Le monogramme IHS (parfois IHC, JHS ou JHC) est une abréviation et une translittération imparfaite du nom de « Jésus » en grec : Ι = J, Η = E et Σ = S (JES. = Jesus/Ἰησοῦς, IHΣOYΣ = nom complet en grec).
La croix est le principal symbole du christianisme. Considérée de nos jours comme l'image du gibet de la Crucifixion du Christ, elle appartient à une symbolique plus ancienne.
La charrue, la couronne, le char, l'étoile, le poisson, la palme : de nombreux symboles chrétiens sont oubliés ou incompris. Sait-on que la Croix est apparue à l'origine non comme une allusion à la Passion du Christ, mais comme une désignation de sa Gloire divine ?
Le Logos est une notion empruntée à la philosophie hellénistique qui signifie « parole », au sens premier, mais aussi « raison, intelligence », et qu'on traduit par le terme Verbe ou Parole dans les textes anciens. Le titre « Logos » est donné à Jésus par saint Jean dans le Prologue de son Évangile (Jn 1:1-18).
* La forme de l'édifice : souvent en forme de croix, avec la nef et le chœur coupés par le transept figurant les bras du Christ en croix. * Le clocher signale l'église. Le tintement des cloches convoque au rassemblement dominical et annonce les étapes de la vie chrétienne (baptême, mariage, enterrement).
La croix huguenote ou croix des protestants reprend la forme de la croix de Malte ou croix de Saint Jean, avec quatre branches de taille égales dessinant un total de huit pointes. Entre chacune de ces branches sont insérées des fleurs de lys.
Les croix orthodoxes, aussi appelée croix à huit branches, est une variante de la croix chrétienne, et se caractérise par ses trois barres horizontales. Comme pour la croix catholique, on retrouve la forme centrale, qui figure la croix sur laquelle fut crucifiée Jésus Christ.
Étymologie. (Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Le mot grec θεός « dieu » pose des problèmes étymologiques déjà depuis Socrate (<*θέ(F)ω « courir ») et Hérodote (<τίθηµι « établir ») [2][2]Platon, Cratyle, 397 c-d (en tenant compte de l'ironie dont….
Trop souvent, on parle indistinctement de Bible et de Parole de Dieu. Or, la Bible n'est pas spontanément Parole de Dieu : elle le devient. L'enjeu est important. Dieu se révèle comme Parole incarnée, comme Parole adressée, comme une Bonne Nouvelle qui nous concerne et nous implique.
Un christogramme est un monogramme ou une combinaison de lettres qui forme une abréviation pour le nom de Jésus-Christ, traditionnellement utilisé comme un symbole chrétien. Différents types de christogrammes sont associés aux différentes traditions du christianisme.
Dieu le Père et Jésus.
Crucifix est un terme issu du latin ecclésiastique du XII e siècle crucifixus, participe passé du verbe crucifigere, qui signifie « fixer sur une croix ». Un crucifix est donc une croix supportant une statuette de Jésus-Christ dans la posture de la crucifixion.
Pratiqué depuis le IIIe siècle, le signe de croix se dessinait à l'origine uniquement sur le front. Il reproduisait en miroir le geste du prêtre qui bénit l'assemblée du haut vers le bas puis de la gauche vers la droite. L'assemblée effectuait donc son signe de croix de la droite vers la gauche.
Le signe de croix est attesté par Tertullien comme une pratique habituelle chez les chrétiens à la fin du II e siècle-début du III e siècle, en guise de protection et en signe d'appartenance à la communauté chrétienne.
Beaucoup de gens se posent la question : pourquoi certaines personnes non religieuses portent-elles une croix autour du cou ? La réponse est simple. Ces personnes recherchent un porte-bonheur qui les protégeraient. D'autres en porteraient comme un guide qui les aiderait à prendre de bonnes décisions.
La création du monde est relatée dans deux récits successifs dans les deux premiers chapitres du Livre de la Genèse. Dans le premier (Genèse 1-2:4), Dieu, entité nommée Elohim en hébreu, crée les cieux et la Terre en six jours, puis se repose et sanctifie le septième jour.
C'est ainsi, d'après Matthieu (1, 18-24), seul évangéliste avec Luc à donner un récit circonstancié de la naissance de Jésus, que Joseph accepta le rôle de père adoptif.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
1. (Au singulier ou au pluriel, avec une minuscule, et un féminin déesse) Dans les religions polythéistes, être supérieur doué d'un pouvoir surnaturel sur les hommes ; divinité : Les dieux des Romains.
Les divinités premières qu'il cite sont : Chaos (Béance, Faille), suivi par Gaïa (la Terre), Tartare (les entrailles de la Terre), Éros (le Désir), Nyx (la Nuit) et Érèbe (les Ténèbres), puis par Ouranos (le Ciel et la Vie), Éther (le Ciel supérieur) et Héméra (le Jour).
Alors, vous avez trouvé ? Rien, car rien n'est mieux que Dieu, rien n'est pire que le Diable. Les pauvres n'ont rien, les riches n'ont besoin de rien et si l'on ne mange rien, on meurt.
L'Église orthodoxe professe que Dieu se révèle par le témoignage donné par la personne de Jésus-Christ : « Je suis le chemin, la Vérité et la Vie » (Évangile de Jean, 14:6) et par l'inspiration du Saint-Esprit : « Quand deux ou trois se réunissent en mon nom, je suis au milieu d'eux » (Évangile de Matthieu 18:20).
Cependant, il faut convenir que, dans le langage courant, être catholique signifie, en général, être né dans une famille appartenant à cette tradition, tandis qu'être chrétien, au sens propre du terme, signifie s'être volontairement et sciemment tourné vers Jésus-Christ.
L'Eglise orthodoxe est restée fidèle à la tradition depuis les origines évangéliques pour ce rituel qui symbolise l'adhésion totale au Christ et le fait de « revêtir le Christ ».