De la chaleur est générée lorsque l'air est comprimé et que la pression de l'air augmente. L'électricité est utilisée pour produire de l'air comprimé.
Lorsqu'un gaz est comprimé il s'échauffe. Cet échauffement est dû au travail de compression et non à de la chaleur reçue. Voilà pourquoi tout pneu de bicyclette s'échauffe lorsqu'on le gonfle. Inversement lorsqu'un gaz se détend il se refroidit.
On comprime de l'air avec la pompe et on se rend compte que le corps de la pompe se réchauffe! Donc, quand on comprime un gaz, il se réchauffe. Dans le sens contraire, quand on diminue sa pression il se refroidit.
L'air est comprimé par un compresseur. Les compresseurs d'air aspirent de l'air via un clapet d'aspiration. L'air est ensuite comprimé selon le volume requis, puis relâché dans le réservoir de stockage par le biais d'un clapet de refoulement. Le processus de compression est généralement assuré par un moteur électrique.
Le volume du gaz est inversement proportionnel à la pression qu'il exerce (à température constante) : si la pression augmente, le volume diminue. Par conséquent, un gaz diminue son volume en refroidissant ou en augmentant sa pression.
Selon cette théorie, une augmentation de température résulte en une augmentation de l'énergie cinétique des particules. Le risque de collisions est donc plus probable, ce qui provoque un changement de pression. Si le volume du gaz est maintenu constant, la pression du gaz prendra de l'importance.
Fluide incompressible
Les liquides sont des fluides incompressibles (eau, huile, mercure, etc.). Si on ferme l'orifice d'une seringue avec un doigt et qu'on essaie de pousser pour comprimer l'eau, l'eau ne se comprimera pas: elle essaiera de sortir par l'orifice.
Des réchauffeurs de filtre peuvent être ajoutés à un système pour chauffer l'air comprimé à une température contrôlée, généralement entre 20 °C (68 °F) et 120 °C (248 °F), bien qu'il n'existe pas de norme industrielle.
Elle corrode les outils pneumatiques, les tuyaux, le réservoir d'air comprimé. Au-delà d'une humidité relative de 50%, ce phénomène augmente très sensiblement. Si les conduites ne sont pas galvanisées, elles rouillent progressivement si l'humidité est importante.
L'air comprimé est un gaz utilisé comme moyen de transport et de stockage de l'énergie pneumatique. L'air est récupéré à partir de l'atmosphère et étant compressible, il peut être maintenu à une pression supérieure à celle de l'atmosphère.
Il est reconnu que la chaleur monte car la densité de l'air chaud est plus faible que celle de l'air froid à cause de l'agitation des atomes et de l'espace entre eux.
Il y a plus de deux mille ans un Grec, Ktesibios, développa un canon pneumatique, lequel remonté manuellement, comprimait de l'air dans des vérins afin de restituer l'énergie issue de la détente et augmenter ainsi la portée du tir.
Le refroidissement de l'air comprimé a lieu dans chaque système de l'air comprimé. Souvent déjà intégré dans le compresseur, l'air comprimé est refroidi de sa température de densification trop haute (env. 70°C jusqu'à 120°C) à une température d'application appropriée (env. 25°C jusqu'à 35°C).
C'est précisément le phénomène qui est à l'œuvre à l'heure actuelle. Les gaz à effet de serre étant émis en trop grande quantité, la composition de l'atmosphère est changée, ce qui augmente sa capacité à retenir la chaleur. En fait, c'est la partie artificielle (ou anthropique) de l'effet de serre qui est en cause.
La compressibilité et l'expansibilité des gaz
Un gaz est compressible, car on peut diminuer le volume qu'il occupe. Ainsi, le nombre de chocs sur la surface sera plus important, c'est pourquoi sa pression augmente. Lorsqu'on pousse le piston d'une seringue reliée à un manomètre, on le comprime.
Le chauffage au gaz permet de bénéficier d'un confort de chauffe important. Il diffuse une chaleur douce et homogène. De plus, il n'assèche pas l'air contrairement à certains radiateurs électriques comme les convecteurs.
Les équipements de purification d'air comprimé sont essentiels pour éliminer la contamination du système. C'est pourquoi, à l'heure d'acheter ce type d'équipement, la qualité de l'air, l'efficacité énergétique et les coûts tout au long de la durée de vie de cet équipement doivent toujours être pris en compte.
Un air surchargé d'humidité est néfaste pour votre santé. Entre l'apparition d'acariens et d'allergies, l'irritation des yeux et de la gorge et une fatigue accrue, difficile de profiter de moments cocooning.
Lorsque l'humidité n'est pas éliminée correctement de votre compresseur d'air, elle peut transiter par vos conduits d'air et vous causer des dommages inattendus. La présence d'eau entraînera la formation de rouille dans le système de tuyauterie d'air. Il est cependant assez simple d'éviter ce type de problèmes.
L'air comprimé peut pénétrer dans le corps aux endroits où il n'y a pas de peau (par exemple dans les oreilles, le nez, le rectum ou en cas d'égratignure ou de plaie dans la peau, même petite) et peut causer des dommages. On a également signalé des dommages auditifs causés par la pression et le bruit.
L'huile pour compresseur 68 convient pour les compresseurs à palettes et à vis. L'huile pour compresseur 68, 122 et 220 sont préconisées pour assurer une bonne lubrification à huile perdue des cylindres des compresseurs à mouvement alternatif, des moteurs et de certains modèles de compresseurs rotatifs.
En réalité, de l'air qui est chauffé se dilate, donc occupe plus de place, et si cela n'est pas possible parce que le récipient est fermé, il va appuyer plus fortement sur les parois du récipient, donc exercer une pression plus grande que celle de l'air extérieur!
Quel est le liquide le plus dense ? Le silicate de sodium à est 1.343 fois plus lourd que l'eau, donc il pèse environ 1.343 Kg par litre.
Une question de pression
En fait, c'est la pression atmosphérique qui décide de la température d'ébullition de l'eau, car le poids de l'air "presse" sur la vapeur. Ainsi, pour chaque pallier de 300 mètres d'altitude, l'eau bout environ un degré plus bas.
Plus on monte en altitude, plus elle baisse puisque l'air se raréfie. Les molécules de l'eau perdent donc leur cohérence plus vite puisqu'il y a moins d'air pour « peser » sur elles : résultat, à chaque palier de 300 mètres, l'eau bout à 1 degré de moins. En haut du mont Blanc, elle s'évapore à 85 °C.