Les électrons situés sur sa dernière couche électronique (couche de valence) sont appelés électrons de valence. Les autres sont les électrons de cœur. Un atome se transforme en ion ou s'associe avec d'autres atomes pour former une molécule afin de respecter la règle de l'octet ou la règle du duet.
Les atomes s'assemblent en molécule en mettant en commun ou en cédant des électrons. Le but étant que la molécule soit plus stable que chaque atome isolé. Ainsi, dans certains cas, des électrons seront cédés d'un atome à un autre afin que chacun des deux atomes atteigne un état stable.
La cohésion de l'atome est assurée par la force électromagnétique. Celle-ci lie ensemble les électrons chargés négativement avec les protons chargés positivement. Cette attraction électromagnétique est le résultat d'un échange continu de photons, aussi appelés particules de lumière.
Afin de former des molécules, plusieurs atomes sont liés par des liaisons covalentes. Cette liaison consiste en un partage d'électrons entre deux atomes. Une liaison covalente est représentée par un trait. On parle également de doublet liant.
Atome : Quand deux atomes se rencontrent, on dit qu'ils sont crochus.
Une liaison covalente est une liaison chimique dans laquelle deux atomes se partagent deux électrons (un électron chacun ou deux électrons venant du même atome) d'une de leurs couches externes afin de former un doublet d'électrons liant les deux atomes.
Aristote s'appuyait sur le concept des quatre éléments de base de Thalès et affirmait que les atomos ne pouvaient exister puisque invisibles à ses yeux. La conception aristotélicienne de la matière reçut l'appui des religieux de l'époque et traversa les siècles qui suivirent jusqu'au 18ème.
Les molécules ont normalement une charge électrique neutre. En effet, leurs atomes sont liés par des liaisons covalentes la plupart du temps. Lorsqu'une molécule n'est pas neutre, il s'agit d'un ion. Une liaison covalente est une liaison chimique entre deux atomes qui vont se partager deux électrons.
1/ Pourquoi ne peut-on pas traverser la matière (une table par exemple) ? Puisque elle est censé être majoritairement vide... La raison principale est les interactions (essentiellement électromagnétique) qu'il existe entre les atomes (et les molécules) constituant la matière.
Ces liaisons sont une manifestation d'interactions attractives entres atomes, dont l'origine est soit électrostatique (liaison ionique, liaison hydrogène), soit purement quantique (liaisons covalente et métallique, liaisons de type Van der Waals/London).
On considère quatre types de liaisons, susceptibles de se former selon le remplissage des couches électroniques les plus externes des atomes concernés : La liaison covalente où 2 électrons sont mis en commun, ou partagés, par deux atomes dont la couche électronique externe est presque complète.
Liaisons polaires : Une liaison covalente est polaire, si la différence des électronégativités des deux atomes formant la liaison n'est pas nulle . L'atome le plus électronégatif d'une liaison polaire attire plutôt vers lui les électrons de la liaison covalente.
La plus courte demi-vie jamais observée est celle de l'hydrogène 7, (2,3 ± 0,6) × 10−27 s (deux milliardièmes de milliardième de milliardième, ou deux quadrilliardièmes, de seconde), et la plus longue celle du xénon 124, (1,8 ± 0,6) × 1022 ans, soit 18 ± 6 trilliards d'années (1 300 milliards de fois l'âge de l'Univers ...
Le vide absolu est donc un milieu statistiquement sans particules élémentaires. Un espace dans lequel les molécules sont fortement raréfiées peut donc être retenu comme une première définition du vide approximatif.
Par définition, on ne peut pas voir un atome, ni à l'œil nu, ni avec un microscope optique, et ce pour une raison très simple : la taille des atomes est bien inférieure aux longueurs d'onde de la lumière visible.
L'assemblage d'atomes constituant une molécule n'est pas définitif, il est susceptible de subir des modifications, c'est-à-dire de se transformer en une ou plusieurs autres molécules ; une telle transformation est appelée réaction chimique.
Un atome contient un noyau situé en son centre et des électrons qui "tournent autour" du noyau. Le noyau contient des nucléons, c'est à dire des protons et des neutrons. Les électrons ont une charge électrique négative. Les protons ont une charge électrique positive, de même valeur que celle de l'électron.
Les protons et les neutrons sont eux-mêmes formés de quarks. Dans l'état actuel de la science, les quarks ne sont pas formés d'autres composantes, de sorte que ce sont les choses les plus petites que nous connaissions.
En 1808, John Dalton reprend l'idée d'atomes afin d'expliquer les lois chimiques. Dans sa théorie atomique, il fait l'hypothèse que les particules d'un corps simple sont semblables entre elles, mais différentes lorsque l'on passe d'un corps à un autre.
Les origines philosophiques de la notion d'atome
On l'attribue à Empédocle, Démocrite, Leucippe, puis Épicure. Leurs conceptions d'une structure atomique de la matière ne procédaient pas d'observations ni d'expériences scientifiques au sens actuel, mais d'intuitions.
Le Big Bang, infiniment dense et chaud, a enclenché un processus de nucléosynthèse primordiale lors de l'expansion de l'univers, permettant la naissance des atomes les plus légers ( hydrogène, hélium, et en infime quantité lithium et béryllium ).
La liaison covalente est la plus forte ; c'est une liaison assurée par un partage d'électrons. Grossièrement, elle se forme lorsque chacun des atomes fournit un électron « célibataire » de sa couche externe. Les deux électrons s'apparient alors pour former la liaison.
Une interaction non covalente diffère d'une liaison covalente en ce qu'elle n'implique pas le partage d'électrons, mais implique plutôt des variations plus dispersées des interactions électromagnétiques entre molécules ou au sein d'une molécule.
Mot composé de co- et du latin valentia.
La radioactivité décroît au fil du temps
Les atomes radioactifs se désintègrent : il y en a de moins en moins. Et moins il reste d'atomes radioactifs, moins la radioactivité est intense. La radioactivité décroit selon une courbe que l'on appelle exponentielle, qui s'écrase de plus en plus au fil du temps.