En général, les causes les plus fréquentes de la douleur thoracique sont les suivantes : Troubles des côtes, du cartilage costal, des muscles thoraciques (douleur de la paroi thoracique musculosquelettique), ou des nerfs du thorax. Inflammation de la membrane qui couvre les poumons (pleurite. en apprendre davantage )
un infarctus du myocarde ou une angine de poitrine ; une embolie pulmonaire ; beaucoup plus rarement, une dissection de l'aorte (fissuration localisée de la paroi de l'aorte) ou une rupture d'un anévrysme de l'aorte ; une péricardite (inflammation de l'enveloppe du cœur)...
Systématiquement, devant une douleur thoracique, il faut éliminer six diagnostics : syndrome coronarien aigu (infarctus), embolie pulmonaire, dissection aortique, pneumothorax, pneumopathie, péricardite aiguë.
Pour soulager votre douleur avant la consultation, vous pouvez prendre un antalgique. Trois types de médicaments antalgiques existent : le paracétamol ; les anti-inflammatoires non stéroïdiens ou « AINS » (ibuprofène, kétoprofène)
Pouvez-vous la reproduire en appuyant sur la partie sensible ? Une réponse positive à l'une de ces questions suggère davantage une douleur musculaire. Une douleur d'origine cardiaque est, quant à elle, persistante, peu importe la position ou le type de respiration.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Le thorax (du grec thôrax, poitrine), également appelé poitrine, est la partie supérieure du tronc située entre le cou et l'abdomen.
Les personnes particulièrement anxieuses peuvent plus facilement déclencher une névralgie intercostale. Cela s'explique par le fait que le stress a tendance à contracter anormalement les muscles et donc, en conséquence, à comprimer les nerfs.
En cas d'inquiétude ou de gêne importante, mieux vaut se rendre chez le médecin, car votre symptôme peut avoir des origines très variées, et plus ou moins graves. En effet, vos douleurs thoraciques et intercostales peuvent correspondre à : Une fracture des côtes, du sternum ou des vertèbres thoraciques.
Le signe à repérer: une difficulté brutale à respirer. C'est peut-être une embolie pulmonaire. Cette obstruction d'une artère des poumons par un caillot de sang se manifeste par un essoufflement brutal, une douleur d'un côté de la poitrine, parfois une toux et le cœur qui bat vite.
Quels sont les symptômes de la douleur intercostale ? Douleur – Le principal symptôme de la névralgie intercostale d'origine mécanique est la douleur prenant origine au niveau d'une vertèbre. Elle peut soit être sous forme de point précis ou irradier le long d'une côte.
Parce que les brûlures d'estomac provoquent des douleurs thoraciques, il n'est pas surprenant que certaines personnes, en particulier celles à risque de problèmes cardiaques, ne puissent pas faire la différence entre les deux. Ils peuvent craindre que la douleur des brûlures d'estomac soit une crise cardiaque.
Quels sont les signes avant-coureurs d'une crise cardiaque ? Le symptôme le plus connu est une douleur aiguë et persistante dans la poitrine avec une sensation d'étau qui se resserre. La douleur peut irradier dans le bras gauche ou encore causer des vertiges.
L'infarctus du myocarde survient lorsqu'une plaque se détache, puis se déplace et s'immobilise dans une artère coronaire. Un caillot de sang se forme autour de la plaque et interrompt l'apport de sang, privant ainsi le cœur d'oxygène. Cela entraîne la destruction d'une partie plus ou moins étendue du muscle cardiaque.
Dans l'infarctus pulmonaire, une partie du tissu pulmonaire ne reçoit pas suffisamment de sang et d'oxygène, et apparaît nécrosé sur les examens d'imagerie à cause de l'obstruction d'un vaisseau sanguin pulmonaire par un embole pulmonaire. Généralement, l'embole qui cause un infarctus pulmonaire est de petite taille.
Son pronostic dépend du risque de décès qui peut survenir en quelques heures ou en quelques jours si rien n'est fait. Dans des cas plus rares, elle peut être très rapide et provoquer la mort en quelques minutes, c'est ce qu'on appelle une embolie pulmonaire "foudroyante".