Ainsi le nom wagon s'est d'abord prononcé avec un <w> conforme à la prononciation anglaise d'origine, auquel un <v> s'est substitué dans la seconde moitié du 19e siècle, sans doute sous l'influence de l'allemand Wagen – ce qui explique la variante graphique vagon que l'on trouve tant chez Littré que chez Larousse.
Vagon est l'ancienne orthographe de "Wagon" ; le terme désigne donc un véhicule ferroviaire tracté, servant au transport de différentes marchandises ou au transport d'animaux.
W utilisé seul, ou dans un sigle prononcé lettre par lettre
en Belgique, se prononce souvent \we\ : WC, BMW… en France, se prononce \ve\ dans : WC.
warrant se prononce normalement avec un v, c'est un anglicisme de le prononcer avec un w. D'aucuns (notamment en Belgique) prononcent wagon avec un /w/ et WC /wese/.
Le mot wagon a été emprunté à l'anglais au début du XIXe siècle. Au départ, les deux variantes ont coexisté. D'ailleurs, la prononciation en [ v ] a entraîné la création de la variante graphique vagon , qui n'est plus utilisée aujourd'hui.
Moyen Âge. C'est une ancienne ligature datant du Moyen Âge, réunion de deux V (d'où le nom en français, double v) ou de deux U (en anglais : double u). Chilpéric ajouta à l'alphabet quatre caractères de son invention, parmi lesquels un affecté à la prononciation qu'on a depuis rendue par le double v.
Lorsqu'il se dit comme un [v] («wisigoth», «wagnérien»), c'est, la plupart du temps, parce que le mot vient de l'allemand, et quand il sonne plutôt comme un [ou] («week-end», «western», «whisky»), c'est que l'origine est anglaise.
La prononciation \vʁap\ rime avec les mots qui finissent en \ap\.
wagon n (pluriel: wagons)
Les trains ont des tampons entre les wagons pour absorber les chocs. Trains have buffers between wagons to absorb shocks.
En 1859, l'industriel français Louis-Xavier Gargan invente le « wagon-citerne », il dépose le brevet d'invention le 23 juillet 1859. L'emploi du bois pour le transport du vin se généralise dès 1880 : on parle de wagon-foudre.
(1698) De l'anglais wagon , du néerlandais wagen (« voiture, wagon »), du proto-germanique * wagna, du radical indo-européen * wegʰ-. Le mot a d'abord en français le sens de « chariot », dans des emplois isolés ; le sens ferroviaire est attesté depuis 1826.
« w » se prononce [w] comme dans « watt ». Le néerlandais comporte aussi des suites de consonnes: « ch », « sch » et « ng ».
Véhicule ferroviaire remorqué, destiné au transport des marchandises ou des animaux, par opposition à voiture ; son contenu.
La prononciation \jɛs\ rime avec les mots qui finissent en \ɛs\.
bed n. Je fais mon lit tous les matins.
Toute la nuance tient dans la prononciation du “t” ou “tt”. Contrairement à l'anglais britannique qui le prononce de manière classique (/t/), l'anglais américain tend à utiliser plutôt le son /d/.
W avait le son de g dans le latin barbare, et l'on écrivait wanti pour ganti, gants. Les phonéticiens emploient souvent le signe w pour transcrire la semi-voyelle de ou français. Par analogie, ils se servent du signe w, surmonté d'un tréma, pour transcrire la semi-voyelle de u français (ü allemand).
Ces mots contiennent tous le même son : c'est le son [ w ]. Le son [ w ] peut s'écrire de différentes façons. Dans le mot wagon, la lettre W se prononce [ v ].
La lettre Z n'a effectivement initialement pas été la dernière lettre de l'alphabet à avoir été ajoutée. La dernière à l'avoir été était en réalité la lettre W.
Mais parfois le H est muet
➤ Le H est toujours muet dans Honour, Hour, Honest, Heir, Vehicle et Vehement . ➤ On ne prononce pas le H non plus après la lettre G comme dans Ghost, Ghastly, Aghast, Gherkin et Ghetto (2) ou après la lettre R comme dans Rhinoceros, Rhubarb, Rhyme et Rythm .