La principale raison de cette lenteur est le manque de moyens donné à la justice: les juges sont peu nombreux pour traiter les dossiers qui leur sont soumis. Les greffiers également ne sont pas en nombre suffisant pour assister les juges, pour retranscrire les jugements.
Son équivalent dans la mythologie romaine est Justitia. Allégorie de la Justice et du droit, elle est généralement représentée avec une épée ou un glaive à la main, symbole du châtiment, une balance dans l'autre, pour l'équilibre qu'elle maintient, et les yeux bandés en signe d'impartialité.
La loi du 30 décembre 1977 consacre le principe de gratuité du recours à la justice en supprimant les droits de timbre et d'enregistrement. Cela signifie que les actes de justice sont gratuits. Ce principe de gratuité est affirmé par l'article L111-2 du code de l'organisation judiciaire .
Au temps des rois, ces derniers étaient les intermédiaires entre les hommes et Dieu et les symboles traditionnels cohabitaient avec la fleur de lys.
Plus que tout autre animal, le Lion est admiré par l'homme. Ainsi, depuis des temps immémoriaux, il est considéré comme un symbole de Justice et de bravoure. Comme symbole de Justice, en l'associant à l'image du pouvoir, il devient garant de sa légitimité, que ce pouvoir soit temporel ou spirituel.
La Justice est représentée par la déesse grecque Thémis, fille d'Ouranos et de Gaïa (le ciel et la terre). Première épouse de Zeus, elle représentait la justesse divine de la Loi. Allégorie de la Justice et du Droit, elle personnifie la permanence et l'impartialité, veillant au bon rapport des dieux entre eux.
Création de la notion de justice par le droit
La civilisation romaine est la première à avoir constitué des théories juridiques qui nous soient parvenues. Le droit romain, peut donc être considéré comme le premier système juridique.
La Justice fait respecter les règles de la vie en société. Elle sanctionne les actes et comportements interdits par la loi, mais pas seulement ! Elle protège les personnes les plus fragiles comme les enfants. Elle est aussi là pour mettre fin à des conflits*.
En principe, chacun doit prendre en charge les frais qu'il a engagés pour le procès. Mais vous pouvez demander au juge de mettre une partie ou la totalité de vos frais irrépétibles à la charge de votre adversaire. Le juge décidera en fonction des circonstances de l'affaire.
« Azur qui représente le ciel, signifie justice, humilité, fidélité, chasteté, joie, loyauté, bonne réputation, amour et félicité éternelle.
Jusqu'au XVIIe siècle, ces robes amples étaient portées au quotidien et à longueur de journée par les magistrats comme symbole du prestige de leur profession. Aujourd'hui elles permettent notamment de marquer la distance entre l'individualité des magistrats et la fonction qu'ils occupent.
Mais le principal problème est d'ordre philosophique : la population ne croit plus en la justice. Les Français n'ont confiance ni en sa capacité, ni en sa qualité, ni en son efficacité. Pire, la justice fait peur.
La première limite tient à la nature même du droit. Le ministère du juge consiste en effet à restaurer la paix sociale en appliquant le droit dans les rapports entre les justiciables. Mais le droit ne résout pas tous les désordres et tous les déséquilibres. Il ne peut prétendre saisir l'ensemble du réel.
Le premier mal dont souffre la justice française est la lenteur des procédures. En moyenne, il se passe deux ans et neuf mois entre le début de l'instruction et la décision de renvoyer l'affaire ou non devant les tribunaux. Le deuxième concerne l'exécution des peines. Elles ne sont pas toujours appliquées en France.
La justesse de la justice se mesure à la manière dont celle-ci est rendue. Au-delà des principes, la justice est une affaire de personnes, d'individus, compris et entendus dans leur subjectivité. Juste, équitable, impartiale, compétente, sereine. Naturellement, la justice doit être tout cela.
Le mot justice est employé dans différents contextes. C'est d'abord un sentiment subjectif dans le cœur de l'homme, une vertu. C'est dans un autre sens une institution, le pouvoir judiciaire, dont l'idéal est l'équité. C'est aussi un principe politique qui régit les pouvoirs et en garantit la légitimité.
La justice est un principe philosophique, juridique et moral fondamental : suivant ce principe, les actions humaines doivent être approuvées ou rejetées en fonction de leur mérite au regard de la morale (le bien), du droit, de la vertu ou de toute autre norme de jugement des comportements.
Une parole est prononcée / un acte est accompli (et constaté). 3. Celui qui détient l'autorité juge que ce qui est dit ou accompli est un mal, ne serait-ce que parceque c'est contraire à au moins une règle établie. Il s'agit donc d'une faute.
Un idéal philosophique et moral
L'idée de justice fait référence à l'équilibre dans les relations entre les hommes : elle implique la proportion et la stabilité. Au Moyen-Age, elle se définissait comme "l'art du bon et de l'égal".
Juste appréciation, reconnaissance et respect des droits et du mérite de chacun.
Déesse désigne une divinité féminine, de sexe féminin ; il s'agit du féminin de dieu. Exemple : Athéna est l'une des déesses les plus connues de la mythologie grecque. Cette dernière a la particularité d'être à la fois déesse de la sagesse et déesse de la stratégie militaire.
Déesse romaine de la Fortune, assimilée à la Tyché grecque. Fortuna fut l'une des plus importantes déesses des Romains, qui lui construisirent des temples en de nombreuses villes – vingt-six à Rome même, avec notamment son temple du Forum Boarium.