L'utilisation du mot boche (aussi écrit bosh ou boch) pour appeler nos voisins germaniques remonte à la fin du XIX° siècle. Ce terme est une abréviation du mot d'argot Alboche désignant à l'époque une personne à fort caractère et à l'esprit un peu obtus (alboche = une tête de bois).
Ceci est à rapprocher de « bosch », bois en bas allemand et néerlandais : « 's-Hertogenbosch » aux Pays-Bas, se traduit en français par « Bois-le-Duc ». Donc, tête de « bosch » = tête de bois, et l'expression vient peut-être des Allemands eux-mêmes qui l'auraient employée en 1870.
« Ce mot argotique a une connotation péjorative. Il est considéré comme une injure. À l'époque, une personne qui traitait une autre de “boche” risquait d'être conduite au tribunal (pour être punie). Dans les régions occupées par les Allemands, si un Français employait le terme “boche”, il était puni.
Tout le monde sait comment les Français surnommaient les Allemands pendant la Première Guerre mondiale : les Boches. Mais ils en avaient autant pour nous. Outre-Rhin, le terme péjoratif équivalent était « Calmüser », qu'on serait bien en peine de traduire, le mot semblant être un dérivé de patois régionaux.
Les Français ont pendant longtemps donné des surnoms racistes aux Allemands : boche, chleuh, fritz, frisé, prussien, teuton, etc. L'origine de ces surnoms est diverse : "Boche" est un terme d'argot du 19ème siècle qui était utilisé dans l'expression "tête de boche" (synonyme de "tête de bois" ou "tête dure").
L'utilisation du mot boche (aussi écrit bosh ou boch) pour appeler nos voisins germaniques remonte à la fin du XIX° siècle. Ce terme est une abréviation du mot d'argot Alboche désignant à l'époque une personne à fort caractère et à l'esprit un peu obtus (alboche = une tête de bois).
Terme utilisé par les Français pour désigner les Allemands pendant la période conflictuelle entre les deux pays qui a débuté en 1870 et s'est terminée en 1945. Les Belges et les Québécois ont repris par la suite ce terme.
Le 26 août 1944, acclamé par les Parisiens, le général de Gaulle descend les Champs-Élysées avec, derrière lui, ses fidèles de la première heure. Des combattants appartenant à la Résistance française luttent dans les rues de Paris, en 1944, pour libérer la ville après quatre années d'occupation allemande.
A tous égards, le rapport des forces était bien pire qu'en 1914. La première cause de la défaite, c'est que l'Allemagne a préparé la guerre la première parce qu'elle l'a voulue. La création d'une armée blindée a commencé clandestinement dès 1932, avant même l'élection d'Adolf Hitler comme chancelier.
La Bundeswehr (traduit en français par « Force de Défense fédérale » mais littéralement « Défense fédérale ») est l'armée nationale de la République fédérale d'Allemagne depuis 1955. Les forces armées de la République fédérale sont contrôlées en temps de paix par le ministère de la Défense (Verteidigungsministerium).
Étymologie. De Chleuh, un peuple amazighe du sud marocain. Lors de la Première Guerre mondiale, le mot apparait avec le sens de « soldat des troupes territoriales » dans l'argot des soldats combattant au Maroc. (1936) Avec le sens de « frontalier parlant une langue autre que le français : comtois ou alsacien ».
fridolin
Familier, péjoratif, vieilli. Allemand, en particulier soldat allemand. (Surnom utilisé surtout pendant la Seconde Guerre mondiale.)
Au Moyen Âge, les Teutons inspirent le nom français des chevaliers Teutoniques (Deutscher Orden en allemand) et plus tard, le nom de Teutons désignera les Allemands avec des connotations ironiques ou péjoratives.
La France se trouve coupée en deux par une ligne de démarcation qui sépare la zone occupée – le Nord et la façade atlantique – de la « zone libre » du Sud. L'armée est réduite, la flotte désarmée. Deux millions de Français sont envoyés comme prisonniers en Allemagne.
Pendant les huit premiers mois de la Seconde Guerre mondiale, il n'y a quasiment aucun combat. C'est la "drôle de guerre". La "guerre-éclair" ou "Blitzkrieg" prend le relais à partir du 10 mai 1940, date à laquelle les forces allemandes entrent en Belgique, au Luxembourg et aux Pays-Bas.
Les Français disent l'Allemagne. Pourquoi ? C'était le pays des Alamans, un peuple germanique qui vivait entre le Rhin et le Danube. Le mot " Alaman " signifierait " tous les hommes" (en allemand : alle = tous & Mann = homme), donc un regroupement de plusieurs tribus.
Alors âgé de 63 ans, il continue de servir dans l'armée et commandera même une expédition française lors de la guerre du Rif (contre une république naissante au nord du Maroc) aux côtés des Espagnols en 1926 ; les deux belligérants seront d'ailleurs accusés d'avoir utilisé des gaz nocifs contre des douars peuplés de ...
L'Allemagne a déposé les armes deux fois en raison des idéologies belligérantes, des conflits entre l'Union soviétique et ses alliés, ainsi que de l'héritage de la Première Guerre mondiale. Nous sommes en 1945. La victoire des Alliés semble de plus en plus évidente.
L'objectif de cette Résistance est de libérer la France de l'occupation allemande avec l'aide des Alliés (principalement le Royaume-Uni et les États-Unis), ou tout au moins de harceler les troupes du Reich.
Une explication plus simple est que la conquête de la Suisse n'aurait guère apporté d'avantages stratégiques, alors qu'une longue et coûteuse guerre des montagnes aurait pu s'ensuivre. Bien que la Wehrmacht ait simulé des manœuvres contre la Suisse dans ses offensives, elle n'a jamais tenté d'envahir.
L'armée allemande envahit la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant la Seconde Guerre mondiale. En réponse à l'agression allemande, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne nazie.
Du rôle des États-Unis pendant la seconde guerre mondiale on retient souvent le débarquement allié de Normandie, qui permet de consacrer le pays comme « libérateur de l'Europe ». On oublie ainsi qu'entre 1939 et 1941 Washington préférait la neutralité et l'isolationnisme au « combat pour la liberté ».
un terme français argotique (au pluriel Les Fritz) plutôt péjoratif qui servait à désigner les Allemands durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, venant probablement du fait qu'il s'agissait d'un prénom allemand assez courant.
Le casque à pointe (en allemand : Pickelhaube) est un modèle de casque militaire utilisé par les armées prussiennes, puis allemandes au XIX e siècle et au début du XX e siècle. Sa pointe devait protéger les fantassins des coups de sabre de la cavalerie.
La Prusse n'a aujourd'hui plus aucune existence légale ou politique ; elle peut donc être considérée comme un État démantelé, puisque son ancien territoire est partagé entre les gouvernements de différents Länder allemands et pour la majeure partie de l'actuelle Pologne, sans oublier la région de Königsberg, devenue ...