Il fait la guerre pour augmenter son territoire, sa population, et donc faire progresser son économie et son armée. Il fait la guerre aussi pour unifier l'Allemagne au détriment de ses voisins : en 1864, au Nord, contre le Danemark : c'est la « la guerre des Duchés » ; en 1866, au Sud, contre l'Autriche.
L'armée allemande envahit la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant la Seconde Guerre mondiale. En réponse à l'agression allemande, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne nazie.
Les relations internationales de la première moitié des années 1920 sont marquées par des problèmes liés à l'application du traité. C'est un sujet constant de tensions entre la France et l'Allemagne, en particulier sur la question des réparations financières.
La guerre franco-allemande de 1870 est un conflit entre la France de Napoléon III et la Prusse de Guillaume Ier. Résumé de cette lourde défaite française.
Ce conflit résulte de la volonté prussienne d'unifier l'Allemagne, qui était jusque-là une mosaïque d'États indépendants. Or, depuis 1866, la France empêche les États du sud de l'Allemagne de rejoindre la Confédération de l'Allemagne du Nord formée autour de la Prusse. Il faut donc faire sauter le verrou français.
Elle permet à Bismarck de se rapprocher de Napoléon III, qui est contre l'Autriche. Napoléon III accepte de ne pas intervenir dans la guerre entre la Prusse et l'Autriche, dont la Prusse ressort triomphante. La France devient alors le dernier ennemi de l'unification allemande, puisqu'elle a l'Alsace et la Lorraine.
Quelques jours après la signature de la paix, le 28 juin, la cérémonie est à la fois un hommage aux 1 400 000 hommes tombés en quatre ans et une célébration de la victoire, celle de la France. L'armée française a joué un rôle capital dans la victoire sur l'Allemagne durant la Première Guerre mondiale.
En guerre depuis deux jours déjà contre la Russie, elle veut prévenir une attaque conjointe de la Russie et de la France contre son territoire et met en oeuvre sans attendre le plan ébauché vingt ans plus tôt par un officier d'état-major (le plan Schlieffen).
Motivations et justifications idéologiques et politiques. La volonté allemande d'écraser définitivement la Russie, adversaire oriental de l'Allemagne dans le cadre d'une guerre sur deux fronts, remonte à la Grande Guerre. Cette volonté est renforcée par la mise en place du régime communiste.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
Le 5 juin 1940, l'armée allemande lance l'invasion de la France (Fall Rot), que les restes de l'armée française ont du mal à empêcher. Le 10 juin, le front est percé sur la Somme. Les Allemands prennent Paris le 14 juin, puis Orléans le 16 juin.
L'Allemagne envahit la France en mai 1940, Dans ces images, on peut voir les chars, l'artillerie et les bombardiers allemands attaquer la ligne Maginot, un ensemble de fortifications françaises visant à protéger la frontière française avec l'Allemagne.
“La langue, la gastronomie, les voitures — il y a bien des choses que nous apprécions en France”, écrit le quotidien allemand Die Welt ce dimanche 7 mai, jour de vote dans l'Hexagone. Le journal publie ainsi “six déclarations d'amour à notre voisin avant le tour décisif de la présidentielle”.
Le Président du Conseil français Édouard Daladier et son ministre des affaires étrangères Georges Bonnet demandent au président de la République Albert Lebrun de déclarer à son tour la guerre au nom des engagements internationaux de la France (et sans consulter le Parlement). C'est chose faite à 17h.
L'objectif de cette Résistance est de libérer la France de l'occupation allemande avec l'aide des Alliés (principalement le Royaume-Uni et les États-Unis), ou tout au moins de harceler les troupes du Reich.
Les causes de conflit sont vieilles comme le monde.
Ils sont exacerbés par des émotions et des sentiments humains comme la peur, l'appât du gain, la haine et l'ambition, alliés à des intérêts politiques, économiques, ethniques, nationalistes et autres enjeux religieux.
“Vladimir Poutine veut faire la jonction entre la Crimée et les territoires conquis autour de la Crimée.”(...), détaille Emmanuel Dupuy, président de l'Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE) . “Il va, petit à petit, grignoter le territoire pour aboutir à une sorte de cohérence géographique”, ajoute-t-il.
28 juin : assassinat de l'archiduc François-Ferdinand, héritier de l'empire Austro-Hongrois, par un nationaliste serbe. Ce fut l'événement déclencheur de la Première Guerre mondiale.
Sous le nom de code « Opération Barbarossa », l'Allemagne nazie envahit l'Union soviétique le 22 juin 1941. Ce fut la plus grande opération militaire allemande de la Seconde Guerre mondiale.
Le 26 août 1944, acclamé par les Parisiens, le général de Gaulle descend les Champs-Élysées avec, derrière lui, ses fidèles de la première heure. Des combattants appartenant à la Résistance française luttent dans les rues de Paris, en 1944, pour libérer la ville après quatre années d'occupation allemande.
Ainsi, selon le think tank Institute for Economics and Peace, auteur du classement depuis dix ans, seuls le Botswana, le Chili, le Costa Rica, le Japon, l'île Maurice, le Panama, le Qatar, la Suisse, l'Uruguay et le Vietnam vivent en totale paix.
La cause la plus fondamentale était l'infériorité démographique. En 1938, après l'annexion du pays des Sudètes, le Reich comptait 79 millions d'habitants, presque deux fois plus que la France (41,5) ! L'infériorité numérique s'était aggravée depuis 1914 (68 millions contre 39,6).
Lorsque commence, en 1946, la guerre d'Indochine, le déséquilibre des forces est flagrant. Le corps expéditionnaire français est important, doté de matériel moderne, face à des nationalistes sans grands moyens. Pourtant, la guerre révolutionnaire menée par le général Giap a conduit la France à la défaite.
Alors, pourquoi la défaite allemande ? Parce que le pays ne tient plus : plus assez de fer pour les obus, plus assez de pain pour nourrir la population, plus assez d'hommes pour remplacer ceux qui sont tombés, de main-d'œuvre, d'argent… l'Allemagne est au bout du rouleau.
Depuis environ 1200, la France a pris part à 185 batailles et en a gagné 132. Ce nombre lui permet alors d'être la nation européenne avec le record de victoires, et ce dans le monde entier. De la même façon, c'est aussi elle qui a participé au plus grand nombre de guerres.