Il permet non seulement de réaliser une économie moyenne de 15 % sur l'ensemble des besoins informatiques de votre organisation, mais il réduit également les coûts de maintenance ainsi que le risque et l'impact des pannes, tout en apportant une solution de stockage et d'accès aux informations plus efficace.
L'utilisation du cloud computing (informatique cloud) permet aux utilisateurs et aux entreprises de s'affranchir de la nécessité de gérer des serveurs physiques eux-mêmes ou d'exécuter des applications logicielles sur leurs propres équipements.
Le cloud computing permet aux entreprises de stocker des informations et d'y accéder sans avoir à gérer leurs propres appareils physiques ni leur infrastructure informatique.
L'architecture Serverless Computing
En fonction des besoins des développeurs, ces ressources informatiques peuvent être mises à échelle simplement et quasi instantanément. L'hébergement dans le cloud permet donc de répondre à une hausse d'activité ponctuelle et aussi d'éviter de consommer des ressources non utilisées.
Les inconvénients du Cloud public
Même s'il offre une flexibilité inouïe et une économie des coûts de gestion, le Cloud public présente quelques points d'ombre, dont le plus en vue est l'insécurité des données. En effet, les données stockées sur le Cloud public peuvent facilement faire office d'un piratage.
Tout d'abord, le cloud computing présente un risque lors de l'indisponibilité du réseau. Étant opérationnel uniquement avec une connexion internet, il peut être inutile s'il y a une panne ou une coupure d'internet. Le volet confidentiel est également à prendre en considération.
Il existe quatre principaux types de cloud computing : cloud public, cloud privé, cloud hybride et multicloud. Il existe aussi trois principaux types de services de cloud computing : IaaS (Infrastructure-as-a-Service), PaaS (Platform-as-a-Service) et SaaS (Software-as-a-Service).
Au début des années 2000 sont apparus des hébergeurs web capables d'héberger des applications dans leurs locaux informatiques. En particulier, Google et Amazon ont simultanément repris le terme « cloud computing » en 2006.
S'il y a bien un cloud qu'on ne présente plus, c'est celui de Google. Son cloud est vite devenu une référence puisque tous les internautes disposant d'une adresse sur Gmail peuvent en profiter gratuitement dans une limite de 15 Go.
Parmi les options populaires parmi les clouds gratuits, citons Google Drive, Microsoft One Drive et Dropbox. Chaque service a ses propres forces et faiblesses, il est donc important de choisir celui qui répondra le mieux aux besoins de votre projet de cloud computing.
Les outils de sécurité du cloud traitent les vulnérabilités provenant des employés et des menaces externes. Ils permettent également d'atténuer les erreurs qui surviennent pendant le développement et de réduire le risque que des personnes non autorisées accèdent à des données sensibles.
La synchronisation minimise le risque de perte de données en dupliquant celles-ci sur votre poste de travail et sur un serveur internet, un NAS ou un autre poste. Par contre, l'externalisation de vos informations peut créer un « trou de sécurité », si elle est mal paramétrée.
En effet, avec plus de 1500 TWH par an, le numérique consomme 10 à 15 % de l'électricité mondiale, soit l'équivalent de 100 réacteurs nucléaires. Concernant la pollution « invisible », le secteur informatique produit autant de gaz à effet de serre que le secteur aéronautique !
Le cloud computing (en français, « informatique dans les nuages ») fait référence à l'utilisation de la mémoire et des capacités de calcul des ordinateurs et des serveurs répartis dans le monde entier et liés par un réseau.
La première personne à employer l'expression de cloud computing fut le professeur Ramnath Chellappa de l'université du Texas à Austin en 1997. Salesforces, en 1999, fut le premier, à transformer ce concept en business avec le logiciel de gestion de la relation client éponyme. Amazon lui emboîte le pas en 2002.
Les mainframes étaient déjà un pas vers le cloud computing dans les années 1950. À cette époque, les utilisateurs pouvaient accéder à l'ordinateur central via plusieurs terminaux au sein de l'organisation (dans les entreprises ou les universités) et utiliser ses capacités.
nuage m (pluriel: nuages m)
L'essor du multi-cloud va se poursuivre : Le multi-cloud, défini par l'utilisation de plusieurs fournisseurs de cloud plutôt que de s'appuyer sur un seul, gagnera du terrain en 2022. En effet, les parties prenantes seront de plus en plus conscientes des risques de mettre tous ses œufs dans le même panier.
Un cloud privé est un environnement de cloud computing dédié à une seule organisation. Toute infrastructure cloud dispose de ressources informatiques sous-jacentes, telles que des unités centrales et du stockage, que vous approvisionnez à la demande via un portail en libre-service.
Par défaut, les données de sauvegarde dans le cloud sont stockées sur des serveurs Backblaze. Si l'emplacement choisi se trouve aux États-Unis ou dans l'Union européenne, les données sont stockées via Backblaze. Dans les autres régions, le stockage se fait via AWS.
Les risques d'attaque et de perte de confidentialité sont augmentés car selon le système utilisé, l'entreprise ne pourra pas forcément travailler ou disposer de ses données hors réseau, Le retour à un service informatique « internalisé » est souvent coûteux et complexe.