Les éclairages des avions sont abaissés lors des décollages et des atterrissages ainsi que la nuit. La raison en est toute simple, à savoir, le fait d'habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.
Tout d'abord, cela permet à vos yeux de s'adapter à la luminosité extérieure. Si vous volez de jour, vous ne vous retrouverez pas à sortir en plein soleil d'un appareil plongé dans le noir en clignant des yeux ; si c'est un vol de nuit, vous verrez mieux !
En effet, au décollage ou à l'atterrissage, le personnel de bord a besoin que les stores des hublots soient ouverts afin de pouvoir s'apercevoir le plus rapidement possible s'il y a un problème à l'extérieur de l'avion. Ainsi, il n'y a aucun angle mort ou presque.
Garder les volets levés permet au personnel navigant de voir immédiatement quelles sont les conditions extérieures. S'ils aperçoivent un obstacle qui bloque l'une des sorties de secours, les hôtesses et stewards ne vont pas perdre de temps à essayer de l'ouvrir.
Comment un avion fait pour décoller ? Comme susmentionné, la portance gagne en force et en puissance avec l'effet du vent sur les ailes qui l'attire la pointe de l'avion vers le haut. Cette conjugaison des forces des ailes et de la portance est les éléments qui favorisent le maintien de l'avion dans les airs.
Une température plus froide pour réduire le risque de malaise. Une étude d'ASTM International et financée par la compagnie KLM démontre qu'en avion, les passagers seraient plus susceptibles de s'évanouir et d'être victime d'hypoxie.
En s'intéressant de plus près à la position de la rangée, les journalistes ont constaté que les sièges du milieu à l'arrière de l'avion obtenaient les meilleures chances de survie (taux de mortalité de 28 %).
L'avion s'élance sur la piste pour atteindre les 200 à 250 km/h. C'est la vitesse de décollage dite V1. Au-delà de cette vitesse, un pilote est obligé de décoller quoi qu'il arrive car il ne serait plus possible d'arrêter l'avion dans les limites de sécurité prévues.
L'ordre de grandeur de la vitesse de décollage est de : 20 à 65 km/h pour les planeurs ultra-légers motorisés (ULM). 80 à 120 km/h pour les avions monomoteurs de loisir ou les bimoteurs à hélices d'affaire. 240 à 280 km/h pour les avions de ligne selon leur taille (A320, A380).
Les compagnies aériennes recommandent en général d'arriver à l'aéroport au moins deux heures à l'avance pour un vol domestique. Ainsi, vous aurez le temps de déposer vos bagages et de passer la sécurité sans aucune pression.
On se sent fatigué
En effet, la quantité d'oxygène dans un avion est comparable à celle rencontrée à une altitude de 2 000 mètres en montagne. Notre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur, c'est pourquoi on se sent fatigué, voire étourdi.
Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol. Il y a des feux de navigation situés aux extrémités des ailes.
Cette pratique est un "water salute" et correspond à une tradition de l'aéronautique. Ce salut est destiné à célébrer un événement particulier, comme par exemple le départ en retraite d'un pilote de ligne de la compagnie.
Arriver en temps et en heure à l'aéroport avant un vol permet d'éviter de courir, de stresser inutilement, mais aussi et surtout de manquer son avion !
L'aéroport de l'île antillaise de Saba dispose de la plus courte piste pour un aérodrome commercial (396 mètres).
Vous n'y avez peut-être pas prêté attention, mais tous les hublots d'avions sont de forme ovale. La principale raison à cela réside dans le fait que le fuselage d'un avion pressurisé est soumis à d'importants efforts de pression et que de fortes contraintes s'exercent sur l'encadrement des hublots.
Une étude de l'American College of Chest Physicians publiée le 7 février dans la revue Chest, montre que les passagers qui voyagent côté hublot lors d'un vol de plus de six heures, ont plus de risques de développer des caillots de sang dans les jambes selon le site 121doc.net.
Que ça soit pour rouler au sol ou voler, un avion utilise la même source de poussée : ses moteurs. Certes, le régime des moteurs au sol est très faible mais c'est bien lui qui permet d'avancer, et non une quelconque motorisation située dans les roues, d'où la problématique de la marche arrière.
Connaissez vous la piste d'atterrissage la plus courte au monde ? La piste d'atterrissage la plus courte pour un aéoport commercial est celle de Saba Island, une île néerlandaise qui se situe dans le nord des petites Antilles à l'est de Porto Rico.
Normalement, un pilote vole environ 900 heures par an. Cela peut ne pas sembler beaucoup mais, en analysant le planning d'une journée type (voir ci-dessous), je travaille souvent une douzaine d'heures par jour.
Au milieu, à l'arrière
Néanmoins, une enquête du magazine américain Time qui a examiné 35 ans de données sur les accidents d'avion a révélé que les sièges arrière centraux d'un avion présentaient le taux de mortalité le plus faible : 28 %, contre 44 % pour les sièges de l'allée centrale. C'est également logique.
Qatar Airways à nouveau première du palmarès
Cette année, la sécurité et le "leadership en matière d'innovation pour le confort des passagers" ont été des critères décisifs, relate la société.
Ici on parle du moment du débarquement, c'est donc logique que, dans la plupart des avions, ceux qui sont assis à l'avant sortent d'abord. La porte principale est presque toujours située du côté gauche, donc les passagers ont tendance à sortir plus vite de ce côté de l'appareil.