Une augmentation des gaz à effet de serre suite aux activités de l'homme piège une partie de ce rayonnement, ce qui provoque une hausse de la température des surfaces jusqu'à trouver un nouvel équilibre. C'est la cause principale du réchauffement climatique observé ces dernières décennies.
Les gaz à effet de serre empêchent toutefois le rayonnement thermique à longues ondes de s'échapper dans l'espace. A la place, ils en absorbent une partie et renvoient le reste dans toutes les directions, aussi vers la terre. Ce processus réchauffe la surface de notre planète et la couche inférieure de son atmosphère.
Des gaz naturellement présents dans l'atmosphère, comme l'ozone (O3), la vapeur d'eau (H20), le protoxyde d'azote (NO2), le méthane (CH4) ou le dioxyde de carbone (CO2), empêchent une partie de ce rayonnement de s'échapper dans l'espace et le renvoient vers la terre, ce qui la réchauffe. C'est l'effet de serre.
Les gaz à effet de serre retiennent dans les basses couches de l'atmosphère une partie du rayonnement infrarouge émis vers l'espace par la surface de la Terre, réchauffée par le Soleil. Appelé « effet de serre », ce processus naturel a permis le développement et le maintien de la vie sur Terre.
Le CO2 retient la chaleur pour plusieurs raisons. Tout d'abord, c'est un gaz à effet de serre qui absorbe le rayonnement infrarouge émis par la Terre et qui est renvoyé vers l'atmosphère. Ensuite, la concentration de CO2 dans l'atmosphère augmente et avec elle, la capacité du CO2 à retenir la chaleur.
Cette nouvelle institution scientifique mondiale a posé une hypothèse : « le CO2 humain augmente, la moitié de ce CO2 s'accumule dans l'atmosphère, ce qui produit un effet de serre et contribue à augmenter la température de la terre ».
Une augmentation des gaz à effet de serre suite aux activités de l'homme piège une partie de ce rayonnement, ce qui provoque une hausse de la température des surfaces jusqu'à trouver un nouvel équilibre. C'est la cause principale du réchauffement climatique observé ces dernières décennies.
C'est dans l'atmosphère qu'on retrouve l'air qu'on respire et les nuages. L'atmosphère agit comme les vitres d'une serre : elle laisse passer les rayons du soleil, mais elle ralentit la sortie de la chaleur. C'est pour cette raison qu'on appelle ce phénomène « l'effet de serre ».
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
Le CO2 est en partie responsable de l'effet de serre. Cela a pour conséquence l'augmentation des températures et ainsi, la perturbation de tout notre écosystème (voir nos articles traitant des conséquences du réchauffement climatique sur les océans, la fonte des glaces et les forets).
Une étude récente dans le journal Nature vient de révéler à quel point l'augmentation du dioxyde de carbone (CO₂) a rendu la Terre plus verte au cours de ces trois dernières décennies. Parce que le CO₂ agit comme un fertilisant, la moitié des terres végétalisées est de plus en plus verte aujourd'hui.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
Le CO2 est un gaz à effet de serre qui a pour effet d'emprisonner la chaleur, causant peu à peu un réchauffement de la planète. Il persiste dans l'atmosphère et les océans durant des milliers d'années.
Le consensus scientifique est écrasant : oui, la planète se réchauffe et oui, l'activité humaine est la principale cause de ce réchauffement. Le lac Urmia, en Iran, est un habitat essentiel pour les oiseaux et était autrefois une destination touristique populaire.
Les émissions provenant de sources fossiles ont augmenté depuis 1990, passant de 22 à 36 Gt CO₂ par an (Gt = gigatonnes ou milliards de tonnes). De tous les gaz à effet de serre, le CO₂ est le principal responsable de l'effet de serre (plus de 50 %).
Le dioxyde de carbone est l'un des principaux gaz à effet de serre. Ainsi, il aide à contrôler la température de la planète en retenant les rayons infrarouges dégagés par le soleil dans l'atmosphère. Sans les gaz à effet de serre, la température de la Terre ne dépasserait pas les - 18° !
Dans une serre, ce sont la vapeur d'eau et le CO2 principalement qui emprisonnent cette chaleur, aidés donc par les parois de la serre de jardin. Donc quelle que soit la température extérieure, il fait toujours plus chaud dans une serre. La différence est bien sûr très variable en fonction de la serre en question.
Les gaz à effet de serre contenus dans l'atmosphère ont un rôle important dans la régulation du climat. Ils empêchent une large part de l'énergie solaire (les rayonnements infrarouges) d'être renvoyée de la Terre vers l'espace. C'est l'effet de serre. Grâce à lui, la température moyenne sur Terre est d'environ 15 °C.
Parce que la Terre tourne sur elle-même (un tour en 24 heures), une partie est exposée à la lumière du Soleil (jour) tandis que l'autre partie lui « tourne le dos » (nuit). Le savais-tu ? Les rayons du Soleil voyagent dans l'espace jusqu'à la Terre. L'air capte alors la chaleur, comme le fait une serre.
Ce n'est pas parce que la température du soleil augmente.
S'il fait plus chaud l'été, c'est à cause de l'axe de rotation de la Terre. La Terre tourne sur elle même, et en même temps, elle fait le tour du soleil, en grosso modo un an. Et quand elle tourne sur elle même, elle tourne de façon penchée.
Le gaz à effet de serre le plus connu est le dioxyde de carbone (CO2) mais d'autres gaz, présents en moindre quantité dans l'atmosphère, peuvent avoir un effet sur le réchauffement plus important.
La première, c'est que l'Europe est un continent et les continents se réchauffent plus vite que les océans. C'est lié au fait que les océans absorbent la chaleur sur toute leur profondeur. Mais, surtout, quand l'océan se réchauffe, sa surface s'évapore.
La Normandie : Déjà attractive aujourd'hui, particulièrement pour les franciliens, cette région va voir sa côte augmenter. Elle permettra de bénéficier d'un environnement naturel varié et doux. Le climat sera plus agréable qu'ailleurs, l'agriculture y sera plus répandue et les produits locaux facilement accessibles.
La France se positionne à la 12e place du classement des pays historiques les plus pollueurs, établi par Carbon Project.