La mitre est aujourd'hui la coiffe la plus importante et la plus solennelle de l'église catholique, puisqu'il représente la splendeur de la sainteté incarnée par l'Évêque, sa dignité et son autorité.
La mitre est la coiffe de l'évêque. Les hauts dignitaires de l'Église ont des attributs distinctifs. Ainsi les évêques et les abbés de monastères sont coiffés de la mitre , bonnet plus ou moins haut terminé par deux pointes parallèles signifiant symboliquement les deux Testaments, le Nouveau étant devant.
Le port de la mitre est réservé aux, évêques et aux abbés. Il est habituellement associé à l'usage de la crosse (voir Insignes pontificaux). Certains prélats, qui ne sont ni évêques ni abbés, ont parfois le privilège de porter une mitre.
La calotte ou zucchetta
Elle souligne la dignité de la consécration de l'évêque et de son appartenance à la hiérarchie. Pendant la messe, il ne l'enlève qu'au moment de la prière eucharistique.
La mitre est un couvre-chef réservé aux évêques dans certaines confessions chrétiennes. Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
La calotte est une coiffe ronde, portée par les ecclésiastiques dans la liturgie catholique. Elle est également en usage chez les Anglicans. Chez les catholiques, on la nomme parfois de son italien zucchetto (/dzukˈketto/). Le pape Benoît XVI portant la calotte blanche.
Barette de curé
Ce chapeau de curé est appelé barette.
Dans leur fonction administrative, les cardinaux sont à la tête de ce que l'on nomme dicastères du Vatican. Les évêques sont quant à eux garants de l'annonce de la foi et de l'Évangile dans leur diocèse et exercent une forme de gouvernement dans le diocèse qui leur est confié.
Ce signe de légitimation religieuse se retrouve, dans un autre contexte, avec l'adoption d'une tenue particulière pour les moniales, pratique qui, à terme, donnera l'expression "prendre le voile" pour désigner le fait de consacrer sa vie à Dieu. »
Le Talmud indique que le port de la kippa a pour but de rappeler que Dieu est l'Autorité suprême « au-dessus de nous » (Kiddouchin 31a). Ce n'est qu'à l'époque médiévale que l'on commence à légiférer sur le port de la kippa.
Signe d'une dignité ecclésiastique, de même couleur que la soutane : les évêques portent une calotte violette, les cardinaux une calotte rouge, le pape une calotte blanche.
La croix pectorale est portée sur la poitrine par les évêques, les cardinaux, certains prélats et les abbés. À la messe, elle doit être portée sous la chasuble. Cette rubrique est cependant peu respectée. Certains évêques, en France, en Suisse et même en Italie, la placent par-dessus.
Vicaire de Jésus-Christ (ce dernier titre faisant partie de la titulature papale dans toutes les époques).
— La nomination des Archevêques et des Evêques, soit diocésains, soit titulaires, est de la compétence exclusive du Saint- Siège.
Les diacres sont configurés au Christ Serviteur. De l'évêque ils recevront leur mission qui sera une mission de “service” ; le plus souvent ce sera au service de la charité de l'Église. Il y a deux sortes de diacres : Les diacres qui sont appelés à devenir prêtres.
La symbolique de ces couleurs communément admise est que le rouge est la « couleur liturgique qui évoque le sang ou le feu » et « Le blanc évoque la pureté, mais plus encore la gloire divine et l'éclat de tout ce qui touche à Dieu.
Protéger cette intimité est l'un des principes de la tsniout (« modestie, pudeur ») dont l'interprétation appliquée est variable selon les communautés juives mais chez les orthodoxes, le seul impératif reste pour les femmes mariées (pas les jeunes filles) de couvrir leurs cheveux de quelque manière que ce soit.
Lévitique 11:7-8 « Vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne fendue et le pied fourchu, mais qui ne rumine pas : vous le regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas de leur chair, et vous ne toucherez pas leurs corps morts : vous les regarderez comme impurs. »
Retirer son chapeau ou sa casquette: les origines de cette tradition. Le tout remonte à plusieurs siècles, plus précisément au moyen âge, où enlever son casque ou son heaume était signe d'allégeance à son seigneur. Le chevalier offrait ainsi sa nuque découverte et tête baissée, à l'épée du seigneur.
Prêtres et évêques reçoivent donc chaque mois environ 1 000 € – soit un traitement inférieur au smic qui est de 1 500 € (brut). « Il n'y a pas de montant général pour tous les diocèses, mais il y a une fourchette générale », précise le père Pierre-Yves Pecqueux, secrétaire général adjoint de la CEF.
Prêtre et curé
Prêtre : Dans l'Église catholique, celui qui, en vertu de l'ordre du sacerdoce, a le pouvoir de dire la messe et d'administrer les sacrements. Prêtre, c'est donc un état. Curé : Prêtre placé à la tête d'une paroisse, et soumis dans l'exercice de ses fonctions à l'évêque du diocèse.
Les prêtres au service du curé sont appelés de différentes manières selon les diocèses : vicaire, auxiliaire, associé. Abbé : Du latin ecclésiastique abbas (de l'araméen abba, père). Le terme abbé désigne trois réalités : - Moine chrétien élu par ses pairs pour diriger un monastère, une abbaye.
Longue soutane boutonnée sur le devant, portée au chœur lors des offices, sous les vêtements liturgiques, par tous les clercs, les enfants de chœur et parfois par certains chantres laïcs et bedeaux ; elle est aussi portée par les clercs, en dehors des églises, comme vêtement ordinaire de dessus.
Le diacre (du grec διάκονος / diákonos, « serviteur, assistant ») est, dans les Églises catholique et orthodoxe, une personne qui assiste le dirigeant d'une église locale et a la responsabilité de certaines activités.
En général, les servantes de curés sont des céli- bataires, bien que certaines femmes mariées logeant au presbytère avec leur conjoint, « homme engagé du curé », remplissent parfois cette fonc- tion.