La raison principale de l'interdiction de l'intérêt est la stérilité de l'argent, l'infécondité du capital. Principe aristotélicien, l'argent, dit-on, n'a pas la faculté de s'accroître. Il ne fait pas de petits : Nummus nummum non parit.
Les intérêts perçus sur les prêts sont de l'usure car ils reviennent à exploiter quelqu'un qui est dans le besoin... et Dieu a interdit cette pratique.
Pour cette imam, dire que le Coran interdit l'islam est une « manipulation » : La musique, d'abord, est un art de l'islam. Non seulement elle n'est pas interdite, mais elle est même nécessaire s'agissant du tajwîd, qui est la science de la récitation et de l'incantation des versets coraniques.
Selon la plupart des experts en religion musulmane, le crédit est haram et n'est donc pas autorisé. Plus précisément, c'est l'intérêt (riba) qui n'est pas autorisé. Un crédit peut donc être considéré comme tel notamment s'il s'agit d'un prêt immobilier.
Pour certains musulmans, la musique est interdite par Allah. Ceux qui défendent cette vision s'appuient aussi bien sur le texte du Coran que sur les hadîths. Pourtant, le terme musique ne figure pas dans le Coran, et cette interprétation s'appuie donc sur ce qui est perçu comme une allusion.
Quels sont donc ces instruments proscrits et pourquoi? Il s'agit de la lyre, dont le prophète demande la destruction. Sa fonction est alors thérapeutique. Utilisée pour repousser les esprits mauvais qui possèdent les individus, elle aurait un pouvoir sur le monde invisible, d'où l'idée de l'interdire.
La musique s'est révélée un moyen d'assurer la continuation esthétique de la civilisation musulmane. Et cette musique se nourrit de la dimension orale du Coran, qui est parole de Dieu transmise oralement.
La solution la plus utilisée pour acheter sans riba un bien immobilier est le financement en utilisant une Mourabaha. Cette solution de financement est la plus utilisée par les banques Participatives afin de vous offrir la possibilité d'acheter sans riba.
On distingue deux principaux types de riba : le riba dans les échanges (vente/achat): riba al-buyu' et le riba dans les crédits : riba al-qurud. Riba al-buyu' se rapporte à un échange de biens de même nature, mais dans des proportions différentes soit en volume soit en valeur.
Islam. Dans la législation islamique, l'usure est définie par le terme « Riba ». En arabe, le terme « ribâ an-nasî'ati » signifie le surplus exigé du débiteur par rapport au délai de remboursement qui lui a été accordé. Son usage est interdit aux musulmans.
La nuit du destin est celle où le Coran, selon la tradition, est descendu à Mohammed dans la grotte de Hira.
(Tite 3:9 – Psaumes 12:3 – Proverbes 10:31 – 1 Pierre 3:10). Beaucoup de musiques séculières (mondaines) vont en ce sens. Des artistes parlent sans honte de dépravation sexuelle, de rébellion à l'autorité, de médisance, etc. Il est donc évident qu'un chrétien ne devrait pas écouter de tels chants.
Mais, pour entrer en transe, la musique semble l'élément déterminant. Il s'agit d'une musique particulière, celle du djinn possesseur. Néanmoins, il est vraisemblable que l'effet de la musique soit préparé par l'ambiance qui règne dès le début des soirées de transe.
En tant que musulman, il nous est permis d'investir dans les actions (actions qui répondent à certaines conditions), l'immobilier (achat sans utilisation de crédit bancaire, SCPI, REIT) et les matières premières.
Le futur marié se rend avec sa famille chez les parents de la femme pour demander à son tuteur sa main et offrir des cadeaux (fleurs, pâtisseries, parfum, vêtements, bijoux, etc.) à sa future épouse.
Même si le terme de blanchiment est nouveau dans le langage des juristes, la fusion de l'argent sale, provenant d'un acte illicite (haram, i.e. tout ce qui est interdit et illicite), et d'une ressource licite (halal, i.e. tout ce qui est licite, permis et autorisé) est fortement prohibée dans l'islam.
Ibn Mandhûr le définit ainsi : « C'est la manière de vider ce qui reste (dans le canal urinaire) de l'urine, de purifier le lieu et le canal afin de les en acquitter tout comme on s'acquitte d'une dette.
Al Baraka, l'un des géants du secteur bancaire mondial, envisage lui aussi de s'installer en France. L'institution pourrait alors devenir l'une des plus grandes banques islamiques du pays. Al Baraka développe ses activités en Asie et en Afrique, ainsi que dans l'ensemble du Moyen-Orient.
Les banques islamiques pratiquent ce qu'on appelle la Mourabaha. Il est donc possible de devenir propriétaire d'un logement sans payer d'intérêts. C'est la banque qui achète le bien à la place du client. Ce dernier devra rembourser la banque à un rythme fixé à l'avance.
Ainsi, dans le respect de leur religion, la population musulmane, peut ainsi contracter un prêt sans intérêt. Le Murabaha est un contrat de vente transparent précisant le prix d'achat et la marge du vendeur qui n'est autre que la banque.
La calligraphie est un des attributs majeurs de l'art islamique. Pour les musulmans, l'arabe est une langue sacrée et sa transcription à l'écrit porte une symbolique forte. On la retrouve sur tous les supports, du livre à l'architecture en passant par la céramique, le verre, le textile…
Voici ce qui revient le plus souvent sur la fré- quence de la récitation: celui qui récite le Coran huit fois d'un bout à l'autre, le jour et la nuit, quatre fois de nuit et quatre fois de jour; ensuite vient celui qui récite le Coran quatre fois d'un bout à l'autre, le jour et la nuit, …; puis, viennent trois fois, ...
Dans la piété islamique, la psalmodie du Coran occupe, comme mode d'expression de l'émotion religieuse, une place importante, tant au point de vue de l'effet qu'elle produit sur l'auditeur et sur le récitant lui même, qu'en tant que témoignage sonore de la permanence d'une tradition séculaire.
Écouter de la musique peut aider à réduire l'anxiété, la douleur ou à se motiver pour faire du sport. La musique agit sur le système de récompense du cerveau et stimule la libération de dopamine qui nous fait nous sentir mieux.
Un joueur de lyre s'appelle « lyrode » λυραοιδός ou λυρῳδός. Aujourd'hui la lyre n'est pas représentée dans les orchestres modernes, pourtant son nom apparaît souvent (on parle de drame lyrique, par exemple, pour l'opéra).