On avait presque oublié Lors des Oscars 2022, suite à une blague lancée par son présentateur Chris Rock à l'encontre de la femme de Will Smith, ce dernier avait répliqué en le giflant devant toute l'assistance. Quatre mois après cette malheureuse affaire, Will Smith revient sur cet incident.
Pour rappel, Will Smith a giflé Chris Rock sur la scène de la 94e cérémonie des Oscars , après une mauvaise blague au sujet du crâne rasé de Jada Pinkett Smith, son épouse qui souffre d'alopécie.
La femme de l'acteur est atteinte d'alopécie, une maladie provoquant une importante chute de cheveux, dont elle a révélé souffrir voici quelques années. Chris Rock l'a comparée à Demi Moore dans le film «À armes égales», réalisé en 1997 par Ridley Scott, dans lequel elle arbore un crâne rasé.
Historiquement, elle descend du fameux «soufflet» qui, en des temps reculés, visait à rétablir l'honneur de celui qui l'administrait : «Jusqu'au 19e siècle, la gifle devant témoins était déclencheuse de duels», rappelle Elodie Laye Mielczareck.
L'acteur n'a visiblement pas apprécié une plaisanterie sur le crâne rasé de Jada Pinkett Smith, son épouse, qui souffre d'alopécie. En pleine cérémonie des Oscars, dimanche 27 mars 2022, il s'est levé de son siège pour gifler Chris Rock, l'un des présentateurs de la soirée. Un geste qui fait grand bruit.
Chris Rock ignorait que Jada Pinkett Smith souffrait d'alopécie. Du moins, c'est ce que son petit frère Kenny a confié au «Los Angeles Times». Selon lui, jamais l'humoriste de 57 ans n'aurait blagué sur ses cheveux en pleine cérémonie des Oscars s'il était au courant de sa maladie. «La blague était drôle.
Will Smith a publié une vidéo ce vendredi sur sa chaîne YouTube dans laquelle il s'excuse une nouvelle fois d'avoir giflé Chris Rock en pleine cérémonie des Oscars. "Je te demande pardon. Mon attitude était impardonnable" déclare-t-il face à la caméra.
Will Smith s'énerve puis s'excuse
Après avoir violemment giflé Chris Rock il s'est mis à crier dans la salle : «Laisse le nom de ma femme hors de ta p**** de bouche.». L'interprète du père des sœurs Williams dans le film «La méthode Williams», a ensuite reçu l'Oscar du meilleur acteur pour son rôle.
Chris Rock se trouvait sur la scène pour remettre l'Oscar du meilleur film documentaire lorsqu'il a taquiné le couple Smith, assis dans la salle. C'est une plaisanterie sur le crâne glabre de Jada Pinkett Smith qui lui a valu le courroux de prince du Bel-Air. "Jada, je t'adore, j'ai hâte de voir G.I.
Après la gifle des Oscars, une blague de Will Smith sur les chauves refait surface. En 1991, alors invité pour «The Arsenio Hall Show», l'acteur se moque de la calvitie du bassiste de l'émission, John B. Williams.
D'abord, il faut savoir pourquoi la blague de Chris Rock est si mal passée. Chris Rock a fait une plaisanterie sur l'épouse de Will Smith, Jada Pinkett Smith en comparant ses cheveux, coupés à ras, au crâne rasé de Demi Moore dans le film. Jane) de Ridley Scott (1997).
C'est l'événement qui a secoué Hollywood. Ce dimanche en pleine cérémonie des Oscars à Los Angeles, Will Smith a violemment giflé l'humoriste Chris Rock après une blague sur le crâne rasé de son épouse, Jada Pinkett Smith, atteinte d'alopécie - une maladie entraînant une chute importante des cheveux.
Les Oscars du cinéma (Academy Awards) sont des récompenses cinématographiques américaines décernées chaque année depuis 1929 à Los Angeles et destinées à saluer l'excellence des productions américaines et internationales du cinéma.
GI Jane est un film bien connu sorti en 1997 qui suit l'intrigue de la protagoniste, Jane, jouée par Demi Moore, qui a la tête rasée. Les commentaires de Rock faisaient référence aux similitudes entre GI Jane et Pinkett Smith, qui s'est rasé la tête dans le cadre de son combat contre l'alopécie.
Scène choc à la 94e cérémonie des Oscars : l'acteur Will Smith a frappé, sur scène, l'humoriste Chris Rock après une blague de ce dernier sur l'épouse du premier.
Les violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente sont punies de 15 ans de réclusion criminelle.
La fessée et les autres punitions corporelles, comme secouer, gifler, taper ou pincer, ont des effets négatifs sur le développement psychologique et social d'un enfant. Pour bien se développer, l'enfant a besoin de vivre un sentiment de sécurité physique et psychologique.
Il est passible d'une amende pouvant atteindre 150 000 euros et d'une peine d'emprisonnement de 30 ans. Une personne victime de coups et blessures peut porter plainte auprès du commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie le plus proche.
L'argile verte active la résorption. En cataplasme, l'argile verte décongestionne. Délayez de la poudre (en pharmacies ou magasins bio) dans de l'eau froide pour obtenir une pâte épaisse.
Une claque (ou une gifle) est un coup porté (souvent sur la joue) avec le plat de la main ou un gant ou une mitaine.
La dénonciation calomnieuse constitue un délit puni par le Code pénal. Elle consiste à porter à la connaissance de l'autorité un acte ou un fait inexistant répréhensible et punissable. Les textes la définissent comme la dénonciation d'un fait que l'on sait inexact.
Cingler, fouetter vivement le visage de quelqu'un, en parlant du vent, de la pluie, etc. 3. Atteindre quelqu'un dans son amour-propre, l'humilier.
Cette volonté peut être liée à plusieurs facteurs : d'une part, dans notre société genrée, les femmes sont éduquées à prendre soin des autres – cette idée peut être intériorisée si profondément qu'elle apparaît même lorsque l'autre en question fait preuve de violence.
Si les violences conjugales sont fréquentes, elles peuvent être qualifiées de violences habituelles. La peine maximale est alors de : 5 ans de prison et 75 000 €d'amende, en cas d'ITT inférieure ou égale à 8 jours, 10 ans de prison et 150 000 d'amende en cas d'ITT supérieure à 8 jours.
Si la durée de l'ITT est supérieure à 8 jours, alors infraction sera un délit de la compétence du tribunal correctionnel. Les violences volontaires ayant entraîné une ITT supérieure à 8 jours qui constitueront dans tous les cas un délit relevant du tribunal correctionnel.