La cabine est pressurisée pour simuler une élévation de 1800 à 2400 mètres au-dessus de la Terre et votre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur. Comme le savent tous les skieurs, cela mène à des étourdissements, de la somnolence et une perte au niveau de l'acuité cérébrale.
L'instabilité et le confort dans l'hébergement
L'instabilité est l'une des principales raisons de la fatigue quand on part en voyage. En effet, la plupart d'entre nous veulent tellement faire d'activités dans l'endroit de destination, pour en profiter au maximum, que cela devient ingérable et pèse sur notre organisme.
Contrairement aux idées reçues, on ne grossit pas en avion, il faut s'alimenter. En revanche, éviter les féculents.
La baisse de la pression aérienne dans l'avion entraîne une production accrue de gaz digestifs, à l'origine des flatulences. Selon les médecins, il ne faut pas tenter de les retenir car cela peut être mauvais pour la santé.
traumatisme cranio-facial ou oculaire, opération du cerveau ou opération de l'œil avec pénétration oculaire. maladie respiratoire chronique sévère, difficulté à respirer au repos ou pneumothorax non résorbé datant de moins de 2 à 3 semaines. drépanocytose. trouble psychotique, sauf s'il est totalement maîtrisé.
Les veines comprimées doivent pomper plus énergiquement pour faire refluer le sang des pieds vers le cœur. Le sang peut s'accumuler dans les jambes et les composants aqueux se diffuser dans les tissus en passant à travers la paroi veineuse. Résultat : les pieds et les jambes gonflent.
Ca accélère (fort) et ça monte, mais c'est beaucoup moins violent que les manèges à sensations, car ça ne tournicote pas dans tous les sens. Si vous êtes stressé, n'hésitez pas et parlez-en à l'équipage en arrivant dans l'avion, les agents de bord sont formés pour ce genre de situation et vous rassureront.
Le mal des transports
Pour atténuer ces symptômes, essayez d'obtenir une place au milieu de l'avion, là où les mouvements sont moins perceptibles. Allongez votre siège autant que possible et restez allongé sans bouger, la tête penchée en arrière. Évitez les repas trop copieux et l'alcool.
Dans le cas peu probable où vous sentez que vos règles commencent pendant le décollage, l'atterrissage ou la turbulence, attendez simplement. Si vous êtes vraiment inquiet de commencer vos règles pendant une de ces petites fenêtres de temps, alors envisager de porter une doublure de culotte pour 'maintenir le tout'.
Demandez une couverture auprès de l'hôtesse pour éviter d'avoir froid. Essayez de surélever vos jambes avec votre bagage à main par exemple. En effet, une bonne circulation sanguine favorise le sommeil en vol. Vous pouvez aussi caler votre dos avec une couverture ou un coussin pour vous sentir plus à l'aise.
Une étude australienne incrimine les vibrations du véhicule, qui induisent un état de somnolence au bout d'une quinzaine de minutes. Peut-être parce que les ondes cérébrales se synchronisent avec elles.
Le transport aérien se fait à haute altitude, généralement autour de 10 000 mètres. À des altitudes élevées, la pression atmosphérique diminue, ce qui peut causer une gêne aux oreilles. À l'intérieur de l'oreille moyenne, la pression est généralement égale à celle l'extérieur du corps.
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Pour éviter l'anxiété durant un voyage en avion, concentrez-vous sur une activité ou une idée. Surtout, évitez de penser à des scénarios catastrophes. Vous pouvez aussi partager vos angoisses avec une autre personne, car la verbalisation et le partage ont toujours un effet positif sur un esprit troublé.
Le décollage et l'atterrissage d'un avion peuvent causer un véritable stress et de la tension. Il peut alors être judicieux d'opter pour un vol sans escale, si vous avez le choix (et le budget) pour cela.
Cette sensation de vertige n'existe pas en vol car l'information visuelle est en cohérence avec le déplacement ressenti par l'oreille interne. Les pilotes et les passagers peuvent donc regarder en bas sans avoir la sensation de mouvement ou de tournoiement liée au vertige !
Une zone de turbulence ne répond pas à un concept physique, comme les trous d'air. Elle correspond à un moment où l'avion va s'agiter car la météo ne sera pas clémente. Un vent, par exemple, qui souffle fort dans plusieurs directions, va provoquer un ensemble de courants qui se rencontrent et se percutent.
Les vols long-courriers peuvent favoriser le développement d'un caillot dans les veines des membres inférieurs. Pour éviter cela, les médecins recommandent de marcher régulièrement dans l'appareil.
Pour être à l'aise durant ton voyage en avion, opte pour un haut dans une matière naturelle et confortable qui ne te fera pas transpirer : coton, soie, cachemire, laine, suffisamment long ou rentré dans ton pantalon.
Si l'on met des bas ou collants de compression pour voyager, le bon usage est de les mettre le matin, quand les jambes sont le moins gonflées et de les garder jusqu'au soir.
Mal contrôlées ou aiguës, l'angine, l'hypertension, l'arythmie et l'insuffisance cardiaque sont des contre-indications aux voyages en avion. Une personne qui a été victime d'un infarctus du myocarde non compliqué devra attendre au moins deux semaines avant de prendre l'avion.