Un concours de circonstances cosmiques aurait permis que des corps célestes, comètes ou astéroïdes, provenant des confins de notre système solaire percutent la jeune Terre, y apportant de l'eau et faisant d'elle une planète probablement unique dans l'Univers.
La présence d'eau liquide sur Terre est le résultat d'une pression atmosphérique suffisante à sa surface et du fait que l'orbite terrestre est située la zone d'habitabilité du Soleil, celle-ci étant quasi circulaire et stable. Cependant, son origine demeure incertaine.
Sur Terre, les conditions de température et de pression ont fait passer l'eau sous forme liquide, et ainsi les océans ont-ils apparu. Protégée des radiations par l'atmosphère, l'eau a pu se maintenir jusqu'à aujourd'hui.
On trouve de l'eau sous toutes ses formes sur la majorité des planètes et satellites du système solaire. Mercure et Venus sont pauvres en eau liquide ainsi qu'en vapeur d'eau : il n'y a pas la moindre trace d'eau sur ces planètes. Mais Mars a une certaine quantité d'eau sous forme de glaces à ses pôles.
Les océans de Ganymède et Titan
Dans le Système solaire, c'est en fait Ganymède et Titan, respectivement plus grande lune de Jupiter (5.262 km de diamètre) et plus grande lune de Saturne (5.152 km de diamètre), qui possèdent les plus importantes quantités d'eau... surtout sous leur surface.
L'eau ne peut pas s'envoler de la planète ; la molécule d'eau est trop lourde pour échapper à la gravité de la planète.
La Terre est une planète rocheuse du système solaire. Les conditions physico-chimiques qui y règnent permettent l'existence d'eau liquide et d'une atmosphère compatible avec la vie.
C'est beaucoup plus simple : les molécules d'eau sont attirées par la gravité terrestre, comme tout le reste. Le seul moyen par lequel quelque chose pourrait s'échapper dans l'espace depuis la Terre, c'est d'avoir une vitesse supérieure à la vitesse de libération.
L'atome d'oxygène doté de deux valences disponibles, s'associe à deux atomes d'hydrogène, dotés chacun d'une valence, pour former la molécule H2O, stable et électriquement neutre. L'ensemble des réactions chimiques formant la molécule d'eau à partir des atomes O et H est parmi les plus exothermiques qui soient.
Au-delà de Mars, les planètes volumineuses que sont Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune sont moins bien connues : elles contiennent en profondeur de la vapeur d'eau et des nuages de glace d'eau, récemment identifiés sur Jupiter par la sonde Galileo. Il est également probable que leurs noyaux renferment de la glace.
Les poussières qui étaient dans le nuage se sont agglomérées pour former des « grains de sable », puis de gros rochers, et, attirés par la force de gravité, ces rochers se sont assemblés lors de violentes collisions qui ont fait fondre la roche ! Boum ! Un peu comme une boule de neige qui amasse tout sur son passage.
Pendant des millions d'années, un déluge de pluies torrentielles s'est abattu sur la Terre : l'eau, restée liquide grâce à la baisse de température, se répand alors sur la planète, formant les océans. Le climat variant peu, ces océans se maintiennent et dissolvent une grande partie du CO2 atmosphérique.
D'OÙ VIENT L'EAU ET QUE DEVIENT ELLE ? Du ciel à l'océan, en passant par montagnes et vallées, l'eau circule sous ses états liquide, solide et gazeux depuis plus de 3 milliards d'années. Ressource finie et précieuse, elle est tantôt courante, tantôt statique, tantôt superficielle, tantôt souterraine.
L'eau liquide et la vie
Rappelons que de l'eau liquide existe très vraisemblablement dans le sous-sol profond de Mars, et dans les océans sous-glaciaires d'Europe, de Ganymède, de Callisto, de Titan, d'Encelade, de Triton et de Pluton. De l'eau liquide a aussi existé à la surface de Mars dans un passé lointain.
Son origine serait liée à des roches profondes de la croûte terrestre, là où les minéraux renferment de l'eau dans leur structure chimique. Lorsque des volcans s'activent, les roches sont en fusion (elles se ramollissent). Au moment de l'éruption, l'eau est évacuée sous forme de vapeur d'eau.
Conclusion : Les caractéristiques particulières de la Terre, comme sa distance au Soleil et la présence d'une atmosphère, ont permis la présence d'eau liquide à sa surface et ainsi à la vie de s'y développer. D'après nos connaissances actuelles, elle est la seule planète habitée du Système solaire.
En 2050, plus de cinq milliards de personnes auront du mal à accéder à de l'eau. Plus de cinq milliards de personnes pourraient avoir des difficultés à accéder à de l'eau en 2050, a mis en garde mardi l'Organisation météorologique mondiale.
L'action du soleil permet l'évaporation de l'eau de mer et la transpiration des végétaux. Cette vapeur d'eau monte dans l'atmosphère, où il fait plus froid. La vapeur se retransforme en fines gouttelettes.
De l'eau douce de surface liquide, 87 % sont contenus dans des lacs, 11 % dans des marécages et seulement 2 % dans des rivières. De petites quantités d'eau existent également dans l'atmosphère et chez les êtres vivants. Parmi ces sources, seule l'eau de rivière est généralement valorisable.
L'histoire de notre planète a commencé il y a 4,5 milliards d'années. Paradoxalement, ce sont des étoiles mortes qui sont à l'origine de notre système solaire. Leur débris sont expulsés dans la galaxie pour former un nuage moléculaire, composé de gaz et de poussière.
Les faits: la Terre est attirée par le Soleil; elle ne tombe pas dessus, mais tourne autour. C'est la même chose qu'un satellite artificiel qui tourne autour de la Terre: il est attiré par elle, mais ne tombe pas parce qu'il tourne.
La mer ne déborde pas car elle s'évapore en permanence : elle n'est pas l'étape finale du cycle de l'eau où toute l'eau de la Terre s'accumulerait mais bien une étape comme une autre.
Une chose sûre dans ce domaine concerne la couche d'ozone : elle absorbe les ultraviolets, très énergétiques et très nocifs. En son absence, toutes les formes de vie seraient brûlées vives à part certaines bactéries primitives.
Les sols et les sous-sols sont épuisés car les cultures ont doublé en 20 ans. Les industries amplifient le réchauffement climatique. La Terre est à bout. Et l'homme est responsable.
Les premiers êtres vivants étaient de simples cellules vivantes, certainement des Procaryotes. Vers 3500 millions d'années (on a découvert que c'était plutôt 3700 millions d'années récemment) des êtres vivants très simples ont laissé des traces de leur présence.