Son équivalent dans la mythologie romaine est Justitia. Allégorie de la Justice et du droit, elle est généralement représentée avec une épée ou un glaive à la main, symbole du châtiment, une balance dans l'autre, pour l'équilibre qu'elle maintient, et les yeux bandés en signe d'impartialité.
Le bandeau
C'est cela qui a donné l'expression "la Justice est aveugle". Ainsi, allégoriquement, elle ne peut savoir de quel coté la balance penche, ni savoir dans quelle direction tranche le glaive. Cette impartialité donne un coté mécanique et froid à la Justice. Cela est néanmoins tempéré par la notion d'équité.
« Thémis et ses attributs : Déesse grecque, fille d'Ouranos et de Gaïa (respectivement le ciel et la terre), Thémis représente la Justice immanente et l'ordre établi. En grec, Thémis signifie d'ailleurs "loi divine". Épouse et conseillère de Zeus, elle reste à la droite de son trône.
Le glaive, symbole d'une justice qui tranche
Le glaive est une incarnation à la fois de la force, de l'aspect répressif de la Justice et du pouvoir immédiat des décisions de justice. Il trouve son origine dans la mythologie grecque en tant qu'attribut de Némésis, la déesse de la vengeance.
Plus que tout autre animal, le Lion est admiré par l'homme. Ainsi, depuis des temps immémoriaux, il est considéré comme un symbole de Justice et de bravoure. Comme symbole de Justice, en l'associant à l'image du pouvoir, il devient garant de sa légitimité, que ce pouvoir soit temporel ou spirituel.
QUE SIGNIFIE CE SYMBOLE ? Le glaive et l'épée de Justice sont avant tout des symboles de puissance qui se démarquent de la balance, symbole d'équité non-violent. Sans force pour appliquer les décisions, la balance est inutile, ces deux armes symbolisent cette fonction.
Jusqu'au XVIIe siècle, ces robes amples étaient portées au quotidien et à longueur de journée par les magistrats comme symbole du prestige de leur profession. Aujourd'hui elles permettent notamment de marquer la distance entre l'individualité des magistrats et la fonction qu'ils occupent.
Parmi les divinités de la justice, il faut également citer Shamash, dieu de la justice et de l'équité dont le rôle est illustré dans le code d'Hammurabi (du nom d'un roi de Mésopotamie, il s'agit du plus ancien texte juridique connu, daté d'environ 1750 avant J.C.).
Au temps des rois, ces derniers étaient les intermédiaires entre les hommes et Dieu et les symboles traditionnels cohabitaient avec la fleur de lys.
Le bandeau qui couvre les yeux de Justice est un symbole d'impartialité. Il indique que la justice est (ou devrait être) rendue objectivement, sans crainte ni faveur, indépendamment de l'identité, de la puissance ou de la faiblesse des accusés : la justice comme l'impartialité est aveugle.
La principale raison de cette lenteur est le manque de moyens donné à la justice: les juges sont peu nombreux pour traiter les dossiers qui leur sont soumis. Les greffiers également ne sont pas en nombre suffisant pour assister les juges, pour retranscrire les jugements.
La Justice fait respecter les règles de la vie en société. Elle sanctionne les actes et comportements interdits par la loi, mais pas seulement ! Elle protège les personnes les plus fragiles comme les enfants. Elle est aussi là pour mettre fin à des conflits*.
Mais le principal problème est d'ordre philosophique : la population ne croit plus en la justice. Les Français n'ont confiance ni en sa capacité, ni en sa qualité, ni en son efficacité. Pire, la justice fait peur. Elle devrait être plus compréhensible, plus rapide : les lois sont aujourd'hui trop complexes.
Othoniel Ben Kenaz ou Othniel (en hébreu: עתניאל בן קנז, dont le prénom signifie « lion de Dieu ») est un personnage du Livre des Juges, qui fait partie de la Bible. Il est le premier Juge d'Israël.
Sekhmet la puissante est une déesse de la mythologie égyptienne. Elle est représentée par une femme à tête de lionne portant d'abord l'uræus, puis, par la suite, le disque solaire ; de sa gueule de lionne sortent les vents du désert.
La perruque, très populaire chez les gentilshommes anglais du XVIIe siècle - notamment les juges et les avocats -, faisait partie du costume officiel des magistrats. Lorsque la perruque passa de mode, les juges et les avocats continuèrent de la porter, ce couvre-chef donnant de la dignité aux procédures.
Une épitoge est une bande de tissu distinctive portée par-dessus la toge (d'où son nom) des magistrats, directeurs de greffe et avocats, ainsi que des universitaires.
Le mortier, appelé aussi « toque », est le couvre-chef des magistrats dans les pays de tradition germano-canonique.
Le corbeau, annonciateur de mauvaises nouvelles, lié à la mort et aux ténèbres, est considéré dès l'antiquité comme un animal extrêmement futé. Malgré tout, il reste un mal-aimé notoire : hôte des cimetières et amateur de cadavres, son cri lugubre fait frissonner et, dit-on, porte malheur.
La biche est essentiellement symbole féminin.
Synon. de coprophilie (ibid.). zoophilie 1.