Son nom araméen est Syméon. Pierre est le surnom que lui donne- ra Jésus. Avec son frère André, ils sont les premiers à être recrutés pour devenir élèves de Jésus.
Dans l'évangile selon Matthieu, Jésus, à partir de ce surnom, fait un jeu de mot par paronomase équivalent au sobriquet anglophone « Rocky », d'où le nom que l'intéressé a reçu dans l'espace gréco-latin (Petros ou petra en grec, et Petrus en latin) : « Pierre (Kephas), tu es un roc (grec petros), et sur cette pierre ( ...
Le fait de prendre ce nouveau nom est un signe d'acceptation de l'alliance que son père et son grand-père ont reçue. Lorsque nous nous faisons baptiser, nous contractons des alliances. Nous montrons aussi que nous sommes disposés à prendre sur nous un nouveau nom, celui de Jésus-Christ.
Simon le Cananéen ou Simon le Zélote (de l'hébreu שִׁמְעוֹן Shiemone), est un Juif du I er siècle et l'un des douze apôtres de Jésus-Christ. Il est un apôtre, à ne pas confondre avec le disciple Simon le Magicien qui lui aussi devint chrétien (Actes 8, 9-13).
Paul de Tarse est néanmoins considéré comme le 13e apôtre puisqu'il a été institué par le Christ lui-même sur le chemin de Damas.
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
L'homme qui porte la croix dans les évangiles
dans l'évangile selon Luc : « Comme ils l'emmenaient, ils mirent la main sur un certain Simon de Cyrène qui revenait des champs, et le chargèrent de la croix pour la porter derrière Jésus » (Luc).
Dans l'Invention de la croix par Protonikè (BH0 211), conservée dans deux versions en syriaque qui datent au plus tôt des IV e – V e siècle, il est rapporté que la croix de Jésus a été confiée d'abord à Jacques le frère du Seigneur et ensuite à Siméon, fils de Clopas, devenu évêque de Jérusalem vers 73 et martyrisé ...
Signification : Le prénom Simon est un dérivé du mot "shim'ôn" qui signifie "qui est exaucé".
La tradition biblique rapporte l'origine de ce nom dans le livre de la Genèse, quand le troisième des patriarches hébreux, Jacob, est renommé Israël (« Celui qui lutte avec Dieu » ou « Dieu est fort, Dieu triomphe ») après avoir combattu avec un ange de Dieu.
Israël est le nom que s'est donné, selon la Bible, Jacob, fils d'Isaac et petit-fils d'Abraham, d'après une expression hébraïque qui signifie : «Dieu s'est montré fort».
C'est un personnage de la Bible (dans le livre de la Genèse) et il est également mentionné dans le Coran. Isaac est le fils d'Abraham et de Sarah, le mari de Rébecca, le père de Jacob et d'Ésaü, et le demi-frère d'Ismaël.
Damase I er est le premier pape à distinguer Rome comme étant le Siège apostolique, établi par l'apôtre saint Pierre, fondateur de l'Église catholique romaine.
Les âmes des morts passent devant les trois juges Éaque, Minos et Rhadamanthe qui statuent sur leur sort pour l'éternité.
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (Mc 15,34 et Mt 27,46) crié « à voix forte » en araméen Eloï, Eloï, lama sabbaqthani ? (Ps 22:2) Souffrance suprême du sentiment d'abandon : la nuit obscure de l'homme Jésus, qui pourtant cite un psaume qui s'achève sur la réhabilitation du juste – et la mort survient à ...
Dans certaines des illustrations qui les accompagnent, en effet, la croix ou le crucifié se dressent contre le lit du mourant pour l'inviter à se préparer à quitter ce monde et à remettre son âme à Dieu.
Dans les Évangiles
La descente de croix a lieu le soir de la Crucifixion et Joseph d'Arimathie demande à Ponce Pilate l'autorisation d'emporter le corps de Jésus. Ponce Pilate, étonné que la mort soit arrivée si vite, demande la confirmation à Longin le Centurion qui perça le côté droit de Jésus avec la Sainte Lance.
Cette barre symbolise le lien entre les pécheurs et le Christ sauveur. Elle est penchée vers la gauche (côté du mauvais larron qui n'est pas sauvé), son côté droit étant plus haut (côté du bon larron sauvé par le Christ).
À l'origine, bien des siècles avant Jésus, on a l' habitude en terre d'Israël de tracer sur le front un signe de bénédiction divine en forme de +, ancienne graphie du tav, la dernière lettre de l'alphabet hébraïque désignant le T de Torah. La Torah est bienfaisante dans la vie des hommes, elle est chemin vers Dieu.
Le front symbolise l'esprit, la poitrine le cœur, l'épaule droite la justice, et l'épaule gauche la miséricorde qui tempère la justice. Ces trois doigts symbolisent la Trinité (Père, Fils et Esprit) et se réunissent à leur sommet pour marquer que Dieu est Un.
Histoire. Le plus vieux texte religieux connu est l'hymne au temple de Kesh (en), tablette d'argile sumérienne qui date de 2600 av. J.C. Le Rig-Véda, collection d'hymnes de l'Inde antique composés en sanskrit védique entre 1500 et 900 av.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).