Avoir une faible estime de soi implique des croyances telles que « je suis inférieur », « je ne suis pas intéressant » ou « je suis incompétent ». Ces croyances accompagnent souvent l'anxiété sociale et le rejet sociale. Par conséquent, une personne souffrant d'anxiété sociale craint les contextes sociaux.
Le rejet peut correspondre à une opposition, un mépris, une exclusion, une mise à l'écart, un refus, un déni, un dédain, un licenciement, une rupture amicale ou amoureuse... "Il s'agit souvent d'une blessure refoulée et donc inconsciente qui se réactive dans le présent, en écho avec le passé.
Parfois encore, il n'y a pas de rejet réel, ou d'intention de rejeter, mais simplement de l'indifférence ou de la distraction : mais les personnes hypersensibles ne le supportent pas. Car il y a aussi cela : la question de notre vulnérabilité à la non-reconnaissance et la non-acceptation par les autres.
Une des causes principales de cette impression d'être exclu provient d'un manque affectif pendant l'enfance. La croyance va ensuite se renforcer à travers des pensées et des paroles telles que « je suis de trop », « je ne me sens pas à ma place », « on ne veut pas de moi car je suis différent »,…
L'ostracisme (ou rejet social) est une forme d'exclusion délibérée d'un individu d'une relation interpersonnelle ou d'une relation sociale. Cela inclut le rejet interpersonnel et le rejet sentimental.
En effet, pour guérir d'une blessure de rejet, il est déterminant d'en prendre conscience et de l'identifier. Sans conscience de la blessure de rejet, la personne va manifester des comportements réactifs et ne pourra ni agir dessus ni la soigner.
Même une fois adulte, se sentir rejeté blesse notre estime de soi. S'en suit parfois un état de tristesse, une propension à s'isoler, une diminution de la confiance en soi et même une dépression.
Cette attitude a quelque chose de pathologique chez les parents. Elle est le fruit d'un moment douloureux de leur histoire intime. Il peut s'agir d'un secret de famille bien enfoui, une filiation douteuse par exemple." L'exclusion peut aussi être due à un mode de vie que la famille désapprouve.
Ce rejet de l'autre et de la relation amoureuse apaisée pourrait relever de la théorie de l'attachement. Il se cache probablement dans votre passé, peut-être lointain, une raison, un souvenir, qui vous empêche de croire que vous avez le droit d'aimer et d'être aimée.
Il existe deux types de rejet : le rejet aigu, qui correspond à la réponse immunitaire décrite ci-dessus ; le rejet chronique, ou maladie chronique du greffon. Cela peut être un organe, un tissu ou encore des cellules. , qui apparaît plusieurs années après la greffe.
Ainsi, le rejet adopte le masque du fuyant : il peut fuir les relations, il peut fuir dans l'imaginaire, les conduites à risques. Il peut même se fuir lui-même. l'abandon adopte le masque du dépendant : son besoin des autres est constant (demande des conseils, recherche l'attention).
Concrètement, le syndrome de l'abandon pourrait se définir comme "un assemblage de comportements qui se manifestent à l'âge adulte par une peur des séparations de tous types. Il y a des indicateurs plus ou moins symboliques comme détester voyager, détester faire ses valises, détester déménager", explique Ariane Calvo.
Comment Appelle-t-on une personne qui rejette tout le temps la faute sur les autres ? Le narcissique blâme toujours sa partenaire ! Il est incapable de prendre ses responsabilités et préfère rejeter la faute sur sa victime de prédilection.
C'est pourquoi une blessure = un masque. Ce masque est finalement le produit de notre égo et de ses mécanismes de défense. Ainsi, la personne qui souffre de la blessure de l'abandon porte le masque du dépendant. Elle a du mal à fonctionner seule et a besoin qu'on s'occupe d'elle…
l'anxiété une faible confiance en soi. une faible estime de soi. des pensées suicidaires.
Une deuxième raison pour laquelle nous blessons celui que nous aimons le plus est que cette personne est là, tout simplement. Son énergie est disponible et nous nous en servons selon nos besoins. En lui prenant son énergie, nous le faisons souffrir. Voler l'énergie à quelqu'un revient à le blesser.
Il sait qu'il vous plaît, ou que vous l'aimez encore. Donc il revient vers vous de temps en temps parce que ça flatte son ego. Il aime plaire, et avec vous il se sent valorisé. Donc c'est plutôt encore une fois une « mauvaise raison » de revenir vers vous.
Rejet, abandon, trahison, humiliation, injustice… Selon Lise Bourbeau*, telles sont les 5 blessures qui affectent et dirigent nos états émotionnels et nous empêchent d'être pleinement « nous-mêmes ».
Le rejet chronique : il s'agit de la principale cause d'échec des transplantations. Le rejet chronique s'installe insidieusement au cours du temps pour aboutir à une perte de l'architecture du greffon qui progressivement devient le siège d'une fibrose aboutissant à la perte progressive des fonctions de l'organe greffé.
Une pression non adéquate sur le greffon peut provoquer un hématome, une infection, une dislocation ou la perte du greffon, réduisant considérablement la survie de la greffe.
Les principaux risques concernent l'hypertension artérielle et l'athérosclérose (accumulation de graisses dans la paroi artérielle), et leurs conséquences, et en particulier l'infarctus du myocarde.