Selon la légende, il est beaucoup plus facile de flotter dans la mer Morte. Mais pourquoi donc ? Sachez qu'un litre d'eau de mer contient environ 35 g de sel par litre. Un litre d'eau de la mer Morte en contient 275 g car cette mer est totalement fermée, l'eau s'y évapore et la quantité de sel reste la même !
Dans la mer Morte, il y a 275 g de sel par litre d'eau ! Car cette mer est totalement fermée. L'eau s'évapore à cause de la chaleur et il ne pleut pas beaucoup. Il y a donc de moins en moins d'eau, mais toujours la même quantité de sel.
Et pour cause, avec un taux de salinité d'environ 27,5% contre 4% pour la salinité moyenne de l'eau de mer, la Mer Morte porte bien son nom puisqu'aucun poisson ou végétal ne peut y survivre. Pour autant, il est tout de même possible de s'y baigner ou plutôt d'y flotter.
Nous ne sommes pas tous égaux dans l'eau. Certains flottent plus facilement que d'autres. C'est notamment le cas des femmes, car elles ont une morphologie différente de celle des hommes.
Pourquoi flotte-t-on dans l'eau, ou pas? C'est dû à la densité du corps. Un objet avec une densité (rapport poids/volume) moindre flotte sur l'eau, comme le bois, tandis qu'un objet avec une densité plus grande (comme un caillou) coule.
Les hommes sont désavantagés par leur cage thoracique plus grande : déséquilibrés, ils ont les jambes qui coulent. Enfin, les personnes à peau noire flotteraient moins bien du fait d'un épiderme plus épais, d'un volume pulmonaire plus petit et d'un pourcentage supérieur d'os compact.
Un corps flotte en effet plus facilement dans l'eau salée que dans l'eau douce. Ce phénomène s'explique par la différence de densité entre les deux liquides. Et c'est le scientifique Archimède qui l'a expliqué, dès l'Antiquité, grâce au principe des corps plongés dans un liquide.
Les hommes sont mécaniquement plus lourds, car la densité du muscle est supérieur à celle de l'eau (un muscle « seul » coule), quand celle de la graisse lui est inférieure.
Si tes jambes coulent lorsque tu nages, cela est dû à certaines lois physiques. Notamment, la différence entre la répartition du poids de ton corps et la répartition de son volume. Les jambes par exemple ont un volume assez faible mais un poids élevé.
Mon corps ne flotte pas, il coule.
Cette première affirmation est bien entendu erronée. Et c'est la physique qui nous l'enseigne. La « poussée d'Archimède », vous vous souvenez? Dans l'eau, notre corps paraît plus léger car sa masse est équilibrée par une poussée qui se fait de bas en eau.
Les eaux et le climat de la Mer Morte soignent également les rhumatismes et les douleurs musculaires. On a montré également que les eaux de la Mer Morte étaient bénéfiques pour les problèmes ophtalmologiques, l'hypertension, l'asthme ainsi que la maladie de Parkinson.
La "carpe de la mer Morte" est l'une des "deux espèces uniques au monde" à vivre seulement en Jordanie, souligne Salem Nafaa, porte-parole de la RSCN.
Le taux de salinité de la mer Morte est de 34,2% (contre 3,5% pour la mer Méditerranée). Il s'agit du quatrième plan d'eau le plus salé au monde, derrière l'étang Don Juan en Antarctique et les lacs Vanda et Assal à Djibouti.
Car l'eau en reculant laisse derrière elle un terrain truffé de poches de sel. Et au contact de l'eau douce, ces crevasses peuvent brusquement s'effondrer et avaler tout ce qui se trouve à la surface. La mer Morte pourrait donc à moyen terme devenir un désert de sel.
On ne peut pas nager dans la mer Morte, on flotte. Ce phénomène est dû à son impressionnante salinité : 25% de sel, alors que les autres mers n'en ont que 4% environ. 4. Pas la peine de s'encombrer d'un matériel de plongée, même rudimentaire, il n'y a rien à voir sous l'eau.
Cette salinité, ainsi que la présence d'électrolytes toxiques fait que aucun poisson ni aucune algue macroscopique ne peuvent subsister, ce qui lui vaut le nom de « mer morte ».
Erreur n°2 : Une mauvaise synchronisation des mouvements
Une fois vous poumons remplis d'air, plongez immédiatement la tête dans l'eau et faites un mouvement de jambes pour vous propulser vers l'avant. Laissez-vous glisser un peu et reprenez un nouveau cycle de nage.
Ecartez vos pieds sur les côtés et resserrez vos jambes en donnant un coup simultané des deux jambes vers le fond. Ce mouvement de jambes vous permet de rester à la surface. Il est similaire au mouvement de jambes en brasse. Ensuite, le mouvement des mains.
- mauvais mouvement des bras qui sollicitent trop les épaules et pas le dos et les pecs ; - mauvais gainage et éventuellement entrée dans l'eau qui passe la ligne médiane (nage en "serpent") ; - trop faible d'amplitude du geste ; - pas d'accélération du bras durant le trajet sous-marin.
Chez l'homme. La flottabilité chez l'homme dépend de la répartition des os (densité de 1,8), des muscles (densité de 1,05), de la graisse (densité de 0,95).
Commencez par immerger votre visage en regardant vers le fond du bassin. Ecarter les bras permet d'avoir plus de stabilité. Vous pouvez alors lever les pieds du sol et vous laisser porter par l'eau. Relâchez au maximum la nuque et les épaules, gardez le regard dirigé vers le fond du bassin.
Une fois sur le dos, écartez légèrement les bras et les jambes, une frite dans chaque main. Les frites soulèvent le haut du corps mais pas les jambes. Pour les aider à flotter soulevez un peu votre bassin, et gardez votre tête bien droite en levant le menton. Regardez vers le plafond.
L'histoire de cette mer unique
De plus, le volume d'eau approvisionnant auparavant cette mer est détourné à 90% à des fins d'irrigation. On estime ainsi que le niveau de la mer Morte baisse d'un mètre par an ! Ce qui accentue davantage ce phénomène incroyable de salinité.
En réalité, on n'est pas plus léger. En raison de l'attraction terrestre, le corps continue de peser de tout son poids (mieux: de toute la force de sa pesanteur), mais il semble plus léger car l'eau déplacée le pousse vers le haut. Il s'agit de la portance (ou poussée).
Une eau douce contient généralement moins d'un gramme de matières solides dissoutes (comme les sels, métaux et éléments nutritifs) par litre. À titre de comparaison, l'eau de mer en contient plus de trente et le sérum physiologique en contient 9 g /litre (0,9 %).