Les éléphants semblent donc avoir une crainte ancestrale des abeilles. Ils ont développé la capacité de les repérer facilement et de loin en reconnaissant les signaux d'alertes qu'elles émettent. Ces grands trouillards possèdent même un son de trompe spécifique pour alerter leurs congénères de la présence d'abeilles.
L'éléphant ne montre pas d'intérêt pour la souris
Les éléphants n'ont montré aucun intérêt particulier envers la souris. Dans la nature en revanche, les éléphants deviennent nerveux lorsque de petits animaux s'agitent autour d'eux, mais leur agacement vient probablement du fait qu'ils n'y voient pas bien.
Le simple bourdonnement d'un essaim d'abeilles fait déguerpir les éléphants ventre à terre. Cette découverte pourrait assurer la sécurité des villages dans la brousse africaine.
Le principe est ingénieux : des ruches sont installées sur des poteaux ou des arbres tous les dix mètres autour du champ et reliées entre elles par un fil. A chaque fois qu'un éléphant tente de franchir cet obstacle, il secoue les ruches et énerve les abeilles.
En effet, si les éléphants n'ont pas peur des souris, ils n'ont pas beaucoup peur des hommes non plus. Ceux-ci ont parfois bien du mal à les tenir à distance de leurs lieux d'activité. Mais les éléphants craignent particulièrement les abeilles.
Les araignées et plus particulièrement l'araignée-crabe (Thomise) qui capture surtout les abeilles butineuses. Le petit coléoptère de la ruche, insecte originaire de l'Afrique du Sud dont les nombreuses larves détruisent les rayons de couvain et de miel et poussent les abeilles à abandonner la colonie affectée.
Un papillon de nuit, le sphinx tête de mort (sphinx atropos), entre dans les ruches et mange le miel. Les guêpes (philanthe apivore,…) et frelons européens (vespa crabo) chassent les abeilles pour nourrir leurs larves. Le frelon asiatique (vespa velutina) consomme l'abdomen des abeilles et détruit nombre de colonies.
Parce qu'elles capturent une infinité d'insectes, les araignées jouent un rôle-clé dans les écosystèmes ainsi que dans les environnements agricole et forestier.
Il faisait tellement froid que les oiseaux n'arrivaient même plus à voler. Tellement froid que les animaux arrivaient difficilement à sortir de leurs cases et leurs pattes restaient collées au sol une bonne partie de la journée.
Oui. Les éléphants ont une mémoire proche de celle des dauphins, des grands singes et de l'homme. Comme ces mammifères, ils peuvent se souvenir d'un homme qu'ils ont côtoyé des années auparavant.
A l'âge adulte, les éléphants n'ont que quatre molaires d'environ 30 centimètres. Et deux défenses, assimilées à des incisives. Soit 6 dents au total. Mais seulement 4 qui lui servent à mastiquer les quelques 200 kilos de végétaux dont ils se nourrissent chaque jour !
On s'est imaginé que le chant du coq mettait en fuite le lion. Pline le dit expressément. Il prétend même que pour se garantir des lions et des panthères, il suffit de se frotter avec du bouillon de coq, surtout quand on a eu la précaution d'y mettre de l'ail.
Elles le piquent partout. L'éléphant a tellement mal qu'il se frappe lui-même avec sa trompe et se sauve dans la brousse. Depuis ce jour, il n'est plus revenu au village. Voilà pourquoi, aujourd'hui, le coq vit au village et l'éléphant dans la brousse.
Cette phobie, portant le nom de podophobie, est une peur qui provoque de nombreux symptômes particulièrement désagréables à la simple vue d'un pied. Elle peut sembler risible pour vos proches, mais si vous souffrez de cette phobie, sachez qu'elle représente un trouble qui peut entrainer un réel handicap au quotidien.
La peur du noir n'est pas la peur de l'obscurité en elle-même mais plutôt des dangers qu'elle pourrait masquer. Cela peut aussi traduire une peur de l'aveuglement. Quand elle devient pathologique, on la nomme nyctophobie ou achluophobie. Cette angoisse n'est pas réservée aux enfants.
La peur du noir s'explique par l'altération de notre repère sensoriel dominant, la vision. La réalité fait alors place à l'imaginaire, sollicité par les autres sens, en particulier l'audition.
Pourquoi ne faut-il pas tuer les guêpes ? Comme les abeilles, les guêpes sont des insectes pollinisateurs. Dans ce sens, il ne faut surtout pas chercher à les exterminer. Les frelons européens sont, également, dans ce cas de figure et ne sont pas nuisibles.
L'abeille européenne occupe désormais tous les continents sauf l'Antarctique.
1 Le frelon asiatique, principal prédateur de l'abeille
Originaire d'Asie, le frelon asiatique (Vespa velutina) est un insecte carnivore. Il se nourrit de nombreux insectes comme les araignées, les papillons, les chenilles ou les mouches.
L'abeille ne pique pas par simple agressivité ou gratuitement, il s'agit pour elle de se défendre ou de protéger sa ruche. C'est ainsi qu'elle ne pique que rarement loin de la ruche, tout au plus lorsqu'elle se retrouve coincée dans les plis d'un vêtement ou prisonnière des cheveux.
Certains rapaces, le blaireau ainsi que l'oiseau portant le joli nom de guêpier d'Europe sont des prédateurs des guêpes.
Le ratel, Mellivora capensis de son nom scientifique, est considéré comme l'animal le plus agressif du monde, rapporte le magazine Geo. Ce mammifère aussi appelé zorille du Cap, qui vit en Inde ou en Afrique, ne pèse en moyenne que 12 kg, mesure 75 centimètres de long et une trentaine de centimètres de haut.
L'analyse de son temps de fuite, de sa distance de fuite, du nombre de regard ou de «flairage» sont alors de bons indicateurs de son niveau de peur. Au hit parade de l'animal le plus peureux le mouton vient en tête, suivi de la chèvre, de la vache, du cheval puis enfin du porc.
Le ratel (Mellivora capensis), aussi appelé zorille du Cap, est un mustélidé répandu dans la région allant du Nord de l'Inde à la Péninsule arabique, et dans toute l'Afrique subsaharienne à l'exception de Madagascar. Il est réputé pour son comportement féroce et particulièrement tenace ainsi que pour son endurance.