Lorsque nous observons un ciel bleu, ce que nous voyons en réalité, ce sont les ondes bleues qui sont dispersées dans notre atmosphère. La nuit, puisque la lumière blanche du Soleil n'est plus présente, le ciel n'a aucune couleur et apparaît noir.
Comme la couche d'atmosphère que traversent les rayons du Soleil est de 10 à 15 fois supérieure lorsque le Soleil est à l'horizon comparé à sa position zénithale, les longueurs d'onde les plus courtes (violet et bleu) sont quasiment entièrement dissipées par la diffusion, donnant la couleur rouge et orangée du ciel ...
Lorsque la lumière rentre dans l'atmosphère terrestre, les rayons bleus sont les premiers à réagir et à changer de direction au contact de l'air : ce sont eux que tu vois. C'est pour cela qu'en plein jour, le ciel est bleu. Sur la Lune ou dans l'espace, le ciel est noir car il n'y a pas d'atmosphère.
Des nuages plus épais
Donc un nuage, ce sont de petites gouttes d'eau qui laissent passer une partie de la lumière. Contrairement à l'air, qui diffuse plus facilement la lumière bleue, raison pour laquelle on voit le ciel de cette couleur, l'eau diffuse de manière équivalente toutes les longueurs d'onde de la lumière.
Même par temps dégagé et en l'absence de poussières, le ciel n'est pas d'un bleu uniforme. En cause : l'épaisseur d'atmosphère traversée par les rayons du Soleil. Au coucher de soleil, les rayons de notre astre traversent une plus grande épaisseur d'atmosphère que lorsque le Soleil est au zénith.
Lorsque nous observons un ciel bleu, ce que nous voyons en réalité, ce sont les ondes bleues qui sont dispersées dans notre atmosphère. La nuit, puisque la lumière blanche du Soleil n'est plus présente, le ciel n'a aucune couleur et apparaît noir.
Le ciel est l'étendue visible au-dessus du sol depuis la surface de la Terre, de l'horizon au zénith, dans laquelle on observe les météores et les mouvements réguliers des astres.
La véritable couleur du Soleil est donc le blanc. Ce n'est pas le cas de toutes les images montrées dans cette vidéo qui proviennent de différents observatoires. La plupart, en effet, sont enregistrées derrière des filtres, pour sélectionner une gamme de longueurs d'onde.
Les planètes se sont formées il y a 4,6 milliards d'années et la luminosité du Soleil était d'environ 30 % inférieure à l'actuelle. La Terre telle qu'on la connaît aujourd'hui, vue de la Lune, est bleue, verte, brune avec des touches de blanc.
En cas de forte concentration de boue, d'algues ou d'autres impuretés, la dispersion change et le bleu disparaît. La mer paraît bleue parce que l'eau absorbe les rouges, les oranges et les jaunes (grandes longueurs d'onde), laissant apparaître les bleus (petites longueurs d'onde).
Le Soleil émet de la lumière dans l'espace, mais il ne l'éclaire pas uniformément, comme le fait le ciel terrestre. Pour éclairer un espace, il faut non seulement une source lumineuse, mais aussi quelque chose qui diffuse ou reflète la lumière, comme les murs blancs de la pièce ou l'atmosphère terrestre.
Pourquoi l'espace n'est-il jamais éclairé par la lumière du Soleil ? Il l'est. Mais il n'y a pas d'air pour diffuser la lumière. Donc, dans l'espace, quand on ne regarde pas vers le soleil ou une autre source de lumière, c'est noir.
Dans l'espace, ces cycles jour-nuit s'alternent très différemment. Sur la station spatiale internationale, située à 350-400 km en orbite autour de la Terre, les astronautes en mission font face à l'enchaînement de 16 périodes d'obscurité et de jour toutes les 24 heures.
Le problème, et la beauté, de la mer, c'est qu'elle est bleue, car l'eau absorbe préférentiellement dans le rouge. Pour prendre des photos, on doit corriger ce phénomène avec un flash (de la lumière blanche) afin de redonner leurs couleurs aux poissons et aux coraux.
La couleur est une production de l'esprit, donc, non, l'air n'est pas bleu! Ni l'air ni aucun objet n'a de couleur. La couleur perçue d'un objet (ou d'un gaz) dépend d'une série de facteurs dont la lumière avec laquelle il interagit. Si l'air apparaît bleu, c'est dû à la "diffusion de Rayleigh".
Le bleu du ciel, qui parfois se reflète sur la mer. Loin derrière, le vert de la végatation.
Le nom de « planète bleue » a été donné à partir des premières images de la Terre vue de l'espace, dont la plus célèbre « Blue marble » date du vol Apollo en 1972 1.
L'Hadéen : dans le berceau de la Terre
Née de l'agglomération de poussières et de gaz qui se sont assemblés autour du jeune Soleil, notre planète se forme alors. Puis la Terre se transforme et devient une planète sur laquelle la vie s'installe.
La terra rossa, écrite aussi terra-rossa (de l'italien terra rossa, « terre rouge »), appelé désormais sol rouge, est une formation argileuse, riche en sesquioxydes (sol fersiallitique) et de couleur rouge brique, constitué d'argiles de décarbonatation (appelés aussi argiles de décalcification) sur affleurements ...
En 1968, depuis le module de commande de la mission Apollo 8, l'astronaute Jim Lowell déclara : "La Lune est essentiellement grise. Aucune couleur." Mais avec des yeux artificiels, changement de décor : le sol lunaire se fait multicolore !
La couleur blanche réfléchit alors tous les rayons. Comme on l'a vu, ceux-ci transmetent de la chaleur : le blanc repoussant tous les rayons, il est donc plus froid. À l'inverse, le noir, comme les couleurs sombres, absorbe les rayons et donc la chaleur.
Le blanc :
Le parasol blanc est l'un des plus populaires. En effet, cette couleur a l'avantage de refléter la lumière du soleil, ce qui permet de garder une température plus fraîche sous le parasol.
Dans une première approche, on pourrait donc dire que le ciel, c'est… tout ce qui n'est pas la terre. Pas uniquement le ciel «visible» depuis la terre, mais bien tout le reste de la création. Un ciel multiple et complexe, ce qui explique peut-être pourquoi la langue hébraïque parle toujours des «cieux» au pluriel.
"Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre." La main de Dieu jaillit du ciel pour séparer la lumière et les ténèbres. C'est la première différenciation du vide, ne mettant encore en jeu aucune substance matérielle.
Le mot ciel, en cosmologie, vient du latin cælum qui renvoie à la voûte céleste, lieu de séjour de la divinité. Le mot désigne le ciel en tant que firmament. Au Moyen-Âge, le mot ciel renvoie au lieu de séjour de Dieu et de séjour des âmes après la mort. Ce faisant, le mot renvoie à l'ensemble de la voûte céleste.