Historiquement les chrétiens n'ont fixé la naissance de Jésus à Noël (le jour « natalis ») le 25 décembre qu'à partir du 4ème siècle[1], et c'est finalement l'empereur Théodose II qui l'a officialisée. Il s'agissait de remplacer les fêtes païennes du solstice d'hiver.
Le choix du 25 décembre revêt pour sa part un caractère symbolique puisqu'il correspond au solstice d'hiver, c'est-à-dire le moment de l'année où le jour cesse de diminuer.
Les historiens s'accordent généralement pour situer la naissance de Jésus entre cinq et sept années avant notre ère. "On sait qu'il est né du temps du roi Hérode le Grand, qui est mort en -4 avant notre ère", indique Jean-Christian Petitfils.
La naissance de Jésus de Nazareth est fêtée par les chrétiens le jour de Noël, le 25 décembre du calendrier julien ou du calendrier grégorien. Pour l'Église russe et les anciennes Églises d'Orient qui utilisent toujours le calendrier julien, le 25 décembre julien correspond au 7 janvier du calendrier grégorien.
En effet, le 25 décembre représente pour eux la fête de la Nativité, soit la naissance de Jésus.
Une fête aux origines païennes
Pour la religion chrétienne, la fête de Noël n'existait pas. Ce n'est qu'à partir du IIe siècle, que l'Eglise recherche la date précise de la naissance du Christ. La date du 25 décembre fut fixée vers l'année 300 par Rome, afin de christianiser les rites issus de la culture populaire.
Pour la recherche contemporaine, les dates les plus fréquemment proposées sont le 7 avril 30 et le 3 avril 33 (calendrier julien). Selon les évangiles canoniques, Jésus est crucifié sous la préfecture en Judée de Ponce Pilate, dont on sait par ailleurs qu'elle dure de 26 à 36.
Au VIe siècle, Denis le Petit, un moine historien, cherche à savoir quand exactement le temps des chrétiens a commencé. Pour lui, le début de l'ère chrétienne, c'est l'année où Jésus est né. Denis le Petit fait ses calculs et fixe ainsi l'an 1. Un nouveau calendrier est adopté.
Noël, c'est la fête d'une naissance survenue il y a plus de 2000 ans et racontée dans la Bible, dans l'Évangile selon Luc, au chapitre 2.
Historiquement les chrétiens n'ont fixé la naissance de Jésus à Noël (le jour « natalis ») le 25 décembre qu'à partir du 4ème siècle[1], et c'est finalement l'empereur Théodose II qui l'a officialisée. Il s'agissait de remplacer les fêtes païennes du solstice d'hiver.
C'est la septième fois qu'il vient à Paray-le-Monial. « La Cité du Coeur de Jésus », comme l'indique une banderole : c'est là qu'est apparu Jésus montrant son « Coeur qui a tant aimé les hommes » à une jeune visitandine, de 1673 à 1675. Des apparitions qui datent.
Ils peuvent donc demander : “Qu'y avait-il avant Dieu ?” Mais le Dieu éternel n'est pas un effet. Il n'y a jamais eu de temps où il ne fut pas. L'existence de Dieu ne dérive de rien d'autre que de lui-même, et elle ne dépend de rien d'autre que de lui-même.
Est-ce que Noël est une fête religieuse ? Depuis son appropriation par la culture chrétienne, Noël est bien devenu une fête religieuse. Mais c'était déjà le cas plus tôt, puisque dès l'époque romaine, on célébrait le 25 décembre le culte de Mithra, divinité venue de la Perse et incarnant la lumière.
Les chrétiens (catholiques, adventistes et évangéliques) ne voient pas tous Noël de la même manière. Pour les uns, majoritaires, il s'agit de célébrer la naissance de Jésus, pour les autres, l'observance de cette fête n'est pas ordonnée par les Écritures.
Du latin natalis «de naissance», le mot «noël» est l'élision de la locution natalis dies «jour de naissance».
Mais selon Ahmed Benani, politologue et anthropologue des religions, célébrer la naissance de Jésus ne poserait pas de problème. Rien, d'après le Coran, ne l'interdirait si les musulmans voulaient le faire.
Dans l'islam, Noël n'est pas une fête. Il n'empêche que les musulmans considèrent Jésus (ou Isa en arabe) comme un prophète dans le Coran. Il est d'ailleurs plus souvent nommément cité que le prophète Mahomet ! Si sur le plan religieux, Noël n'a pour eux aucun sens, au niveau culturel c'est autre chose.
Après Pâques, Noël est en effet la deuxième fête la plus importante du calendrier liturgique chrétien (la Nativité du Seigneur est l'une des Douze Grandes Fêtes orthodoxes).
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus- Christ.
Savez-vous en quelle année Jésus est né? Précisons d'abord qu'il n'est pas né en l'an zéro; l'an zéro n'existe pas puisque notre calendrier passe de 1 avant J.
Joseph (Nouveau Testament)
Le récit littéraire de la mort se déroule dans un cadre marqué par un rythme de trois heures dans l'Évangile selon Marc : Jésus est crucifié à la troisième heure (9 heures du matin), les ténèbres débutent à la sixième heure (à midi) et la mort survient à la neuvième heure (trois heures de l'après-midi).
On ne voit pas, dans les Évangiles, que Jésus ait beaucoup fréquenté les bandits : il n'en eut pas l'occasion. Et voilà qu'en une demi-journée, la dernière de sa vie mortelle, son destin se trouve intimement mêlé au destin de trois brigands : Barrabas, et les deux larrons crucifiés en même temps que Jésus.
Les catholiques et les églises orthodoxes situent le tombeau de Jésus dans l'église du Saint-Sépulcre. Cette dernière est construite sur les lieux présumés du Calvaire, le mont Golgotha, qui servait de carrière de pierre « meleke » depuis le VIII e siècle av.
Entre le XVIe et le XVIIIe siècle, à Paris, les oranges étaient cultivées dans des bâtiments chauffés appelés des « orangeries », des lieux de prestige faits pour impressionner. Offrir une orange à Noël était donc synonyme de bonne santé financière.