La détermination du prix d'un bien ou d'un service dépend de plusieurs variables internes et externes. L'entreprise doit tenir compte des coûts de production du bien vendu, des attentes des clients, du cadre réglementaire et de la structure du marché.
Ainsi, pour calculer l'indice au 1er janvier, il faut diviser le prix du panier à cette date par le prix du panier au 1er janvier de l'année précédente, puis multiplier ce résultat par l'indice de référence établi à 100.
Dans le modèle théorique du marché, le prix d'équilibre est le prix auquel se fait l'échange quand le marché fonctionne parfaitement. Ce prix est déterminé par la rencontre entre l'offre et la demande. Graphiquement, il se lit au point d'intersection entre les courbes d'offre et de demande.
Le prix reste le facteur déterminant de motivation à l'achat pour les consommateurs et sa perception influence notablement l'image des enseignes de distribution et donc leur performance commerciale, notamment dans l'électronique et l'alimentaire, selon une étude.
La réglementation française prévoit que les prix sont librement déterminés, notamment par le jeu de la concurrence. Ce principe s'applique à toutes les activités de production, de distribution (biens et produits) et de services, et bénéficie à tous les agents économiques, qu'ils soient privés ou publics.
On distingue trois principales stratégies ou « politiques de prix », qui consistent à se positionner par rapport à la concurrence : l'écrémage, la pénétration, l'alignement.
La détermination du prix d'un bien ou d'un service dépend de plusieurs variables internes et externes. L'entreprise doit tenir compte des coûts de production du bien vendu, des attentes des clients, du cadre réglementaire et de la structure du marché.
La sensibilité au prix varie fortement selon les domaines d'activités et les périodes. Elle peut par exemple être plus forte en période de crise économique pour les produits de grande consommation.
Les variables déterminants de la propension à payer sont le niveau de revenu, la fréquence des rapports avec un produit, les préférences du consommateur, etc. Ces études peuvent aider également à la tarification d'un service public ou d'un bien culturel donné.
Sur un marché où les offreurs sont en concurrence et où les demandeurs sont nombreux, le prix se fixe au point de rencontre entre la courbe de demande et la courbe d'offre : on dit alors que le marché a atteint son prix d'équilibre et sa quantité d'équilibre.
Le concept du prix d'équilibre en économie désigne le prix auquel il y a équilibre entre l'offre et la demande sur le marché. On parle de prix d'équilibre car à ce prix, toutes les quantités offertes d'un bien ou service sont vendues, et toutes les quantités demandées de ce bien ou service sont achetées.
Le prix d'équilibre se trouve au croisement de ces deux lignes. Ainsi, la quantité voulue du bien est égale à la quantité proposée. Cela indique qu'à l'intersection, le volume du bien que les fournisseurs sont prêts à vendre est égale à la quantité du bien que les consommateurs désirent acheter.
Ses principales composantes sont les produits industriels non énergétiques (ou produits de base) et les services. Le ralentissement de l'inflation de ces deux composantes a probablement des sources différentes.
Ainsi, l'IPC se concentre sur l'évolution des prix. Mais il ne prend pas en compte les variations des prix de l'immobilier (hors loyers), de la fiscalité ou du taux des produits d'épargne.
L'élasticité-prix ou l'élasticité-prix de la demande est une mesure de la sensibilité de la demande ou de la consommation d'un bien ou d'un service par rapport à son prix.
La sensibilité au prix (ou pricing sensitivity en anglais) est une notion marketing qui traduit le phénomène par lequel un acheteur va accorder une certaine importance à la dimension « coût » dans son acte d'achat.
Les chiffres situés à gauche du prix exercent une influence disproportionnée sur l'encodage des prix et jouent un rôle important lorsque le consommateur sélectionne des produits au moment de l'achat (M.
Pour justifier ces hausses, les distributeurs et les industriels de l'agroalimentaire invoquent les augmentations des prix des matières premières agricoles. Tirés par une demande croissante au niveau mondial, les prix des céréales atteignent actuellement des sommets comparables à ceux de 2008.
L' inflation est d'abord perçue comme un phénomène monétaire. Pour les uns, elle est due à une création excessive de monnaie. Pour d'autres, c'est le résultat d'un conflit de répartition de la valeur ajoutée . Désormais, il semble que la concurrence mondialisée en soit le principal déterminant.
Le contrôle des prix est un système par lequel le gouvernement fixe le taux à payer pour une marchandise, ou il peut établir un prix minimum et/ou maximum. Ainsi, les entreprises du secteur doivent obéir à ces paramètres.
En général, il existe une fourchette de prix que le consommateur est prêt à payer pour un produit et qui peut être grossièrement réduite. Pour déterminer la fourchette de prix, le public cible doit répondre à quatre questions : 1) À quel prix ce produit/service vous paraîtrait-il trop cher pour l'acheter ?