L'air de l'atmosphère diffuse la lumière bleue, hors la lumière solaire est blanche (composée de la totalité du spectre visible) et blanc-bleu=jaune. Lorsque le soleil est bas sur l'horizon, la diffusion de l'air est plus dans le violet et blanc-violet=orange/rouge.
C'est l'atmosphère et nos yeux qui nous jouent ce tour. Les rayons traversent l'atmosphère, rendant le ciel bleu et nos yeux perçoivent moins de bleu, mais plus de vert et de rouge. Vert et rouge, ça donne du jaune! La véritable couleur du Soleil est donc le blanc!
Il présente à sa surface une température qui lui permet d'émettre un rayonnement thermique visible. Par le modèle du corps noir, la température de surface du Soleil est estimée à 5700-5900 K. La lumière solaire est blanche, de spectre continu, jusqu'à ce qu'elle traverse l'atmosphère de l'étoile.
Le 4 juin dernier et pendant quatre jours, le Soleil est devenu « blanc ». Un épisode qui vient de se reproduire. Le phénomène de Soleil « blanc » signifie qu'aucune tache solaire n'a été observée à la surface de notre indispensable étoile.
Tout simplement parce que le blanc est la somme de toutes les couleurs visibles. Une source de lumière (soleil, ampoule etc..) rayonne, globalement, sur un spectre très large de fréquences.
Conclusion : La lumière blanche peut être décomposée en un ensemble de couleurs grâce à un prisme ou un réseau. Le résultat est appelé spectre.
La lumière blanche est constituée d'un ensemble de couleurs différentes qui constituent le spectre lumi- neux. Ce spectre est polychromatique et continu : il contient toutes les nuances de couleurs entre le violet et le rouge. s'est décomposée et on peut observer les couleurs de l'arc-en-ciel à la sortie du prisme.
En cause : l'épaisseur d'atmosphère traversée par les rayons du Soleil. Au coucher de soleil, les rayons de notre astre traversent une plus grande épaisseur d'atmosphère que lorsque le Soleil est au zénith.
En fait, il faut le comprendre comme : blanc moins les couleurs absorbées, diffusées par l'atmosphère, c'est-à-dire bleues et un peu, les vertes. Il nous reste un mélange de jaune, d'orange et de rouge (avec un petit reste de vert). Ces trois couleurs (jaune, orange, rouge) donnent une teinte jaune orangée au Soleil.
Dans la journée, l'atmosphère diffuse la couleur bleue de cette lumière. Le soir, la lumière du Soleil rase la Terre à l'horizon : elle traverse alors une couche d'air plus épaisse. Cet air agit comme un filtre, plus il est épais, plus il arrête les couleurs. Mais le rouge passe, car il est moins filtré !
Les molécules de l'atmosphère absorbent une partie du rayonnement solaire. Le graphique ci-dessus montre l'allure du profil spectral du Soleil en haut de l'atmosphère et au niveau de la mer. Selon la position sur Terre, l'épaisseur d'atmosphère traversée par le rayonnement solaire n'est pas la même.
Il y a deux manières de produire de la lumière blanche avec des LED. En utilisant une LED bleue recouverte de phosphore, on transforme la lumière bleue en lumière blanche grâce à un procédé appelé fluorescence. En combinant des LED rouges, bleues et vertes, on produit de la lumière blanche.
En 1666, lors de ses expériences d'optique, Newton fait passer de la lumière solaire blanche à travers un prisme de façon à la décomposer en rayons lumineux de différentes couleurs, comme le fait le rebord d'une lentille.
L'espace est toujours noir et rempli d'étoiles qui ne scintillent pas. Le Soleil reste blanc, ce qui est sa véritable couleur ! Les astronautes regardent la Terre et le ciel à travers les hublots.
La réponse est simple, c'est parce que la lumière du soleil est très intense et la surface lunaire a une poussière faite de petits grains de sable qui la réfléchissent très bien.
Le soleil y apparaît bleu. Ces nuances bleutées seraient dûes à "de fines particules flottantes à la surface de la planète qui filtreraient la lumière", comme l'explique la NASA sur son site internet. Ce processus de filtration de la lumière est plus prononcé au crépuscule.
La lumière qui nous parvient du Soleil est donc une lumière blanche à laquelle il manquerait un peu de bleu. Lorsque nos yeux la perçoivent, les cônes rouges et verts de la rétine sont davantage impressionnés que les bleus et le Soleil nous apparaît donc comme légèrement jaune.
Si le ciel est bleu c'est en raison de la diffusion de Rayleigh. Elle caractérise la diffusion de la lumière par les particules dont le rayon est très petit par rapport à la longueur d'onde du rayonnement solaire.
blanche, même si le Soleil est souvent représenté comme jaune quand on le dessine. Le ciel n'est bleu que parce qu'il y a une atmosphère autour de la Terre : la couche de gaz qui entoure notre planète. Cette atmosphère diffuse la lumière.
En effet, lorsqu'une lumière blanche, autrement dit le rayonnement solaire, percute la surface de l'eau, une partie est réfléchie (première raison de la couleur bleue de la surface des eaux) et l'autre est réfractée et pénètre dans l'eau.
Au contact des molécules de gaz qui constituent l'atmosphère, la lumière se diffuse dans toutes les directions. La lumière bleue prédomine, elle est davantage diffusée que les autres. Par conséquent, en regardant le ciel dans une autre direction que le soleil, le ciel apparaît comme bleu.
Un objet rouge absorbe toutes les couleurs de la lumière blanche, sauf le rouge, un objet vert absorbe toutes les lumières sauf le vert, etc. Éclairé par une lumière blanche un objet possède la couleur de la lumière qu'il n'absorbe pas.
Ce phénomène est lié à la notion de longueur d'onde. En effet, un filtre laisse passer les rayonnements de longueur d'onde correspondant à sa couleur mais absorbe toutes les autres parties du spectre correspondant à des longueurs d'onde différentes.
- Une boule rouge éclairée en lumière blanche absorbe toutes les couleurs contenues dans la lumière blanche, exceptée la couleur rouge qu'elle diffuse. Eclairée en lumière bleue, la boule rouge ne diffuse plus de lumière : elle apparaît noire.