Lorsqu'une pièce n'est pas aérée, le dioxyde de carbone (CO2) a tendance à s'y accumuler. C'est pourquoi la ventilation est importante et doit être effectuée très régulièrement. En effet, un taux trop important de CO2 augmente la fréquence des micro-réveils et altère donc la qualité du sommeil.
La vie nocturne des plantes
Par contre la nuit, la photosynthèse n'étant plus possible par manque de lumière (énergie), les plantes vont simplement respirer normalement comme n'importe quel être vivant. Elles dégagent effectivement du gaz carbonique.
Trois facteurs expliquent cette accélération : - une augmentation des émissions de carbone, qui dépasse les prévisions les plus pessimistes, - une inversion de l'évolution du rapport "emission de carbone/croissance économique", - une réduction de l'efficacité des puits naturels du carbone.
Étant donné que le gaz ne monte et ne descend qu'en se mélangeant à l'air qui l'entoure, vous ne pouvez pas simplement suspendre un détecteur de monoxyde de carbone au plafond et vous attendre à ce qu'il fonctionne efficacement.
La seule façon fiable d'être alerté rapidement de sa présence anormale est d'avoir recours à un détecteur avertisseur de monoxyde de carbone.
Le mois de mai est généralement celui qui enregistre un taux de dioxyde de carbone (CO2) le plus élevé chaque année. En mai 2022, la barre des 420 parties par million (ppm), unité de mesure utilisée pour quantifier la pollution dans l'air, a été franchie. En mai 2021, ce taux était de 419 ppm, et en 2020, de 417 ppm.
à 4 %, la fréquence respiratoire peut être multipliée par 4 et un sentiment d'oppression peut se faire sentir ; à partir de 5 %, le CO2 produit une odeur légèrement piquante.
Aérer immédiatement les locaux en ouvrant portes et fenêtres. Arrêter si possible les appareils à combustion. Faire évacuer les locaux et vider les lieux de leurs occupants.
Les valeurs limites réglementaire ou normative actuelles varient usuellement entre 1000 et 1500 ppm. Elles s'appliquent aux bâtiments scolaires, bâtiments résidentiels et bureaux et n'ont pas de signification quant à la qualité sanitaire de l'air intérieur.
Des taux élevés de CO2 (2000 PPM ou 0,2% de CO2 dans l'air) peuvent entraîner des maux de tête, sensation d'endormissement, augmentation du rythme cardiaque, gène respiratoire. Quelques personnes asthmatiques peuvent commencer à ressentir des difficultés respiratoires entre 1000 et 1500 ppm !
Quand il fait un peu plus chaud, le cycle du carbone et la solubilité de CO2 dans les océans sont modifiés : le dioxyde de carbone est relâché dans l'atmosphère, ce qui augmente la température, avec effet boule de neige (c'est l'inverse quand il fait plus froid).
Le CO2 est en partie responsable de l'effet de serre. Cela a pour conséquence l'augmentation des températures et ainsi, la perturbation de tout notre écosystème (voir nos articles traitant des conséquences du réchauffement climatique sur les océans, la fonte des glaces et les forets).
Peut-on mettre des plantes d'intérieur dans sa chambre ? Si la question est légitime, le risque d'intoxication est une idée reçue. En effet, il est généralement conseillé de ne pas mettre de plantes dans sa chambre car la nuit, les végétaux respirent en absorbant de l'oxygène et en rejetant du CO2 (Dioxyde de carbone).
En effet, durant la nuit, à cause de l'absence de lumière, le processus de photosynthèse s'interrompt chez les végétaux. Au lieu d'absorber du CO2 et de rejeter de l'oxygène, c'est l'inverse qui se produit. Un phénomène qui pourrait donc, en théorie, provoquer l'asphyxie des personnes à proximité.
Dormir avec une plante serait dangereux pour la santé car celle-ci rejette du dioxyde de carbone (CO2). Or c'est complètement faux car lorsque la nuit tombe la photosynthèse s'arrête alors la plante émet du CO2 en très faible quantité et cela ne nuit pas à l'homme.
les inserts de cheminées, les poêles. les chauffages mobiles d'appoint. les cuisinières à bois, à charbon, ou à gaz.
Le monoxyde de carbone provient de la combustion incomplète de matières carbonées (gaz naturel, bois, charbon, butane, essence, fioul, pétrole, propane). Ce phénomène est dû à : une quantité insuffisante d'oxygène dans l'air (pièce calfeutrée, aération insuffisante, entrée d'air bouchée…)
Il se fixe donc facilement sur l'hémoglobine pour former une molécule stable, la carboxyhémoglobine (HbCO). Ce phénomène entraîne une diminution de la capacité sanguine à transporter l'oxygène, une plus grande difficulté à relarguer l'oxygène au niveau tissulaire et une asphyxie parfois mortelle.
Les premiers symptômes et les plus fréquents sont des céphalées, des asthénies, des nausées et vomissements. Ces signes peuvent parfois orienter le diagnostic à tort vers d'autres pathologies (intoxication alimentaire récente ou récidivante sans diarrhée, syndrome grippal sans fièvre).
Le dioxyde de carbone, plus communément employé sous sa formule moléculaire CO2 (pour un atome de carbone et deux atomes d'oxygène), est un gaz sans couleur ni odeur. Il appartient au cycle du carbone sur la planète et s'avère à cet égard un élément crucial de ce cycle.
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
À des concentrations élevées, le dioxyde de carbone peut déplacer l'oxygène de l'air, privant ainsi le corps d'oxygène, ce qui peut causer une perte de conscience. Le dioxyde de carbone agit également comme un puissant dépresseur du système nerveux central.
Le taux de CO2 normal dans l'air est de 350 à 450 ppm. Le CO2 est un gaz inodore, incolore et ininflammable. Le CO2 a pour particularité d'absorber certaines fréquences infrarouges. Les nouveaux modèles de capteur utilisent donc des cellules infrarouges pour la mesure du taux de CO2.