La croissance économique se heurte à des limites écologiques telles que l'épuisement des ressources, l'augmentation des gaz à effet de serre, etc. La prise en compte de ces limites aboutit à la notion de développement durable.
Pour ce faire il faut donc soit préserver l'environnement à l'aide de politiques climatiques comme la réglementation, la taxation ou le marché des quotas, soit pouvoir maintenir le stock de capital physique, naturel, humain et institutionnel au niveau actuel, via notamment le progrès technique notamment, qui devrait ...
- déforestation liée à l'utilisation du bois mais aussi à l'extension des surfaces agricole ; - concentration de gaz à effet de serre et dérèglements climatiques (canicules, tsunamis, ouragans, …) que cela génère. - catastrophes écologiques telles que des accidents pétroliers, nucléaires ou chimiques.
Certaines conséquences de la croissance économique comme la pollution et les atteintes à l'environnement, l'accentuation des inégalités sociales ou l'épuisement des ressources naturelles (pétrole, métaux notamment) sont souvent considérés comme des effets pervers qui obligent à distinguer croissance et progrès.
L'épuisement des ressources naturelles a un impact sur la croissance des pays producteurs, mais aussi des pays consommateurs, car la rareté modifie les coûts et donc les prix des produits utilisant les ressources non renouvelables comme intrants.
Cette rareté peut être provoquée essentiellement par trois facteurs : La rareté provoquée par la demande : l'accroissement démographique ou la hausse des niveaux de consommation tend à provoquer la raréfaction des ressources naturelles accessibles à chaque personne.
Du fait de leur disponibilité limitée, les ressources non renouvelables arrivent souvent en tête quand il s'agit d'évoquer le phénomène de rareté. Cette notion s'étend pourtant à l'ensemble des ressources naturelles en raison de nombreux facteurs, comme : - Une hausse permanente de la demande.
La croissance économique et la protection environnementale peuvent être complémentaires. L'idée selon laquelle la réduction des émissions de gaz à effet de serre ne pouvait se faire qu'au détriment de la croissance économique a longtemps prévalu dans les milieux d'affaires et décisionnels.
Evidemment, les régulations écologiques n'ont pas qu'un effet négatif sur l'économie : elles permettent aussi de faciliter la transition vers de nouveaux modèles de production, permettant ainsi d'accéder à de nouveaux marchés, donc de créer parfois des emplois.
⁞ La croissance économique a des limites écologiques car elle provoque des externalités négatives : ↗ GES, pollution de l'air, des sols, de l'eau, épuisement des ressources naturelles non renouvelables (pétrole, gaz...), surexploitation des ressources naturelles renouvelables (déforestation, ressources halieutiques...)
La croissance économique correspond à l'augmentation de la production de biens et de services d'un ensemble économique sur une période donnée.
La croissance permet de réduire la pauvreté et le chômage. La croissance permet d'une part, de réduire le chômage, ainsi que les autres formes d'exclusion. En effet la croissance économique est créatrice d'emploi puisqu'elle nécessite une main d'œuvre.
Ainsi, les avancées technologiques pourraient dans le futur permettre de remplacer le capital naturel détruit et offrir la possibilité aux générations futures de se développer. Dans ce cas, la croissance économique est perçue comme un moteur de la transition écologique.
Les sources de la croissance économique sont multiples. L'accumulation des facteurs de production et d'investissement est essentielle pour favoriser la croissance économique à court terme. L'innovation et le progrès technique sont importants sur le long terme.
Les limites de l'action de l'Etat sont de deux ordres : empiriques avec des contraintes de financement, mais aussi théoriques avec l'essor d'une critique libérale virulente. La crise d'efficacité de l'Etat se double donc d'une crise de légitimité de l'action publique.
Six problématiques majeures sont traitées: (1) l'utilisation de terres par l'homme, (2) la modification de la composition de l'atmosphère, (3) la diminution des ressources en eau, (4) la perturbation du cycle de l'azote, (5) la perte de biodiversité, (6) l'épuisement de pêcheries.
Ces trois grands enjeux du développement durable sont imbriqués les uns avec les autres : l'économie affecte l'environnement, la crise écologique a des conséquences économiques et sociales, la performance de nos entreprises et leur capacité à assurer nos besoins dépend directement de notre capacité à préserver les ...
Utilisation d'énergies renouvelables, innovations techniques pour consommer moins, recycler les déchets, ne plus polluer… l'économie qui prend soin de l'environnement est un nouveau modèle qui permet de répondre aux besoins de tous les humains dans l'immédiat, et tout en assurant l'avenir.
La croissance économique, source d'enrichissement et de progrès, engendre en parallèle des externalités négatives : pollution, nuisances, gaspillages, réduction de la biodiversité, déforestation, épuisement des ressources non renouvelables (ex: pétrole, gaz naturel…).
Les liens entre croissance économique et qualité de l'environnement se concentrent en fait sur cinq éléments: (i) le degré de substituabilité entre actifs naturels et actifs artificiels, (ii) la prise en compte du changement dans les technologies et le capital humain, (iii) le commerce international des ressources ...
Changement climatique, pollution, effet de serre, diminution des ressources naturelles, réduction de la biodiversité…
L'exploitation des ressources naturelles a de graves conséquences sur l'environnement, principalement sur l'eau et le climat. Les agrosystèmes utilisés par l'Homme polluent l'eau. En effet, les engrais peuvent être retenus au niveau du sol ou s'enfoncer dans la terre.
La fabrication d'un produit nécessite des ressources dont les quantités peuvent être limitées : le travail des hommes, les machines, les bâtiments, les ressources naturelles non renouvelables (pétrole etc.).