Les facteurs psychologiques Les mauvaises habitudes de vie (manque de sommeil, peu d'activité physique...) et les événements extérieurs (conditions économiques, stress, traumatismes, difficultés relationnelles…) sont susceptibles d'affecter profondément l'état psychologique.
Il est normal, par exemple, d'être plus en colère après une mauvaise nuit de sommeil. Cependant, une irritabilité extrême ou prolongée peut indiquer des problèmes physiques et psychologiques sous-jacents, tels qu'une infection, du diabète, de l'anxiété ou une dépression.
Les sautes d'humeur peuvent survenir en tant que symptôme de troubles psychiatriques, tels que le trouble bipolaire ou le trouble de la personnalité limite, ou elles peuvent être le résultat d'une affection médicale qui affecte directement le système nerveux central, comme la démence, les troubles neurologiques.
Les troubles de l'humeur avec survenue de phases de dépression sont souvent présents dans les maladies neurologiques chroniques comme la sclérose en plaques, la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson ou dans toute autre maladie chronique.
Parmi les causes les plus fréquentes, on retrouve la fatigue mentale et physique, des changements hormonaux (cycle hormonal, syndrome prémenstruel, ménopause, andropause...). Parfois, cela peut être le symptôme d'un mal-être plus profond.
La tristesse sans raison apparente peut être déroutante, surtout lorsque tout semble aller bien dans votre vie. Parfois, cette tristesse peut être le signe d'un trouble anxieux ou d'un stress chronique. L'anxiété peut se dissimuler derrière d'autres symptômes, tant mentaux que physiques.
Les hormones sont les facteurs les plus sensibles chez les femmes, car elles subissent souvent plus de fluctuations hormonales que les hommes. Par exemple, le syndrome prémenstruel, la grossesse et la ménopause peuvent tous contribuer aux changements d'humeur.
Fatigue réactionnelle : quand le corps ne supporte plus le stress. La fatigue réactionnelle est une forme de fatigue temporaire qui trouve son origine dans des perturbations du mode de vie (souvent un rythme de de vie exténuant et usant, des états de stress répétitifs) ou des maladies de courte durée.
Christophe André : "L'énervement est la première étape de la colère. C'est une réponse à l'accumulation, et à la répétition des entraves, des frustrations, et des complications du quotidien. Parfois, on regrette non pas de ne pas être énervé face à une situation, mais de ne pas être intervenu.
Lorsque l'on s'énerve trop souvent pour de mauvaises raisons et que l'on ne parvient plus à garder son calme, la cause est toujours la même : une mauvaise gestion de la colère. Beaucoup de personnes ne font qu'alimenter leur colère au quotidien, et ne savent pas la gérer sainement.
Disposition chagrine, contrariété, déception. Exemple : C'est une personne difficile à vivre et à supporter au quotidien, elle est constamment de mauvaise humeur même lorsqu'elle a des raisons de se réjouir ; elle peut même se montrer agressive.
Chez certaines personnes, la mauvaise humeur matinale trouve aussi son origine dans le choix des horaires du lever. En se levant trop tôt ou trop tard par rapport à ses besoins de sommeil, on viendrait perturber la sécrétion de cortisol, aussi appelée hormone du stress, dans notre organisme.
Un faible taux d'acide folique est associé à une mauvaise humeur. Ainsi, le simple fait de manger des légumes à feuilles vertes, qui sont souvent riches en vitamine B-9, un acide folique naturel, permet de conserver une bonne humeur et une bonne santé émotionnelle.
une perte d'appétit ; un sentiment de grande tristesse sans raison apparente et la volonté de rester seule, de se replier sur soi-même ; l'impression d'avoir perdu le contrôle et de ne pas pouvoir prendre de décisions ; des modifications des relations familiales.
Les causes fréquentes : un stress, qui non traité, se généralise. Parmi les événements de vie qui peuvent déclencher l'anxiété généralisée : – Le stress au travail suscite un épuisement physique et/ou psychique, de même que la perception d'une situation professionnelle instable.
Pour éviter que la situation ne s'envenime, un seul mot d'ordre : ne pas rester seul. Plusieurs structures peuvent vous aider à sortir de cette mauvaise période. Bouleversements physiques et hormonaux, choix d'orientation, quête d'indépendance, nouveaux rapports à l'autre, découvertes des injustices du monde …
La colère peut aussi être un signe d'autre chose, comme la dépression ou l'anxiété, ou le fait d'être victime d'intimidation. Il est important de prendre ces signes au sérieux. Il peut être utile d'en parler à ses amis, à ses parents, à son médecin ou à d'autres personnes en qui on a confiance.