Ici, la littérature est une arme, au sens littéral du terme, mais également au sens figuré puisqu'elle est un moyen permettant de convaincre un grand nombre de personne.
Mais sa plus grande efficacité réside dans le fait que cette dernière permet l'éveil des consciences, amorçant par là même des réflexions sur les injustices. Ainsi, la littérature est, selon le contexte, une arme qui peut s'avérer puissante et redoutablement efficace.
La littérature est un moyen propice au questionnement sur l'homme. a) La littérature comme moyen de dénonciation et en même temps un moyen de défendre ses idées. - La littérature permet au lecteur de se poser des questions qu'il ne se poserait pas en temps normal et le met face à face au problème.
Elle caractérise donc le fait d'impliquer l'écriture dans un combat, au service d'une lutte plus ou moins précise. En 1943 paraissait, sous le titre L'Honneur des poètes, un recueil de poèmes de vingt-deux poètes résistants anonymes.
par le registre pathétique, Hugo, en écrivant Les Misérables, parvient à toucher le lecteur, qui éprouve de l'empathie pour le personnage de Cosette : il rend donc le lecteur plus sensible à l'injustice et aux inégalités sociales et peut le pousser à agir pour lutter contre ces faits.
Créer un univers imaginaire idéal, utopique (ou contre-utopique) met en évidence les travers de la société et conduit indirectement à une réflexion critique sur les injustices. [Exemples : L'Eldorado dans Candide de Voltaire ; L'Île des esclaves de Marivaux ; Le Meilleur des mondes de Huxley.]
Les écrivains interprètent diversement la guerre, pointant son absurdité, ou insistant sur la dégradation de l'homme, sur l'inhumanité qu'elle entraîne, ou encore sur ces vies qu'elle condamne. 1) Au XVIIIe siècle, les oppositions sont vives aux très nombreux combats qui jalonnent le siècle.
Le rôle de l'écrivain est-il de susciter la polémique ? Le rôle de l'écrivain dans la littérature, est de faire changer les choses et de montrer au monde entier la réalité de la vie. Le rôle de l'écrivain serait de susciter la polémique.
B – La littérature permet en revanche d'immortaliser ce qu'elle dénonce grâce aux sentiments intemporels qu'elle transmet au lecteur. On étudie encore les Fables de la Fontaine, on lit encore Candide de Voltaire.
Le premier texte littéraire connu est daté de 2300 avant J. -C.. Il est l'œuvre d'Enheduanna, une grande prêtresse mésopotamienne.
La littérature apparaît de plus en plus comme un outil de connaissance, de développement personnel et d'émancipation. En nous plongeant dans des univers sociaux et mentaux, elle élargit notre compréhension du monde.
[Transition] Si la littérature d'idées, où les idées sont explicitement exposées, est efficace pour plaider en faveur de l'égalité, il n'en reste pas moins qu'il existe également des Page 2 argumentations indirectes à travers lesquelles les pensées des auteurs sont transmises de manière détournée.
La littérature incite à l'action : l'écrivain comme modèle à suivre. La littérature cherche à faire évoluer le lecteur dans sa conception morale du monde ; elle peut aussi l'inciter à tirer les conclusions concrètes de son expérience littéraire et à modifier son comportement dans ce monde qu'il connaît désormais mieux.
La littérature engagée renvoie en règle générale à la démarche d'un auteur (poète, romancier, dramaturge…) qui défend une cause éthique, politique, sociale ou religieuse, soit par ses œuvres soit par son intervention directe en tant qu'«intellectuel», dans les affaires publiques.
L'art, sous toutes ses formes, peut donc être le support d'une dénonciation de la guerre et de ses atrocités. Il permet de dire l'indicible et de participer au devoir de mémoire. L'artiste tient alors le rôle de guide et aide le spectateur ou le lecteur à éprouver les émotions qu'il doit ressentir face à ces horreurs.
1. Ensemble des œuvres écrites auxquelles on reconnaît une finalité esthétique. 2. Ces œuvres, considérées du point de vue du pays, de l'époque, du milieu où elles s'inscrivent, du genre auquel elles appartiennent : La littérature française du XVIIe s.
“La littérature est parfaitement inutile : sa seule utilité est qu'elle aide à vivre. “ La littérature est un ensemble d'œuvres écrites, dans la mesure où elles portent la marque de préoccupations esthétiques, quant au mot inutile qui se définit comme ne servant a rien, qui n'apportant rien, qui est superflu.
Elle est un réservoir inépuisable de connaissances en tous genres. Par là même, la littérature devient un danger, un pouvoir, car l'instruction rend libre et permet de faire des choix en toute conscience. Elle est donc un inconvénient majeur pour certains dirigeants politiques et source de censures….
Des écrivains ont depuis toujours fait entendre leur voix pour dénoncer les travers de la société, au moyen d'écrits satiriques. ► QU'EST-CE QUE LA SATIRE ? C'est le fait de critiquer en se moquant. La satire dénonce les travers, les défauts (d'un fait de société, de l'homme…)
L'écrivain est un intellectuel qui utilise les mots (à l'oral ou à l'écrit) pour réfléchir et agir sur le monde. Il ne peut se taire face aux injustices de la vie. Sa voix est attendue et il ne peut se donner des raisons pour justifier un silence de clerc perçu comme une trahison.
Il écrit pour transmettre des émotions et des perceptions, mais également pour faire découvrir au lecteur sa propre vision du monde. L'écrivain écrit pour faire découvrir au lecteur sa propre vision du monde.
En ce qui concerne l'écrivain, le devoir est tout simple, encore qu'il ne soit pas facile à remplir : c'est faire preuve de probité. La probité, en effet, lui enjoint de se montrer honnête envers lui-même comme à l'égard des autres. . .
De nos jours, souvent dénoncée par les politiques, prônée par des groupes extrémistes, la violence est parfois un moyen de contrôler et d'haranguer les foules. De même,la mise en discours ou en image de la violence peut être à l'origine d'une quête de légitimité de la part d'un groupe social, d'une institution.
Les récits publiés pendant la guerre et dans l'immédiat après-guerre sont motivés par le besoin vital de raconter les horreurs de la guerre. Il s'agit comme vous l'écrivez d'un « mouvement très intime ». Les écrivains sont pressés par le temps et par la mort.
Apprendre, par l'école, les événements de la Seconde Guerre mondiale est un moyen efficace de transmettre la connaissance et le souvenir. Au-delà de la dimension humaniste, le souvenir combat l'indifférence. En connaissant les horreurs de la guerre, nous ne pouvons être indifférents, lorsque l'histoire se répète.