En somme, les personnes buvant beaucoup d'alcool et régulièrement, sont plus maigres que les autres parce que l'alcool n'est pas métabolisé par l'organisme. Comme l'alcool trouble le fonctionnement de cette dernière, il y a un grand risque de malnutrition.
Oubliez l'idée reçue comme quoi les alcooliques sont minces parce qu'ils ne mangent pas assez. Au fait, il s'agit d'ordre métabolique. L'alcool agissant tel une« calorie vide » ne compte pas dans la prise de poids. L'alcool ingéré par les buveurs réguliers est métabolisé dans un système spécifique.
La conséquence directe d'une consommation d'alcool plus fréquente et importante sont des modifications prononcées de votre comportement. Les plus courantes sont sautes d'humeur et irritabilité. De l'anxiété et des difficultés à assurer vos journées peuvent également faire leur apparition.
Une consommation excessive d'alcool peut entraîner un vieillissement prématuré de la peau. Cumulé à d'autres facteurs favorisants, ce vieillissement peut être aggravé (surexposition au soleil, alimentation trop riche, tabagisme, etc.).
En France, on estime qu'environ 1,5 millions de personnes sont alcoolodépendantes et que 2,5 millions de personnes ont une consommation à risque.
Les conséquences d'une consommation excessive d'alcool, soit un verre ou plus par jour, font perdre en moyenne près d'un an d'espérance de vie, a démontré l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), dans un rapport publié ce mercredi 19 mai.
Ces symptômes ne durent généralement pas très longtemps et la personne est en général parfaitement consciente du fait que ce qu'elle voit ou entend n'est pas la réalité. Ces symptômes ne sont pas dangereux en soi et disparaissent habituellement au bout de 7 à 10 jours d'abstinence.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Les symptômes
Lorsque la maladie touche les deux membres inférieurs (forme fréquente), le sujet éprouve des difficultés motrices. Il n'arrive pas bien à se mobiliser, la jambe est de plus en plus flasque et les éleveurs d'orteils perdent de leur force et fonction.
Transpiration excessive, tremblements, perte d'équilibre sont les principaux symptômes. L'irritation, des actes violents ou encore, les delirium tremens sont les manifestations psychiques qui peuvent conduire au déclic".
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
La modification du comportement de la personne va augmenter les conflits, la violence verbale et/ou physique, les comportements à risque. L'agressivité ou des comportements inappropriés sont plus souvent exprimés car l'alcool désinhibe.
L'everclear, un taux de 95 %
Cet alcool de maïs rectifié est fabriqué par la société américaine Luxco. Le degré d'alcool de ce breuvage fait de lui un des alcools les plus nocifs mondialement.
Si boire de l'alcool favorise le surpoids voire l'obésité, alors arrêter l'alcool peut permettre de perdre du poids, ou en tous cas d'en faciliter l'objectif, et ce plus que la modération.
Si vous voulez perdre du poids, il est préférable d'éviter complètement la consommation d'alcool, car il contient des calories vides qui peuvent entraver vos efforts de perte de poids.
Il se produit alors d'abord des dépôts de graisses dans le foie (foie gras d'origine alcoolique). Cet état du foie est réversible: le foie peut se régénérer si l'individu arrête de consommer de l'alcool.
L'action de l'alcool sur le cervelet (petit cerveau, situé à l'arrière du crâne) entraîne des troubles au niveau de la motricité, de la coordination et de l'équilibre. C'est déjà notable chez quelqu'un qui a bu beaucoup une seule fois.
L'alcool peut provoquer des maladies digestives, neurologiques ou cardiovasculaires, des cancers et des troubles cognitifs. Une envie incontrôlable de consommer de l'alcool caractérise la dépendance.
La personne alcoolique se défend alors de trop boire , et va boire en cachette . Très souvent , les proches de l'alcoolique cachent le problème vis – à – vis de l'extérieur , afin de protéger la famille . Le co – alcoolisme se met ainsi en place , de mille et une façons .
Cette augmentation peut être constatée sur plusieurs semaines. Pour ce qui concerne l'homme alcoolique, la valeur du taux sanguin est supérieure à 45 UI/L tandis que chez la femme alcoolique, cette valeur est au-delà de 35 UI/L.
Mais comment savoir ? L'alcoolisme se lit sur le visage d'une femme. Son nez ou ses joues peuvent devenir rouges ou bouffis. L'haleine commence à trahir l'addiction et les cheveux deviennent ternes.
Voilà donc les questions à vous poser pour savoir si, même si vous n'êtes pas forcément dépendant, votre consommation est excessive. Selon l'OMS, un homme boit trop dès lors qu'il boit plus de 21 verres par semaine (3 par jour). Pour une femme, les chiffres sont différents : 14 par semaine (2 par jour).
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Comme son nom l'indique, il s'agit d'un délire tremblant. C'est une complication grave typique du sevrage d'alcool, qui est potentiellement mortelle, notamment en raison du risque de déshydratation et d'étouffement (conséquence de l'agitation). Il existe des médicaments pour calmer ces symptômes.