Le soleil n'éclaire pas l'arrière des planètes, tout simplement parce que la lumière issue du soleil, qui peut être représentée comme une infinité de rayons lumineux, tous dans la même direction, ne rencontre que "l'avant " de la planète.
La nuit, la lumière du soleil n'entre plus en collision avec les particules qui composent l'atmosphère. Même chose dans l'espace, où il n'y a pas d'atmosphère pour provoquer des collisions avec la lumière solaire. Le ciel n'a alors aucune couleur.
Dans l'espace cette faible lueur est encore mieux visible car la lumière des étoiles n'est pas absorbée par l'atmosphère.» Mais si l'obscurité n'est donc pas «totale», il fait donc continuellement sombre dans l'espace.
L'héliocentrisme est une théorie physique qui s'oppose au géocentrisme en plaçant le Soleil (plutôt que la Terre) au centre de l'Univers. D'après les variantes plus modernes, le Soleil n'est plus le centre de l'Univers, mais un point relatif autour duquel s'organise notre propre Système solaire.
La face visible de la Lune n'est donc pas éclairée de la même manière par le Soleil. Précisément, la Lune ne produit pas de lumière et ne rayonne pas par elle-même. Elle reflète en fait la lumière du Soleil qui l'éclaire, d'où cette impression que la Lune brille.
En plus de tourner sur lui-même, le Soleil est en orbite, autour du centre de la Voie lactée — le système solaire se trouve dans le bras spiral d'Orion –, à la vitesse de 720 000 kilomètres par heure. Il lui faut 230 millions d'années pour faire un tour complet de la galaxie.
Une décision motivée par la concurrence permanente qui existe entre les deux superpuissances, sur fond de Guerre froide. Se lance alors une course contre la montre pour les Etats-Unis, qui démarrent le programme spatial Apollo.
Géocentrisme. Le géocentrisme est un modèle ancien, réfuté aujourd'hui, selon lequel la Terre est immobile au centre de l'Univers. Ce modèle a notamment été utilisé par Ptolémée (astronome, mathématicien et géographe romain, 100-168) pour élaborer sa vision du système solaire.
Lorsque nous observons un ciel bleu, ce que nous voyons en réalité, ce sont les ondes bleues qui sont dispersées dans notre atmosphère. La nuit, puisque la lumière blanche du Soleil n'est plus présente, le ciel n'a aucune couleur et apparaît noir.
À ce jour, aucune donnée scientifique ne permet de dire si l'Univers est fini ou infini. Certains théoriciens penchent pour un Univers infini, d'autres pour un Univers fini mais non borné. Un exemple d'Univers fini et non borné serait l'espace se refermant sur lui-même.
Il est vrai que les particules de lumière (photons) ne vieillissent pas, parce qu'elles se déplacent à la vitesse de la lumière dans le vide.
La faute aux rayons cosmiques. Explication : ces radiations dans l'espace influent sur les télomères qui sont, comme le décrit l'Inserm , les extrémités des chromosomes, formées de paires de bases répétées et qui interviennent dans le vieillissement, le cancer et d'autres pathologies.
Le rôle joué par l'expansion de l'Univers
Et parce que ces longueurs d'onde sont indétectables, les objets apparaissent sombres (noirs) à l'œil nu. Les étoiles émettent de la lumière dans toutes les couleurs, même les couleurs non visibles pour l'œil humain, comme l'ultraviolet ou l'infrarouge.
De jour, il est bleu. C'est le cas uniquement sur la planète Terre, dont l'atmosphère, aux propriétés optiques particulières, diffuse la lumière solaire principalement dans le bleu. Sur la Lune, le ciel est noir : ainsi, quelle que soit l'heure, on distingue très bien la Terre, le Soleil et les autres astres.
On pense que le soleil est jaune, mais c'est parce que notre atmosphère sur Terre filtre certains photons, notamment les bleus. C'est pour ça que le ciel est bleu et que le soleil nous apparaît jaune. Pourtant, dans l'espace, le soleil est presque blanc, il fait donc partie des catégories intermédiaires.
Cela démontre clairement qu'avec le bon équipement et suffisamment de temps, les astronautes sont capables d'observer de nombreuses étoiles ainsi que la Voie lactée, notre galaxie d'origine !
Sans la force de gravité de la Terre, la Lune se contenterait de flotter dans l'espace. Le mouvement permanent de la Lune conjugué à sa distance de la Terre lui permet d'être en équilibre parfait entre chute et flottement. Si son mouvement était plus lent, elle tomberait sur Terre.
Parce que l'eau absorbe préférentiellement la lumière rouge à cause des vibrations de ses molécules. Le problème, et la beauté, de la mer, c'est qu'elle est bleue, car l'eau absorbe préférentiellement dans le rouge.
Il peut être si lumineux qu'on croirait pouvoir le toucher, mais il n'est que le reflet d'une réaction produite par la pluie et la lumière du soleil, donc inaccessible au toucher.
Il se trouve dans le 4e quadrant galactique à une distance d'environ 5,2 kpc du Soleil et à 3,3 kpc du centre galactique.
La Terre s'est formée à partir d'un gros nuage de poussières de roches, de métal et de gaz.
Notre planète tourne également autour du Soleil et ce grâce à la gravitation entre les deux astres. À sa naissance, elle a reçue une impulsion, celle-ci la fait aller tout droit (mouvement rectiligne). En même temps, le Soleil l'attire perpendiculairement.
Orion ira se placer en orbite autour de la Lune avant de revenir sur Terre. Prévue pour 2024, Artémis 2 emmènera ensuite des astronautes jusqu'à la Lune, mais sans y atterrir, comme l'avait fait Apollo 8.
La Nasa a pour objectif d'envoyer des astronautes sur Mars d'ici la fin des années 2030 ou le début des années 2040. Envoyer et maintenir en vie des humains sur Mars pose de vrais défis logistiques et biologiques.