L'imparfait est principalement utilisé pour exprimer une action passée pouvant durer, être habituelle ou répétée. Il peut avoir trait au déroulement d'une action et être également employé pour faire état de descriptions.
L'imparfait est utilisé pour une description, parler d'une habitude, d'une action en progression dans le passé : Quand il faisait froid il n'oubliait pas de mettre ses gants sur la cheminée. Ici, c'est une habitude. Pour le passé composé, l'action est précise et achevée.
L'imparfait de l'indicatif présente une action réelle qui dure dans le passé. Il peut également exprimer le déroulement d'une action, une habitude, une répétition ou présenter une description.
➡L'imparfait évoque l'arrière-plan du récit (description du décor et des personnages ainsi que les faits dans leur déroulement). Il neigeait depuis trois jours et elle lisait tranquillement. ➡L'imparfait d'habitude évoque des actions qui se répètent. Tous les matins, il promenait son chien.
Au passé simple
Le passé simple implique une action courte et ponctuelle. Je regardais, est à l'imparfait. L'imparfait est utilisé pour une description, un comportement répétitif ou une action qui dure dans le temps.
L'imparfait sert à exprimer une action passée, qui est présentée comme non terminée ou habituelle. Pour conjuguer un verbe à l'imparfait, on utilise les terminaisons : -ais, -ais, -ait, -ions, -iez et -aient. À l'imparfait, le radical d'avoir est av- (j'avais) ; celui d'être est ét- (j'étais).
L'imparfait exprime un fait réel passé. Il peut aussi traduire l'effort ou le passé épistolaire. Le plus-que-parfait exprime l'antériorité d'une action par rapport à une action passé (exprimée au parfait ou à l'imparfait).
On distinguera principalement trois valeurs, c'est-à-dire trois emplois de ce temps verbal : l'imparfait descriptif, l'imparfait d'habitude et l'imparfait d'action secondaire.
Le passé simple à aspect ponctuel : Le passé simple en général exprime des actions accomplies, ponctuelles à la différence de l'imparfait qui exprime, lui, comme on a vu des actions qui durent. Hier, il plut et neigea. Actions terminées, aspect dit 'borné'.
L'imparfait est utilisé pour une action passée, qui a duré et qui est terminée. Le passé simple est utilisé comme temps de narration pour une action ponctuelle qui s'est déroulée dans le passé.
Utilisation d'un temps selon un contexte particulier.
-Une action qui s'est déroulée dans le passé, avant une autre. -Dans une phrase au conditionnel passé introduite par 'si'. Auxiliaire ÊTRE ou AVOIR à l'imparfait + le participe passé du verbe à conjuguer. -Une action antérieure à une action narrée au passé simple.
Le présent de l'indicatif. L'imparfait de l'indicatif. Le passé simple de l'indicatif. Le futur simple de l'indicatif.
Les quatre temps composés de l'indicatif (passé composé, futur antérieur, plus-que-parfait et passé antérieur) sont formés de l'auxiliaire avoir ou être (conjugué aux temps simples), suivi du participe passé du verbe.
Elle indique la position de l'événement décrit par le verbe par rapport au moment de l'énonciation.
Le subjonctif imparfait (ou l'imparfait du subjonctif) est un temps simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation. Le subjonctif imparfait a la même valeur que le subjonctif présent, mais il est employé dans un texte écrit au passé.
Le passé simple et les actions de premier plan : il permet de raconter les faits marquant d'un récit, dits de premier plan (comme par exemple l'élément perturbateur d'un récit).
Comme son nom l'indique, l'action secondaire est une action qui se passe parallèlement à l'action principale, mais qui tient moins d'importance. Par exemple : faire bouger d'autres parties du personnage durant un mouvement principal donne à l'action plus de vie.
2. Plus-que-parfait : l'emploi dans une histoire. Si on raconte les événements dans l'ordre chronologique, on emploie le passé composé et l'imparfait. Si on raconte les événements dans un autre ordre, on emploie le passé composé, l'imparfait et ponctuellement le plus-que-parfait.
Re : Pourquoi il est plus que parfait ? Bonjour ! Le plus-que-parfait est parfait, c'est-à-dire accompli, achevé, situé dans le passé, deux fois : c'est un passé par rapport à un passé. Aucune notion de perfection dans son nom.
CONJUGAISON: LE PARFAIT. A la différence du présent ou du prétérit, le parfait de l'indicatif est un temps composé. C'est-à-dire qu'il s'emploie avec un auxiliaire (sein=être ou haben=avoir) et un participe passé, toujours invariable, placé en fin de proposition.