Facteur n° 1 : C'est la faute au réchauffement climatique ! C'est un fait constaté par les experts climatologues. Sur nos vignobles du monde, situés principalement aux latitudes moyennes (écoutez le podcast sur les vins du Nouveau Monde à ce sujet !), la température a augmenté de 2 degrés depuis les années 60.
L'alcool développe les goûts du vin
L'alcool est aussi un exhausteur de goûts et de saveurs. L'augmentation du degré d'alcool a permis de rendre les vins plus complexes et meilleurs gustativement. Nos grands pères se contentaient de vins moins élevés en degré et beaucoup plus simples que ceux d'aujourd'hui.
Bien que le vin rouge contienne davantage de phénol que le vin blanc, ce dernier possède une plus grande capacité à faire baisser le cholestérol LDL (cholestérol nocif) que le vin rouge. Le vin blanc est également reconnu pour prévenir l'apparition des maladies qui affectent le système respiratoire.
Les vins blancs sont généralement obtenus à partir des raisins à peau blanche, tandis que les vins rouges proviennent des vignes de raisins à peau noire. C'est vrai, mais pas obligatoire. Tout dépend des procédés de fabrication, puis de fermentation choisis. La peau est à différencier de la pulpe (chair des raisins).
La différence entre vin rouge et vin rosé
Il faut savoir que c'est la couleur du raisin qui détermine la teinte qu'aura le vin. On utilise le même procédé pour le vin rouge et le vin rosé, sauf qu'on sépare plutôt la pulpe et la peau dès qu'on obtient la bonne robe pour le rosé.
Certains cépages sont plus acides que d'autres, comme le pinot noir, le sangiovese, le riesling. La couleur du vin peut aussi être un indice puisqu'elle est étroitement liée à l'acidité et surtout au pH.
Parce qu'il contient du polyphénol, le vin rouge semble finalement plus sain et meilleur pour la santé que le vin blanc. Pourtant, le vin blanc peut également faire ses preuves, surtout lorsqu'il est de haute qualité. Mais si le vin contient des antioxydants et du resvératrol, il contient aussi de l'éthanol.
Le vin blanc est moins calorique
Si un verre de vin rouge affiche entre 80 et 100 calories, la même quantité de champagne brut ou extra-brut se situe entre 70 et 80 calories. Même tendance pour les vins blancs très secs. De plus, ceux-ci contribuent à la digestion.
une certaine acidité: 3,5 à 4 g/l; un pH autour de 3,5; un TAV de 11,5 à 12,5 % vol; une sucrosité résiduelle de 2 à 4 g/l de G/F ou suggérée par un apport de bois frais en fermentation (1 à 3 g/l);
Comment est-il produit ? Le processus de vinification du vin bleu intègre la peau des raisins issus de cépages rouges et mélangés avec du Chardonnay blanc. Cela permet ainsi de conserver les pigments naturels, appelés anthocyanes, et conférer cette couleur bleue au vin.
La règle d'or est de choisir un alcool clair pour minimiser la gueule de bois. Alors si ces options semblent être les pires, ce sont en réalité les meilleures. J'ai nommé Vodka, Gin, et Saké. Plus un alcool est clair, moins il contient d'impuretés liées à la fermentation que notre corps a du mal à assimiler.
Cette étude montre que la consommation de plus de 20 g/j est associée au risque de développement de l'hypertension chez les femmes et les hommes.
Selon les experts de l'OMS, consommer 2 à 3 verres de vin par jour n'aurait pas de risques sur la santé.
Le Bruichladdich X4 – 91,2 %
Il doit son nom à son mode de fabrication. Distillé quatre fois au lieu de deux et élevé en fût pendant un an sur la petite île d'Islay, il est si fort qu'il ne faudrait pas en consommer plus de deux cuillères à café.
«Le froid diminue la sensation d'alcool et fait ressortir l'acidité, mais aussi l'amertume et l'astringence, dues aux tannins. C'est pour éviter ce phénomène, qui modifie le produit, que le vin rouge se déguste habituellement à température ambiante, autour des 18 degrés.»
Si les taux d'alcool mentionnés sur les bouteilles de vin, tournaient souvent autour de 12,5% Vol. il y a encore quelques années, on assiste à un changement des normes avec une nette augmentation, pour une moyenne comprise désormais entre 13,5 et 14,5 % Vol.
Les cépages qui produisent des vins à l'acidité modérée ou faible sont en principe les cépages de la famille des bourgognes: pinot blanc, pinot gris, auxerrois et chardonnay pour les vins blancs, pinot tardif et pinot noir précoce pour les vins rouges.
Il est produit lors de la vinification par des bactéries lactiques (LAB), qui comprennent trois genres : l'œnococcus, le pédiococcus et le lactobacille. Ces bactéries transforment à la fois le sucre et l'acide malique en acide lactique, ces derniers via la fermentation malolactique.
Le Riesling, le Sauvignon et le Chenin sont des cépages très acides, mais si le niveau de gras en bouche est suffisant, vous ne le percevrez pas aussi intensément. Les cépages blancs les moins acides sont le Chardonnay et le Gewurztraminer.
Conclusion : pour limiter la prise de poids et la graisse installée sur votre ventre, préférez le vin rouge et le vin blanc aux autres alcools, mais toujours avec modération.
Une question de quantité
Faisant gonfler le ventre rapidement, nous pouvons automatiquement penser que la bière fait le plus grossir. Pourtant, en réalité, c'est bien plus complexe que ça. Le vin est effectivement plus calorique que la bière mais nous en buvons en plus petite quantité.
Les vins mousseux tels que le crémant de Bourgogne ou la clairette de Die sont également assez peu caloriques. En tant que vin non-sucré, le vin blanc sec est également peu calorique. Il contient « seulement » 86 kcal pour 100 ml, ce qui fait environ 107 kcal dans un verre au format standard (12,5 cl).
Les bénéfices du vin sont dus aux polyphénols, des molécules du raisin présentes dans la peau, parmi lesquelles on compte les tannins, mais également le resvératrol. Ce dernier possède des vertus antioxydantes et anti-inflammatoires. Ainsi, le vin rouge pourrait avoir des bienfaits pour le système cardiovasculaire.
Il faut boire un verre de vin par jour
Les recommandations sanitaires restent donc de ne pas dépasser 1 à 2 verres par jour – en moyenne lissé sur une semaine, et pas tous les jours – afin de limiter les risques.
La bière, les alcools forts, le vin blanc n'ont pas d'effet protecteur. Par contre le vin rouge en a un : la consommation de quatre à sept verres par semaine diminue le risque relatif de cancer de la prostate de 48%.