Le THC du cannabis manipule le chemin que votre cerveau utilise pour réguler vos sens. Finalement, le THC nous donne la foncedalle en convainquant notre cerveau que notre corps a besoin de nourriture.
Ainsi, le cannabis fait maigrir car les molécules de THC et CBD vont influencer le système nerveux, qui va jouer un rôle sur les graisses et donc la perte de poids. Pour lutter et réguler le surpoids et l'obésité, certains n'hésitent plus à fumer un joint par jour pour maigrir.
En fait, les fumeurs réguliers de cannabis enregistrent généralement une baisse d'insuline d'environ 15 % au réveil. Un autre élément de preuve qui soutient le lien entre la marijuana et la perte de poids est une étude publiée dans la revue Nature.
Il s'avère en effet que la consommation de cannabis stimule les neurones pro opiomelanocortides. En temps normal, ces neurones envoient un signal chimique indiquant au corps qu'il est arrivé à satiété. Mais sous l'effet du THC, celles-ci envoient un signal inverse, une beta-endorphine.
La responsable de l'étude ne promeut en aucun cas le cannabis comme un moyen de perdre du poids. L'étude ne prouve également pas que fumer du cannabis fait perdre du poids aux gens ou les aide à éviter d'en gagner.
La prise de MDMA peut avoir pour effet notamment d'entraîner une crispation de votre mâchoire qui peut faire apparaître ce qui ressemble à des boules et éventuellement déformer légèrement votre bouche. Il y a peut-être eu aussi de votre part un "grossissement" du phénomène.
Le gène AZGP1 est en fait plus actif chez les fumeurs or, la protéine codée par ce gène régule la masse grasse, alors que la prise alimentaire et de boissons reste la même. En arrêtant de fumer, le taux de synthèse de la protéine baisse et, associé aux grignotages liés au manque, fait reprendre des kilos.
Habituellement, ils sont censés envoyer un message de faim au cerveau quand l'organisme est en manque. Autrement dit, ce sont ces cellules nerveuses qui contrôlent notre appétit. Mais avec le cannabis, les neurones POMC sont troublés. Avec la marijuana, ils envoient un message de faim, même quand l'organisme est repu.
Lorsqu'on fume, le THC (le Tétra-Hydro-Cannabinol, la principale molécule active) présent dans le cannabis est transformé par notre organisme et produit des cannabinoïdes. Ils vont stimuler nos régulateurs d'appétit et faire dire à notre cerveau : « MANGER MANGER MANGER ! ! ! ».
Le rythme de perte de poids conseillé pour rester en bonne santé est de 0,5 à 1 kg par semaine.
Sensation de faim insatiable souvent associée à la consommation de cannabis.
L'explication serait que le THC, en se fixant notamment sur les récepteurs cannabinoïdes de l'hypothalamus, modifie les sensations de faim et de soif contrôlées par cette partie du cerveau.
(Nom 2) (Années 1970) De l'anglais joint , emprunté au français et qui a pris, dans l'argot américain, sous la prohibition, le sens de « lieu de rencontre plus ou moins illégal » où boire de l'alcool, fumer de l'opium, etc., et, par métonymie, le lien pour se shooter, la cigarette de marijuana, etc.
Sous l'influence du cannabis, au lieu de signaler la satiété, ces neurones envoient le message inverse en sécrétant des endorphines. Résultat: le cerveau croit que l'organisme a faim, même s'il est plein comme une huître.
La nicotine contenue dans le tabac diminue l'appétit, augmente les dépenses énergétiques et ralentit le stockage des graisses. Il est donc possible de prendre un peu de poids quand on arrête de fumer, mais ce n'est pas toujours le cas. D'ailleurs, un fumeur sur trois ne grossit pas après avoir arrêté de fumer.
Arrêt du tabac et prise de poids vont souvent de paire
Résultats : Parmi les participants qui ont réussi a arrêter de fumer, les femmes ont pris 5,2 kg en moyenne pendant la première année d'abstinence tabagique, les hommes 4,9 kg.
En plus d'être fortement addictive, cette molécule a en effet la particularité d'accélérer le métabolisme et aide par conséquent à brûler des calories. Par ailleurs, la nicotine augmente le taux de glycémie dans le sang ; ce qui a un effet coupe-faim avéré sur l'organisme.
Le THC, le principe actif contenu dans la marijuana, est le principal responsable de ses dommages buccaux. Les dentistes estiment que cette substance modifie la flore buccale, diminue la production de salive, épaissit et rend la plaque dentaire plus collante et difficile à éliminer.
Les effets recherchés lors de la consommation d'une drogue ou d'un médicament psychotrope varient en fonction de chacun, mais sont notamment d'ordre anxiolytique (euphorie, bien-être, apaisement…), stimulant (toute-puissance, disparition de la fatigue, indifférence à la douleur…), ou encore hallucinatoires ( ...
Concentration et mémoire
C'est le cas du cannabis et de l'ecstasy. En effet, la molécule de THC (tétra-hydro-cannabinol) contenue dans le cannabis diminue considérablement les performances de mémorisation et de concentration d'une personne.
Si le CBD, à dosage raisonnable, joue comme la THC un rôle dans le soulagement des nausées, il ne donne toutefois pas la célèbre Foncedalle connue par les consommateurs de joints. C'est même le contraire ! Le CBD, en stimulant les récepteurs CB1 du système endocannabinoïde, entraîne une baisse de la sensation de faim.
foncedalle en anglais
foncedalle dans anglais se traduit par : munchies (1 traductions totales).