthyroïdie, qui modifie la fréquence cardiaque, peut être à l'origine de palpitations.
De plus, les palpitations peuvent être causées par du stress, une contrariété ou simplement par un repas particulièrement copieux. La consommation d'excitants comme le café, le thé, le tabac, l'alcool, certaines drogues et certains médicaments peuvent aussi en être à l'origine.
Pour prendre son pouls, deux points de pression sont possibles: la carotide sur le côté à la base du cou, ou l'artère radiale sur l'intérieur du poignet. Appliquer l'index et le majeur à ces endroits doit suffire à percevoir les pulsations.
Ces battements rapides et vigoureux sont une réaction normale du cœur (tachycardie sinusale). Les causes comprennent : Exercice physique. Émotions fortes (angoisse, peur ou douleur, par exemple)
Elle peut irradier vers le bras gauche, l'avant-bras, avec parfois une sensation de serrement au poignet, dans le cou, la mâchoire inférieure, parfois dans le bras droit, la nuque, le dos ou la région de l'estomac.
Une douleur dans le bras gauche, en particulier, peut être le signe d'un infarctus du myocarde ou d'une angine de poitrine. C'est pourquoi il est important d'accorder une importance particulière à toute douleur soudaine dans le bras gauche et consulter un médecin sans attendre.
"Typiquement la douleur est thoracique gauche, avec une sensation d'étai et de serrement, favorisée par l'effort. Elle peut irradier dans la gorge, la mâchoire ou le bras gauche, il s'agit parfois d'ailleurs le seul signe, notamment chez les femmes", détaille le médecin.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Il est situé entre les poumons, presque au centre de votre poitrine. C'est le muscle central du corps, et le tout premier organe à se former après la conception. Le cœur est situé dans la poitrine, entre les deux poumons.
L'insuffisance cardiaque traduit une incapacité du cœur à assurer une bonne circulation sanguine en fonction des besoins de l'organisme. Elle fait généralement suite à un infarctus du myocarde au cours duquel des cellules musculaires cardiaques meurent.
L'exercice d'aérobie – ou d'endurance – implique un mouvement continu de vos grands muscles (comme vos jambes). Ce type d'exercice augmente votre respiration et votre rythme cardiaque, ce qui améliore les capacités de votre cœur, vos poumons et votre système circulatoire.
La maladie concerne surtout les hommes de plus de 55 ans et les femmes de 65 à 70 ans. Mais l'infarctus peut survenir plus tôt si les facteurs de risque cardiovasculaire sont cumulés.
Le stress n'est bon ni pour le coeur, ni pour les artères. Il active une réaction en chaîne qui favorise les incidents cardiovasculaires graves et les maladies chroniques. Le stress, un facteur de risque cardiovasculaire au même titre que le tabac.
Mais il s'agit en réalité d'une forme d'insuffisance cardiaque aigue. Le stress brutal déclenche une libération brutale de ces catécholamines, hormones du stress. Elles ont un effet paralysant sur le cœur, qui ne se contracte quasiment plus et n'arrive plus à envoyer le sang dans les artères de notre organisme.