La peur de la solitude est liée à l'angoisse de l'abandon et le sentiment de danger sans personne pour intervenir. La peur trouve souvent sa source dans un traumatisme passé : des parents absents ou distants ; une agression subie par le passé.
Il faut également, à l'aide d'un thérapeute ou d'un coach, d'activités comme la méditation ou le yoga, réapprendre à s'écouter, à se connecter à soi-même, à se regarder dans un miroir et à apprendre à se connaître.
Si vous ressentez un vide lorsque vous êtes seul, c'est un signe que vous perdez votre individualité et que vous dépendez des autres pour faire et ressentir. Cela peut nuire à votre estime de soi et à votre sécurité personnelle.
L'autophobie provient du grec ancien : « auto » fait référence au « soi-même » et « phobie » désigne la « peur irrationnelle ». Une personne autophobe a peur de soi et peur de la solitude. Elle ressent le besoin d'être accompagnée pour faire face à son angoisse de la solitude.
Si tu as peur qu'il t'arrive quelque chose, tu peux garder ton téléphone près de toi et ainsi appeler ta famille, tes amis, les pompiers… Même si finalement tu ne le fais pas, avoir leur numéro à disposition te rassurera !
La méditation vous exerce à libérer votre esprit des idées du passé et des soucis de l'avenir, à vous concentrer sur le moment présent comme sur votre respiration. Elle peut clarifier vos pensées et réduire votre stress. Rire fait toujours du bien : le corps libère de l'endorphine, comme lors de l'activité physique.
On peut décider d'aller marcher en nature, lire un bon livre, ou toute autre activité qui nous aide à nous sentir bien. L'objectif, ultimement, est de rester en bonne santé physique et mentale pour pouvoir en profiter lorsque sera venu le moment de revoir nos proches.
Elle peut aussi être liée à des peurs objectives, à un traumatisme réel, même mineur (avoir été suivi par un inconnu dans un parking, harcelé au téléphone, importuné dans le métro, etc.). Une personne qui a été agressée aura peur que cela se reproduise et ne pourra rester seule.
"Pour positiver la solitude, il faut peut-être avant tout en accepter ses corollaires: les moments de blues et de peur", analyse Cécile, qui poursuit sa quête de sérénité après sa séparation. "On ne peut pas y échapper. Multiplier des activités, oui, mais trop en faire est aussi une fuite en avant.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
Ce type de phobie est habituellement la conséquence d'une expérience traumatisante, et il est important que le patient soit entouré et soutenu.
Ce sentiment de solitude se déclenche pour diverses causes : une période de chômage, des problèmes familiaux, une addiction aux réseaux sociaux, une rupture amoureuse, une maladie... Les raisons sont multiples et ne se ressemblent pas.
La connaissance de soi-même permet d'être heureux seul
Pour pouvoir être heureux seul, il faut se connaître soi-même correctement, s'aimer et connaître ses propres goûts. Pour cela, rien de mieux que de prendre du temps pour soi. Lorsque nous sommes toujours entouré, cela ne laisse aucune place au temps pour soi.
Les meilleurs anti-stress naturels à ingérer
La camomille est connue pour ses vertus relaxantes, idéales pour se libérer du stress. Quant au thé vert, il est tout aussi efficace puisqu'il aurait la capacité de maintenir, voire de baisser, le niveau de cortisol (l'hormone du stress) dans notre corps.
Il n'est pas obligatoire d'être toujours sociable ni de toujours apprécier ou rechercher la compagnie des autres. Ce dont vous nous parlez n'est donc pas, bien entendu, une maladie. Mais tout de même, notre vie est plus intéressante si des liens la nourrissent.