Il se pourrait que l'alcool cause chez vous une hypoglycémie, c'est à dire une baisse du taux de sucre dans le sang. Les symptômes sont les sueurs, les tremblements, des palpitations, de la faim, etc. Pour éviter cela, modérez votre consommation d'alcool et ne buvez surtout pas en étant à jeun (estomac vide).
Un des premiers signes est l'apparition de sueurs et de tremblements parfois très invalidants, au petit matin après quelques heures d'arrêt de la consommation du fait du sommeil ; ces quelques signes facilement reconnus sont calmés par le fait de boire à nouveau de l'alcool.
Le symptôme principal est la «trémulation» (tremblements), en particulier des mains, mais aussi parfois de la tête et de la langue. Il peut aller de légers tremblements à une trémulation forte. Les symptômes sont analogues à ceux d'une gueule de bois, mais beaucoup plus prononcés.
Dans la plupart des cas, le choix se porte sur des médicaments de la classe des benzodiazépines. Ils permettent non seulement de limiter les tremblements, l'anxiété et l'insomnie dus au sevrage mais préviennent les crises d'épilepsie et le delirium tremens. En général, la prescription ne dépasse pas cinq jours.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Entre 24 et 72 heures sans alcool
Votre corps se met en mode détox intensive et essaie d'évacuer tout l'alcool qu'il a absorbé. En plus des frissons et des nausées, vous ressentez une fatigue profonde et avez l'impression que plus jamais vous ne vous sentirez bien.
La personne alcoolique, même dans les moments où elle est sobre, montre peu de dynamisme, pas d'envie de sortir, de se promener, de prévoir des vacances… voire un désintérêt total pour la vie quotidienne.
Le sevrage alcoolique se manifeste comme un continuum, allant de tremblements à des crises convulsives, des hallucinations et à une instabilité végétative mettant en jeu le pronostic vital en cas de sevrage sévère (delirium tremens).
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Les causes des mains qui tremblent
Une vive émotion, du stress, la fatigue ou encore un manque de sucre (hypoglycémie passagère) peuvent être à l'origine des mains qui tremblent. On parle alors de tremblements physiologiques.
L'alcoolisme chronique est dû à une consommation excessive d'alcool qui perdure. Le foie est le premier organe touché, mais il n'est pas le seul : le système neurologique y est également très sensible. En outre, l'alcool - comme le tabac - est un cancérigène notoire.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Une consommation excessive d'alcool restreint l'oxygène dans les globules rouges, ce qui provoque la dilatation de minuscules vaisseaux sanguins à la surface de votre œil (la sclère). Ceci entraîne ensuite un plus grand flot de sang dans ces vaisseaux, ce qui donne à vos yeux cette apparence rouge et enflammée.
Le tremblement essentiel est une maladie neurologique fréquente qui se traduit par des tremblements incontrôlables lors des mouvements ou du maintien actif d'une posture. Mal connue du grand public, cette maladie peut provoquer un handicap social et une stigmatisation des personnes touchées.
Un ventre qui dégonfle
Le manque d'eau occasionné par la consommation d'alcool cause une rétention d'eau par l'organisme ce qui fait gonfler.
L'alcool est un irritant pour le tube digestif (la bouche, la gorge, l'œsophage, l'estomac, l'intestin), soit pour toute notre tuyauterie intérieure. De plus, l'alcool affecte les conduits qui contrôlent le transit de la nourriture, de la bouche à l'intestin.
Mettre le foie au repos et de l'aider à évacuer toutes les toxines est alors salutaire. Pour ce grand nettoyage, ayez le réflexe de boire toute la journée de l'eau (Hépar) avec un jus de citron frais. Éviter pendant cette période le café, le sucre, les œufs, les charcuteries, les graisses et surtout l'alcool.
Les neuropathies périphériques (NP) alcooliques et nutritionnelles s'observent dans le syndrome de dépendance à l'alcool, lors d'une carence vitaminique de causes variées ou associées à une maladie cœliaque.
Non, mais il n'est pas recommandé pour notre cerveau. L'idée que l'alcool détruit les cellules cérébrales existe depuis des décennies. Ceci parce que c'est un désinfectant puissant, comme celui utilisé pour stériliser.
De plus, l'effet désinhibiteur et dépresseur de l'alcool fait en sorte que certaines personnes finissent justement par exploser en libérant les émotions qu'elles refoulent depuis des mois, voire des années. C'est pour cela que l'on voit plusieurs personnes devenir très émotives ou agressives sous l'effet de l'alcool.
Les personnes qui ont bu de l'alcool avant d'aller se coucher ronflent plus fréquemment. En effet, la consommation d'alcool provoque un relâchement de la musculature des voies respiratoires.
L'alcoolorexie n'étant pas médicalement reconnue, les symptômes de cette pathologie ne sont pas clairement définis. Elle se manifeste donc par le fait de sauter des repas pour pouvoir boire de l'alcool et réduire ainsi le nombre de calories ingérées.