Commander son dessert avant le repas pour limiter les calories. Si le dessert consommé à la fin du repas réduit le pic d'insuline, une autre étude parue dans le Journal of Experimental Psychology suggère, elle, de commencer par le sucré afin de limiter les calories totales ingérées lorsqu'on va au restaurant.
Un dessert sucré se servait après la desserte des tables (d'où le nom), mais ne constituait pas un plat au sens strict. Il faut attendre 1912 et le service dit « à la russe » d'Auguste Escoffier, où les plats sont servis les uns après les autres, pour que le dernier soit systématiquement sucré.
La chef Auguste Escoffier, qui a participé à l'essor de la cuisine française dans le monde, a aidé à restreindre davantage les plats et à gagner en rapidité en imposant un service de trois ou quatre plats et en créant le “menu à prix fixe”. Lors de son passage au Ritz, il imposait de finir par un dessert sucré.
Le dessert après le repas alourdi et ralenti la digestion avec comme résultat des désagréments digestifs variés type ballonnements, flatulences et fatigue. Le moment idéal pour du sucré ? Dans l'après-midi vers 16/17 h où on a souvent besoin d'un petit coup de boost pour l'énergie.
Selon une étude britannique manger du sucré au début de son repas donne une impression de satiété plus rapide et réduit la quantité d'aliments ingérés pendant la suite du repas. diminuer l'appétit. C'est en voulant savoir pourquoi le sucre nous rend dépendants que les scientifiques ont fait cette découverte.
Une habitude alimentaire à contrôler
Le diabète. Chez certains individus, manger le dessert avant le plat et l'entrée peut favoriser le phénomène dit de « résistance à l'insuline », et donc l'apparition d'un diabète de type 2.
Consommé en fin de repas, le fruit restera « coincé » dans l'estomac du fait de l'ingestion des autres aliments. Il commencera alors à fermenter, secrétant du glucose puis de l'alcool. Pas top pour la digestion, avec des ballonnements, des flatulences, mais aussi une hyperacidité de l'estomac.
Comme beaucoup de fruits, les cerises fermentent grâce à des germes présents à la surface du fruit. Ces germes provoquent alors des maux de ventre et des ballonnements qui peuvent être accentués si l'on boit de l'eau en plus.
Pour se donner bonne conscience, on a souvent pour habitude de clôturer son repas par un fruit ou une salade de fruits, en dessert. Riches en fibres et vitamines, les fruits sont excellents pour la santé et donnent le sentiment avec leur belle couleur et leur petite note sucrée de faire plaisir sans culpabiliser.
Les convives n'ont probablement aucune idée de ce qu'ils vont déguster mais ils sont à peu près sûrs de voir défiler, par ordre chronologique : des entrées, des plats de résistance, du fromage et des desserts. Le repas devrait se finir par un café, éventuellement suivi d'un « pousse-café » (digestif).
C'est là que les sucres sont libérés dans l'organisme. Pour cela, il ont besoin d'un milieu alcalin. Quand vous mangez des aliments riches en protéines (oeufs, viande, légumineuses…), votre estomac va sécréter des acides pour digérer ces protéines.
Elles calment la faim et apportent des vitamines
Les crudités sont intéressantes pour le maintien du poids, car elles arrivent à remplir en bonne partie notre estomac et à nous supprimer la forte sensation de faim éprouvée au début du repas.
Il y a plein d'explications possibles à la tradition du fromage après le dessert : Le fromage se marie bien avec les alcools forts que l'on buvait traditionnellement en fin de repas. C'est particulièrement vrai avec les fromages anglais. Le fromage aiderait à la digestion grâce à sa capacité à combattre l'acidité.
Ces recettes sucrées peuvent être dégustées à toute heure : petit-déjeuner, goûter ou en guise de un dessert. Pour que les pâtisseries soient appréciées à leur juste valeur, il est nécessaire qu'elles soient bien conservées.
Une vertu que les médecins de l'époque attribuaient également aux fromages, particulièrement à ceux qui étaient vieux, bien affinés et forts : mangés à la toute fin du repas, ils permettaient de sceller l'estomac et d'éviter que les aliments ingérés avant eux ne remontent dans l'oesophage.
Le brownie au chocolat
La palme du dessert le plus calorique revient au brownie au chocolat, avec en moyenne 471 kilocalories (kcal) pour 100 grammes.
Pourtant, le yaourt ne serait pas si bon que ça. Le Docteur Raoult, dirigeant du laboratoire de bactériovirologie de la Timone à Marseille, affirme en effet que les bactéries contenues dans les yaourts favoriseraient le surpoids, voire l'obésité.
Selon les nutritionnistes, le meilleur moment pour manger un fruit, et notamment une pomme, est au petit-déjeuner, car il apporte plus d'énergie et de nutriments qu'une simple tasse de café. Mis à part au petit-déjeuner, la pomme peut aussi être prise en encas dans la matinée, dans l'après-midi et avant le dîner.
Un réflexe gastro-colique peut être déclenché au moment de chaque repas et entraîner une évacuation de selles."
Néanmoins, le moment parfait pour consommer les fruits reste encore 17h : 4 à 5 heures après le déjeuner et une ou deux heures avant le dîner. De cette façon, ils ne viennent pas perturber la digestion du déjeuner et permettent quand même à l'organisme de tenir jusqu'au dîner.
En fin de repas, si vous voulez accélérer la digestion, il est préconisé de jeter votre dévolu sur un yaourt nature, pauvre en lipides et en calories (60-80 calories au maximum). Les bactéries lactiques présentes dans ces yaourts seraient bénéfiques pour les intestins car favorisent la digestion du lactose.
Sa consommation après le repas est conseillée à ceux qui souhaitent diminuer la vitesse d'absorption des sucres et des graisses pour garder la glycémie sous contrôle. Riche en fibres et notamment en pectine, la pomme a la capacité de stimuler certains enzymes qui contrôlent la glycémie.
La datte est riche en antioxydants
La datte doit aussi être consommée régulièrement car elle est riche en antioxydants. Les caroténoïdes et les composés phénoliques sont très utiles pour lutter contre l'accumulation de graisses dans l'organisme, notamment au niveau des artères.