La mer ne déborde pas car elle s'évapore en permanence : elle n'est pas l'étape finale du cycle de l'eau où toute l'eau de la Terre s'accumulerait mais bien une étape comme une autre.
Parce que la Terre est une planète qui fonctionne en circuit fermé. Lorsqu'un litre d'eau arrive à la mer, un litre d'eau s'évapore.
Il y a bien sûr un peu de sel dans l'eau que les rivières et les fleuves transportent vers la mer. Mais puisque cette eau est continuellement renouvelée par les pluies, elle ne deviendra jamais très salée.
De ce réservoir immense viennent toutes les eaux, coulent toutes les sources et tous les fleuves. D'une façon ou d'une autre, lui sont reliées toutes les autres mers qui prennent le nom des terres qu'elles bordent.
Ces sédiments – sable, argile, restes de coquillages et d'organismes morts, mais aussi algues et bactéries – atterrissent dans l'eau salée par le biais des organismes sous-marins et de l'érosion des fonds et des falaises, mais aussi via les fleuves qui se jettent dans la mer du Nord, comme l'Escaut et la Meuse.
Le taux de salinité de la mer Morte est de 34,2% (contre 3,5% pour la mer Méditerranée). Il s'agit du quatrième plan d'eau le plus salé au monde, derrière l'étang Don Juan en Antarctique et les lacs Vanda et Assal à Djibouti.
Des mers plus salées que les oécans
Autre critère à prendre en compte, les mers sont beaucoup plus salées que l'océan à cause d'une plus forte évaporation. À titre d'exemple, la salinité de l'océan tourne en moyenne autour de 35 grammes/litre. En mer Rouge, cela monte à 41 g/l. C'est 275 g/l pour la mer Morte !
79 % des précipitations tombent sur les océans, les 21 % restants tombent sur la terre puis viennent alimenter les nappes phréatiques, soit par infiltration, soit par ruissellement.
En effet, lorsqu'une lumière blanche, autrement dit le rayonnement solaire, percute la surface de l'eau, une partie est réfléchie (première raison de la couleur bleue de la surface des eaux) et l'autre est réfractée et pénètre dans l'eau.
Quand l'eau de pluie ou les rivières s'écoulent, elles vont de haut en bas. Alors l'eau s'accumule sur les parties fines des plaques tectoniques et finit par y former de grandes étendues : les océans. Et voilà, les océans sont prêts.
Dans les océans, le sodium et le chlorure représentent 85 % des solides dissouts, contre seulement 15 % dans l'eau douce. Dans cette dernière, les silices comptent pour 15 % des minéraux en solution, d'après des chiffres de la Commission géologique américaine, alors qu'ils sont pratiquement absents de l'eau de mer.
Car l'eau en reculant laisse derrière elle un terrain truffé de poches de sel. Et au contact de l'eau douce, ces crevasses peuvent brusquement s'effondrer et avaler tout ce qui se trouve à la surface. La mer Morte pourrait donc à moyen terme devenir un désert de sel.
Saviez-vous que sous l'Empire ottoman, les Turcs désignaient les points cardinaux par des couleurs ? La mer Noire étant située au nord de la Turquie, c'est ce qui expliquerait que les Turcs l'appellent "mer Noire" – le nord étant désigné par "Kara", qui signifie noir.
La mer est un milieu sans frontière, les protections ne peuvent s'entendre que dans un contexte national, voire international, de législation et de travail en réseau.
C'est l'attraction lunaire qui cause deux «bourrelets» dans les océans et qui, conjuguée au fait que la Terre tourne sur elle-même en 24 heures, nous donne deux marées par jour.
Cette eau très salée est devenue plus dense que l'oeuf. Elle est aussi plus dense que l'eau douce. C'est pour cela qu'à la mer, tu flottes mieux qu'à la piscine. La mer Morte.
La mer n'est pas rouge, ni jaune : elle est bleutée, tout le monde le sait. Pourtant, l'eau, elle, est transparente…
Les rayons traversent l'atmosphère, rendant le ciel bleu et nos yeux perçoivent moins de bleu, mais plus de vert et de rouge. Vert et rouge, ça donne du jaune! La véritable couleur du Soleil est donc le blanc!
Le sel de mer provient de l'action des eaux de ruissellement et des eaux souterraines sur la croûte continentale. Les ions (Na+, Cl-...) apportés par les rivières se concentrent dans l'eau de mer car ces éléments sont peu réactifs avec les particules et les minéraux marins.
Le ministère de la Santé considère que l'eau de pluie n'est pas suffisamment qualitative pour être considérée comme potable.
Pollution de l'eau de pluie
L'eau de pluie est naturellement polluée. En effet les gouttes d'eau ne peuvent atteindre une taille suffisante pour tomber vers le sol que s'il existe des particules solides dans l'atmosphère permettant d'initier le processus de nucléation.
L'eau pluviale est le nom que l'on donne à l'eau de pluie après qu'elle a touché le sol, une surface construite ou naturelle susceptible de l'intercepter ou de la récupérer (toiture, terrasse, impluvium, arbre, etc. ).
Il existe trois types de mers : Les mers totalement fermées comme la mer Caspienne et la mer Morte ressemblent à de grands lacs salés. Les mers qui communiquent par un détroit avec un océan ou une autre mer comme la mer Méditerranée avec l'océan Atlantique et la mer Noire avec la mer Méditerranée.
La fosse des Mariannes est la fosse océanique la plus profonde actuellement connue, avec un point à - 11 034 m. A seulement 150 mètres de profondeur, 99 % de la lumière solaire a été absorbée, puis, au-delà de 1 000 m, la nuit est complète, le froid intense et la pression colossale.
Le bord de mer. Vamos... Si tout le monde visualise bien ce que représente le mot, sa structure géologique, elle, est un peu plus complexe. «La plage est une accumulation de sédiments située au bord de la mer ou d'un cours d'eau, composée de matériaux meubles en grains, plus ou moins petits.