Le CO2 est en partie responsable de l'effet de serre. Cela a pour conséquence l'augmentation des températures et ainsi, la perturbation de tout notre écosystème (voir nos articles traitant des conséquences du réchauffement climatique sur les océans, la fonte des glaces et les forets).
Le CO2 atteint actuellement d'énormes concentrations dans l'atmosphère. Ce gaz est responsable aux deux tiers de l'effet de serre additionnel. L'homme augmente aussi la production de méthane avec l'élevage intensif d'animaux, mais surtout avec la céréale la plus cultivée sur Terre : le riz.
À des concentrations élevées, le dioxyde de carbone peut déplacer l'oxygène de l'air, privant ainsi le corps d'oxygène, ce qui peut causer une perte de conscience. Le dioxyde de carbone agit également comme un puissant dépresseur du système nerveux central.
L'énergie piégée par le CO2 et les autres gaz à effet de serre entraîne un réchauffement de la surface terrestre et, partant, une augmentation de la teneur de l'atmosphère en vapeur d'eau, laquelle engendre/piège à son tour encore plus de chaleur.
Les Gaz à Effet de Serre (GES) sont des gaz naturellement présents dans l'atmosphère. Ils absorbent une partie des rayons solaires et les redistribuent ensuite sous la forme de radiations. Leur concentration croissante dans l'atmosphère, due aux activités humaines, est à l'origine du réchauffement climatique.
La hausse des émissions de gaz à effet de serre modifie cette composition, provoquant une augmentation de l'effet de serre. La chaleur est piégée à la surface de la Terre. Ce déséquilibre entraîne un réchauffement planétaire. Depuis le début du XXème siècle, la température de la planète a augmenté de 1,1°C.
Les gaz à effet de serre contenus dans l'atmosphère ont un rôle important dans la régulation du climat. Ils empêchent une large part de l'énergie solaire (les rayonnements infrarouges) d'être renvoyée de la Terre vers l'espace. C'est l'effet de serre. Grâce à lui, la température moyenne sur Terre est d'environ 15 °C.
En favorisant la photosynthèse, le CO2 contribue en outre massivement à la lutte contre la faim dans le monde. Ainsi, l'augmentation de plus de 40 % de sa présence dans l'atmosphère a-t-elle accru à elle seule la production mondiale de céréales de 600 millions de tonnes par an, soit 80 kilos par être humain !
Les rejets de dioxyde de carbone (CO2)
Ce gaz opaque au rayonnement infrarouge de la Terre maintient comme un couvercle la chaleur à sa surface entraînant un réchauffement important.
Il joue un rôle primordial dans le cycle du carbone sur la planète : l'être vivant transforme l'oxygène en CO₂ tandis que les plantes transforment le CO₂ en oxygène. Le dioxyde de carbone participe ainsi activement à la respiration des êtres vivants et à la photosynthèse des plantes.
Le dioxyde de carbone, également appelé gaz carbonique ou anhydride carbonique, de formule moléculaire CO2, est un gaz incolore, inerte et non toxique.
Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère, et par conséquent, accentuent le réchauffement climatique.
Les activités humaines, telles que la combustion de pétrole, de charbon et de gaz, ainsi que la déforestation, sont les causes principales de l'augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère.
L'effet de serre additionnel est le résultat des activités humaines qui provoquent l'augmentation de la concentration des gaz à effet de serre naturellement présents dans l'atmosphère. Le dioxyde de carbone (CO2), est le principal responsable de cet effet de serre additionnel, et donc du réchauffement climatique.
Il en résulte que si la vapeur d'eau restera toujours le principal gaz à effet de serre, le dioxyde de carbone reste pour l'instant le principal responsable du réchauffement climatique.
Le méthane est le principal responsable de la formation de l'ozone troposphérique, un polluant atmosphérique dangereux ainsi qu'un gaz à effet de serre, dont l'exposition provoque chaque année un million de décès prématurés (en anglais). Le méthane est également un puissant gaz à effet de serre.
- CO2 (dioxyde de carbone) : « en raison de l'activité humaine, la concentration de CO2 dans l'atmosphère a augmenté de près de 50% depuis le début de l'ère industrielle. Responsable pour deux tiers du réchauffement de la planète, le dioxyde de carbone est le principal facteur des changements climatiques.
Le système va donc s'équilibrer en rejetant une partie du CO2 dans l'eau vers l'air. Globalement, il faut 100 ans pour perdre 50% du CO2 et non la totalité comme on peut le voir indiqué dans certains ouvrages. Il faut ensuite attendre 1000 ans pour qu'il ne reste que 20 à 30% de ce CO2.
Une fois émis, le gaz est en partie absorbé par les puits de carbone naturels. Cette absorption du dioxyde de carbone a doublé en cinquante ans (de 1960 à 2010) mais cela ne suffit pas pour compenser la hausse des émissions : la moitié du CO2 rejeté par les activités humaines s'accumule dans l'atmosphère.
Tout d'abord, les racines absorbent l'eau et les sels minéraux ce qui constitue la sève brute de la plante. Cette sève se déplace jusqu'aux feuilles où elles absorbent le dioxyde de carbone ainsi que la lumière. Ensuite, les feuilles rejettent de l'oxygène et changent l'eau et le CO2 en glucose.
Les causes de la hausse des émissions
La combustion du charbon, du pétrole et du gaz produit du dioxyde de carbone et du protoxyde d'azote. L'abattage des forêts (déforestation). Les arbres contribuent à réguler le climat en absorbant le dioxyde de carbone (CO2) de l'atmosphère.
La principale activité humaine responsable des changements climatiques est la combustion, notamment des énergies fossiles : pétrole, charbon et gaz.
Dans le monde, selon les données du GIEC, les principaux grands secteurs de l'économie mondiale contribuant aux émissions de CO2 sont les suivants, dans l'ordre décroissant : Production de chaleur et d'électricité (25%) Agriculture, foresterie et utilisation des sols (24%) Industrie (21%)